La vie est un chemin vers la mort.

- Prologue.

Vie obscure.

Seule dans l'ombre. Enveloppée par la nuit, la vision flottante, par ses larmes. Sur le sol poisseux, elle se tient. Les bras croisés et le regard perdu. Le corps inerte étalé dans ce lieu assombri. Un torrents de larmes cascadait son visage et coulait à flot. Son cœur habillé de balafres, battant à la vitesse de sa peur. Son souffle se faisait de plus en plus rapide. Toute son âme s'incendia, elle sentait sa cage thoracique prête à exploser.

Son cœur saigne et ses yeux hurlent sa tristesse. Cette phrase, en elle, gravé à jamais. Ces mots aiguisés, qui la transpercent, ils emprisonnent son âme, ils bousillent sa vie. Les mots terribles la prennent pour cavalière et tourbillonnent avec elle dans son rythme.

La mort amère cependant bien réelle, elle est difficile à aimé. Pourtant nous sommes obligé de l'accepter.