My brother | Lashton ✓

11 - Ashton... Irwin (partie 1)

Hey ! Comme l'indique le titre, ce n'est que la moitié du chapitre. Je mettrais la deuxième plus tard car je ne l'ai pas encore écrite. Je suis h24 en train de corriger LFC pour l'éditer alors pardonnez-moi de délaisser un peu cette fiction ! Mais je reste motivée sur MB parce que j'adore l'écrire. Je ne me prends pas la tête sur celle-ci.

Enfin bref, trêve de blabla. Merci pour les votes, vues, commentaires... Pour tout, quoi ;)

Tchuss,

L.

a s h t o n

Une chanson de Coldplay m'accompagne durant le chemin jusque chez la famille Irwin. Ma famille biologique.

Je m'arrête devant la maison. Elle est semblable à la mienne. Je souffle en m'encourageant bêtement.

Par la suite, je sors de la voiture, claquant la portière. À la fenêtre du rez-de-chaussée, je vois le rideau s'agiter. Peu après, madame Irwin en sort.

Elle me sourit gentiment, suivie de Lauren qui court pour combler l'espace qui nous sépare. L'adolescente se jette dans mes bras, tremblante.

Je la serre en souriant idiotement. Mon cœur se serre un peu quand je sens des larmes couler sur mon t-shirt. J'embrasse son crâne alors que mes yeux commencent eux aussi à se mouiller.

On se sépare après un petit moment. Lauren me prend la main et m'emmène jusque la porte de la maison.

Madame Irwin, ma... Mère, me salue. Je vois qu'elle hésite à me prendre dans ses bras alors je le fais de moi-même. Elle coupe court au câlin pour me demander d'entrer chez elle.

L'intérieur de la maison est décoré avec goût. Des meubles crèmes variant entre beige et marron. Nous nous asseyons tous les trois autour de la table du salon.

Madame Irwin nous sert un café et un soda pour sa fille.

- Tu voudrais que nous te parlions de tout ça ? Me demande l'hôte.

Je souris et tripote ma tasse.

- Ouais, enfin, je sais que vous- tu ne pouvais pas me prendre en charge et mes parents voulait un enfant, alors...

Lauren grimace à "mes parents". Je baisse un peu la tête en soupirant. Tout ça est trop rapide et soudain pour que je m'y habitue.

Madame Irwin pose sa main sur les miennes.

- Ne t'en fais pas, je comprends que ce soit compliqué de faire la part des choses. En réalité, quand je t'ai eu, mon mari est parti durant deux ans. On était jeunes, il n'était pas prêt. Je ne pouvais pas m'occuper de toi.

Elle prend une inspiration, boit une gorgée de son café avant de continuer.

- J'ai donc rencontré ce couple et nous avons donc fait un contrat d'adoption. Puis tout a été compliqué pour moi. Cette année après m'être torturé l'esprit, j'ai demandé à mon mari - qui est revenu - de te retrouver. Voilà où nous en sommes.

Je lui souris gentiment.

- Merci de m'accueillir maintenant, j'avais vraiment besoin de soutien.