Once upon a time

Retour à la maison

(Emma)
Un an plus tard...

Je me réveille en sursaut en entendant le fichu alarme de mon cadran. Il y a des jours où je me demande vraiment pourquoi est-ce que je ne le démolie pas à coup de batte de base-bal.

Je repousse mes couvertures avant de me diriger vers la salle de bain pour prendre une douche. Une fois que j'ai terminée, je vais m'habiller et je vais dans la cuisine pour préparer un bon déjeuner. Je suis tranquillement installer devant le four lorsque j'entend un animal m'aboyer dessus.

Je souris avant de me tourner vers mon chien tachetés de petits points noirs sur tout le corps. Pinceau, mon beau dalmatien, est assis à côté de la table de la salle à manger et il me regarde sévèrement.

- Quoi ? Je ne t'ai pas oublier, mon gros.

Je vais chercher sa nourriture et la verse dans sa gamelle, mais il continu de me regarder sévèrement.

- Quoi ? Qu'est-ce que j'ai oubliée cette fois ?

Mon dalmatien aboi une fois avant de se lever et d'aller dans le salon. Il prend quelque chose dans sa bouche et me l'apporte. C'est un cadre de photo. Je soupire avant de lui prendre et je reste figée un moment en regardant la photo de cette jeune fille au cheveux brun ondulant sauvagement vers les pointes et ses yeux noisettes dans ce magnifique regard enfantin qu'elle tient de son père.

Alessa ma fille que je n'ai pas revue depuis au moins un an et que je n'ai eu aucune nouvelle non plus. À cause d'un stupide projet de science sur les groupes sanguins, Alessa c'était posée des questions sur le pourquoi nous n'avions pas le même groupe sanguin elle et moi et j'ai lâché par accident le fait qu'elle devait le tenir de son père.

Elle a exigée des réponses de ma part et quand je lui ai tout dis, elle a foncé dans sa chambre rassemblée des affaires et elle est partit. J'ai essayée de la rattrapée en m'excusant, mais le fait de savoir que même son propre père ignorait son existence la mise très en colère et elle m'a interdit d'essayée de la retrouvée après son départ.

J'ai essayé bien évidemment, mais comme elle tient plus de moi dans ses côtés de criminelles, elle a réussit a très bien disparaître. Tout ça c'est passé quand je résidais encore à Boston et juste avant que mon appartement ne parte en feu, elle m'avait laissée un message comme quoi elle avait retrouvée Neal et que tout allait bien.

Qu'elle allait vivre avec lui pour le moment et qu'elle était peu disposé à me revoir.

Sa m'a très fortement blessée, mais je ne peux rien faire.

Je pousse un soupir en regardant mon chien qui me supplie du regard.

- Je sais qu'elle te manque, mon beau, mais on ne peut pas aller la voir maintenant. Et on est pas si mal ici, tous les deux !

Je vais m'installer à la table en me versant de la cannelle dans mon chocolat chaud et je commence à manger mon omelette, mais après une minute, j'entend quelqu'un frappé à ma porte. Je fige nette, surprise alors que mon chien se met à pousser un profond grognement d'avertissement.

Qui que sa soit, Pinceau n'a pas l'air de l'apprécier grandement. Je pose ma fourchette en ordonnant à mon chien de rester où il est et je vais vers la porte en me fichant un peu du pyjamas que je porte. Lorsque j'ouvre la porte, c'est d'abord deux yeux bruns qui me surprenne. L'homme sur le pas de ma porte me regarde d'abord surpris, puis soulagé et finalement heureux. Malgré le fait que ce type soit très séduisant, même si je suis peu désireuse d'adorée les costumes de pirate, j'ai vaguement l'impression d'avoir déjà vue ce type.

- Swan, me dit-il d'une voix grave.

Je fronce les sourcils alors qu'il s'avance vers moi comme s'il voulait me serrer dans ses bras, mais je l'arrête immédiatement en lui demandant comment il me connait. Là, il me dit que ma famille est en grand danger et qu'ils ont besoins de moi, mais je suis sûre qu'il ment. Neal m'a abandonné et laissée tomber dans une prison et ma fille m'a quittée parce que je ne lui ai jamais parler de son père.

- La seule famille que j'ai est ici alors je vous demanderais de partir.

- Écoute, je sais que tu ne te rappelles pas de moi, mais... je dois vraiment tenté le coup.

Je fronce les sourcils, mais je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu'il rapproche rapidement son visage du mien en scellant nos lèvres dans un baiser qu'il tente d'approfondir. Je fige avant de me ressaisir en une microseconde en lui balançant un coup de genoux dans les parties intimes.

L'homme est propulser contre le mur en face de ma porte entrain de gémir de douleur. Je le menace de ne jamais recommencer et de me laisser tranquille avant de claquer ma porte et de m'appuyer sur cette dernière. Je respire rapidement et mon coeur bat à cent à l'heure sans aucune raison. Je tente de reprendre mon souffle avant de remarquer la présence de mon chien dans le passage qui me regarde fixement.

- C'est rien du tout, mon beau. Seulement un cinglé qu'ils ont oubliés d'envoyé à l'asile.

Mon chien me regarde avant de regarder la porte et de pousser un petit grognement comme s'il sentait la présence de ce type. Un frisson parcours mon dos avant que je ne me redresse et parte dans la cuisine après avoir barrer ma porte d'entrée. Je m'installe à ma place en recommençant à manger nerveusement.

Mon dalmatien se contente de tourner autour de la table comme s'il cherchait quelque chose à manger avant de se coucher près de ma chaise. Je mange le tiers de mon assiette avant de donner les restes à Pinceau qui s'empresse de tout manger alors que je vais dans ma chambre me préparer pour travailler, mais pendant que je choisis mes vêtements, les propos de cet hommes me reviennent à l'esprit.

Ma famille en danger ?

Quel genre de danger pourraient-ils courir ?

Des problèmes de jeu ou des trucs en lien avec de grandes maladies ?

Et pourquoi attendre tout ce temps pour finalement me retrouver ? Déjà qu'on m'a abandonnée sur le bord de la route à ma naissance et laisser dans des foyer d'accueils en me laissant espérer que mes vraies parents viendraient franchir ces portes et m'amener avec eux, ils ont attendus 28 ans avant de me témoigner de l'attention. Se ne sont rien de plus que des monstres, tous autant qu'ils sont !