Ont étaient dans la voiture, en direction de la maison de ses parents. Il ne m'avait juste laisser le temps d'enfiler une robe noire très simple et élégante. La nuit tombait et j'avais froid.
Moi : André j'ai froid.
André : Pourquoi tu stress ?
Moi : Mais non, je te dit que j'ai froid !
Il augmenta le chauffage. Le reste du trajet se déroula dans le plus grand des silences, c'était pesant.
Moi : Imagine ils ne m'aiment pas ?
André : Pourquoi ils ne t'aimeraient pas ?
Moi : Je ne sais pas, je te pose justement la question. Peut être qu'ils vont pas me trouver aussi jolie que toi, peut être qu'ils te voit plus avec une de tes ex.
Il posa sa main sur ma cuisse et souffla.
André : Écoute Shah, j'ai jamais présenté qui que ce soit à ma famille alors je suis d'autant plus stressé. Je t'aime et l'avis de mes parents m'importe peu. Juste que voilà, on va partir à deux à l'autre bout de la France et par question de principe, je préfère leur présenter la personne qui va faire partie de ma vie. Tu comprends ?
Moi : Je comprend.
Quelques minutes plus tard la voiture s'engage dans une petite allée. Nous arrivons devant une magnifique demeure, j'ai été incroyablement étonné !
André sortis de la voiture et vint ouvrir ma portière. En vrai gentleman il me donna sa main pour m'aider et surtout me rassurer. Je l'a saisi avec force.
Nous avancions maintenant vers la porte d'entrée. Je pris une grande respiration et la porte s'ouvrit.
Une petite silhouette tendit ses bras à André qui si précipita.
André : Maman !! Je te présente Shah.
Je m'avança vers elle en tendant ma main afin de la saluer mais elle me pris dans ses bras.
Surprise je lui rendis son geste. Elle y mis un terme et me regarda, du moins elle me scruta. C'était gênant.
Elle était petite et toute menue. Elle dégagé énormément de bonne chose, son sourire m'ensorcelait. André avait certains trait de visage mais il devait sans doute ressembler physiquement à son père.
Jeanne : Je suis enchanté d'enfin te rencontrer.
Moi : De même madame. Vous avez une magnifique maison.
Jeanne : Je te remercie mais le madame n'est pas admit ici. Ca me vieillit, appelle moi "Jeanne".
Moi : D'accord.
Jeanne : Allez y rentrait. André ton père est au salon.
André me pris la main.
André : Je vais te faire visiter.
Je le suivis. Je n'avais pas vraiment le choix en même temps. On monta à l'étage et il me montra sa chambre.
Moi : T'aime le basket non ?
Je disait cela en me moquant légèrement de lui par ce qu'il n'y avait pas un trou sur ses murs sans qu'il n'y est un poster de basket.
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L'amour, un jeu dangereux
Ficção AdolescenteHISTOIRE FICTIVE Si aimer est le risque de connaître la douleur alors non merci. Je préfère fuir ce sentiment et resté cette fille inaccessible, arrogante et peste que je parer être aux yeux de tous le monde. Puis la vie c'est quoi ? Un simple jeu...