Une délicieuse odeur de pain grillé et de café chaud me chatouilla les narines. Un poids tomba dans mon lit me fessant décoller. Une magnifique voix masculine se mise à rire en voyant la tête que je fessait.
Moi : Bonjour.
André : Bien dormis ?
Moi : Oui ça va et toi ?
André : De même. Pour soigner ton chagrin, je me suis dit qu'un bon déjeuner serais le bien venu.
Moi : C'est une très bonne idée ! Tu es adorable.
André : C'est mon métier !
Moi : Ah mais je ne te paye pas pour ça.
André : Ton père si.
Moi : Donc tu fais toute ses choses par ce que mon père ta demande de prendre soin de moi ?
André : Je prend soin de toi mais passer la nuit avec toi ou te ramener le déjeuner au lit c'est par ce que j'en ai envie.
Je ne répondis pas. Sa réponse m'avais faite plaisir.
Je plaça un cousin dans mon dos et me redressa pour pouvoir poser le plateau sur mes genoux. Je dévora les tartines grillés et engloutis à grande vitesse le café. Ça me fis un bien fou.
André : Un ogre.
Moi : Mais j'avais faim !
André : Je vois ça.
Moi : Tu ne veux pas venir avec moi faire un footing ?
André : Oui bien-sûr.
Il repris le plateau vide et descendis. Je pris mes affaires et descendis à la salle de bain. Je pris une longue douche, laissant couler le long de mon corps. Je me sentais bien, sans peine non douleur au coeur. Une larme m'échappa lorsque le visage de Yassine me revenais en tête. C'est inexplicable la douleur que je ressent. J'ai l'impression que l'on m'a retiré une partie de mon coeur et que dore avent plus rien ne seras pareil. Je me sens détruite, anéantis, blessé, trahis et pourtant ce n'étais pas de l'amour que je ressentais pour lui. C'était bien plus fort, c'était mon meilleur amis, la meilleure partie de moi. Mon sang, ma seule famille. Mon bonheur. Et il m'avais laissé après 6 belles et courtes années par obligation. Pour se marier.
Je savais qu'à présent je devais tous faire pour l'oublier et passer au dessus de cette douleur.
André toqua à la porte de la salle de bain.
André : Pas obligé de te faire belle pour aller courir.
Moi : J'y croiserais peut être l'homme de ma vie.
André : Fait ce que tu veux, j'ai pas que ça à faire de t'attendre, moi j'y vais.
J'entendis ses pas s'éloigner et la porte de la maison claquer quelque minutes après.
Je sortis de la douche et me pressa de m'habiller. J'enfila un leggings gris Nike, un pull rose pâle superdry, attacha mes cheveux en chignon et mis mes rushs run noir. Je pris une bouteille d'eau et sortis de la maison en prenant tous mon temps. Je me mis à courir en petite foulée et fus surprise de retrouver André au bout de la rue.
Moi : Bah alors, tu m'attendais ?
André : Bien obligé !
Moi : Non, rien ne t'y oblige.
André : Bon allez, cours maintenant.
Il accéléra le rythme et je le suivis. Nous arrivions au parc municipale. Au bout d'un certain temps je ralentis et m'assit sur un banc. Je tourna la tête et vis qu'André ne m'avais pas remarqué et qu'il continuer sans relâche sa course. Je but d'importante gorgée d'eau fraîche et contrôla ma respiration. Je me sentis mieux et reparta tranquillement.
VOUS LISEZ
L'amour, un jeu dangereux
Teen FictionHISTOIRE FICTIVE Si aimer est le risque de connaître la douleur alors non merci. Je préfère fuir ce sentiment et resté cette fille inaccessible, arrogante et peste que je parer être aux yeux de tous le monde. Puis la vie c'est quoi ? Un simple jeu...