Chapitre 4: Bleach ! Part 1

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En cette matinée, dans la soul society, une réunion de capitaine importante avait lieu avec comme invité Kisuke Urahara.

« - Je pense avoir trouvé un moyen avec le Capitaine Kurostuchi pour redonner ses pouvoirs à Ichigo, commença Urahara

- Qu'avez-vous trouvé, demanda le Capitaine Général Yamamoto

- Coucou mes loulous, cria un inconnu »

Surpris par cette voix, ils regardèrent tous vers la porte et virent deux hommes plus que bizarre. Celui qui avait crié était habillé en blanc et mauve avec un chapeau haut de forme. Il avait des cheveux d'un violet sombre et des yeux verts forêts. Le deuxième avait un long manteau sombre, une chemise rayée rouge et noir sous un veston blanc ainsi qu'une cravate rayée jaune et marron, un pantalon de la même couleur que son manteau avec des points jaunes. Un ensemble plutôt étrange mais le plus bizarre était ses cheveux vert avec une pointe au dessus de sa tête.

Méphisto fit la moue en découvrant ce nouveau monde et en observant du bout des doigts sa clé.

Zaraki fonça vers les deux intrus et abattit son sabre. Les deux frères esquiva en sautant chacun de leur côté. Amaimon se mit en position de combat et essaya de riposter en envoyant un coup de poing mais son adversaire esquiva. L'onde de choc du coup d'Amaimon créa un cratère gigantesque dans le mur d'en face. Kenpachi sourit en voyant sa force. Il abattit de nouveau son sabre mais Amaimon stoppa la lame avec sa main. Le démon brisa la lame créant la stupeur parmi les capitaines puis il frappa son opposant le faisant voler et traverser plusieurs murs. Les capitaines en furent surpris un moment mais ils se mirent en position de combat.

« - Très beau combat mon cher petit frère

- Tu trouves aniue, demanda Amaimon les yeux plein d'étoiles

- Bien sûr, c'était fantastique, fit-il en prenant la pose et en montrant les murs troués par le corps de leur assaillant 

- Bonjour chers.....visiteurs, dit Urahara en s'approchant des intrus avec un léger sourire

- Oh non il ressemble à aniue, grimaça Amaimon

- Que veux-tu dire par là mon cher, dit Méphisto en tirant violemment les joues de son cadet

- Désolé aniki, gémit- il

- Il y a intérêt, répondit l'aîné en le relâchant

- Mais quel bel amour fraternel, chanta Urahara

- Vous trouvez, demanda Méphisto en enlaçant son frère qui frissonna

- Lâche moi aniki, grogna-t-il

- Bien sûr et venez, ne restez pas dans l'entrée, répondit Urahara

- Merci mon cher Kisuke Urahara, dit Méphisto en lâchant enfin son cadet et en saluant son homologue

- Oh comment me connaissez-vous, demanda-t-il

- C'est un secret, chuchota l'aîné un doigt sur les lèvres

- Et pourrais-je connaître vos noms ou c'est aussi un secret

- Oh oui, je me nomme Méphisto et voici mon jeune frère Amaimon

- Silence, interrompit le Capitaine Général en relâchant de sa pression spirituel »

Tous se retournèrent vers Yamamoto et se mirent à haleter sauf les deux frères qui regardèrent ce phénomène d'un œil curieux.

« -Tais-toi aniue parle, ordonna Amaimon une sucette à la bouche

- Exactement, c'est très impolie de m'interrompre quand je parle, fit Méphisto d'un ton professoral ».

Yamamoto fut bouche-bée de la résistance des deux intrus, il réprima donc sa pression spirituel, soulageant tout le monde.

« - Capitaine Unohana allez chercher le Capitaine Zaraki et amenez-le dans votre division, ordonna-t-il

- Oui Capitaine Général, répondit-elle

- Ce vieux débris est un capitaine, demanda Amaimon en pointant Yamamoto du doigt tout en regardant son frère ».

Les autres en furent choqué sauf Shunsui qui étouffa son rire dans une fausse toux accompagné d'Urahara qui ne prit pas la peine de cacher son fou rire.

Kisuke réussi tant bien que mal à se calmer et s'avança dans la direction du vieux débris en question qui s'étouffait de rage.

« - Cher Yamamoto puis-je amener nos visiteurs, je m'occupe de les surveiller, demanda-t-il en cachant son sourire derrière son éventail

- Sortez-les de la soul society, emmenez-les chez vous et Hitsugaya viendra avec vous pour vous surveiller tout les trois, hurla-t-il

- Quoi mais, balbutia Hitsugaya

- J'en ai rien à faire dégagez d'ici tout de suite, cria-t-il

- Je n'ai pas besoin de surveillance, chanta Kisuke suicidaire

- De-hors, articula Yamamoto

- Bien, fit Urahara en poussant les trois autres vers la porte ».

La porte se referma sous le fou rire de Shunsui.


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