y avait.

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Y avait toi, puis y avait moi. Y avait le vent qui hurlait violemment dans mes oreilles et faisait virevolter mes cheveux, puis y avait la chaleur du soleil sur ma peau. On était là, à se promener au milieu de ce vaste paysage bien trop silencieux pour nous. On a toujours été fait pour la musique à fond, les rires forts et les pleurs et cris faisant trembler les murs. On a toujours été ainsi. Maintenant, c'est silencieux et vide autour de moi. Le vent est comme inexistant, puis le soleil a l'air trop loin pour toucher ma peau. Ou bien c'est toi qui est trop loin.

Y avait nous, puis y a eu elle.

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