LBV gangster's paradise

Chapitre 1: Le règlement de compte.

La nuit tombe sur la capitale du Gabon, Libreville. Gilles a passé une soirée à jouer à la console avec son papa. Sa maman est décédée bien après sa naissance de suites mystèrieuses.
       
Au moment de prendre le large vers le lendemain, son papa lui fait un câlin et lui souhaite de passer une bonne nuit dans sa chambre.
         Aux environs de 3h 30 minutes, un mystérieux personnage fait irruption dans la propriété et celà par le biai de la fenêtre de la chambre du jeune Gilles alors âgé que de 7ans.
            Son papa, entendit des murmures et armé de son cinq milimètres, bondit de ce pas pour la chambre de son fils. Il se rend compte qu'en sortant de sa chambre, le bruit s'intensifit au niveau du salon.
         Là il est confronté à un spectacle dont il aurait sans nul doute accepté volontiers de se passer.
         Un homme, non pas méconnu à ses yeux tient Gilles en otage et pointe un gros calibre sur son innocent visage.
         Cet homme animé par la jalousie, menace de tuer le père et le fils. Pour ainsi, être promu à la tête des Ndoss étant donné qu'il est le plus compétent en matière de criminalité et d'obéïssance au gang, après le père de Gilles.
            
Gilles se débat et réussit à le mordre sur la main dont le criminel se servait pour camisoler le petit garçon. Le père de Gilles se rend compte que son arme n'est malheureusement pas chargé.

Aussitôt mordu par le gamin,  l'irruptionniste et le père de Gilles batailles à mains nue( enfin, du moins du point de vue du père de Gilles). Mais celui-ci se fait poignarder au niveau du torse.

Gilles, traumatisé, prend la fuite...

Il est recherché tout le r este de la nuit par l'assassin de son père qui sait au fond de lui que :

«Dans la loi du gang, tuer le père équivaut systématiquement à tuer sa progéniture masculine, pour s'assurer pérennité».

L'assassin abandonne ses recherches au bout d'une bonne trentaine de minutes, avant de reprendre son Alfa Romeo Mito garé plus loin.

Gilles est retrouvé le lendemain matin assis dans une mare de sang avec un air sinistre, sans aucune expression faciale avec à côté, le corps de son père geonchant le sol et déjà durci.