L'amour, un jeu dangereux

Il me quitte deja..

La soirée se termina tranquillement. Tous le monde était au petit soin avec moi et ce n'était pas pour me déplaire. Mes parents étaient collés à moi, ils m'étouffaient. Au contraire, je n'avais pas vue André de la soirée. Tout avait commencé à l'hôpital et là plus rien. Pas un regard. Je le vis partir vers la cuisine. Je m'assura que personne ne me vit et je le suiva. J'avais peur de sa réaction mais j'eu la terrible envie de lui sauter dessus. Ce que je fis.

Il était de dos, en train de couper du saucisson. Je m'approcha de lui sans un bruit. Je passa mes mains pour que celles ci se retrouvèrent sur son torse. J'aperçue un petit sourire de sa part mais il ne bougea pas. Je fessa glisser mes doigts sous sa chemise et m'amusais à le faire frissonner. Je me mis sur la pointe des pieds et lui embrassa tendrement le cou et la mâchoire. J'en avais mare qu'il ne fasse pas attention à moi alors j'y alla plus fort et directement. Toujours une main sous sa chemise, je profita de le distraire pour faire glisser la deuxième sur ses fesses. Je lui mis une petite claque qui lui décrocha un petit rire.

André se décala du plan de travail. Tourna les talons pour aller au frigo est y ranger ce qu'il avait préparer. Quand il se rapprocha de la table, je me mis face à celle ci et devant lui. Je voulais lui empêcher de continuer son geste et qu il m'embrasse, encore et encore.

Mais rien de tous ceci ne se produit.

Il baissa les yeux vers moi et me dis.

André : Même avec toi devant moi, je finirais ce que j'ai commencé.

Moi : Très bien alors coupe ton fichu de saucisson.

Il s'exécuta.

Il colla son bassin au miens pour voir au mieux ce qu'il fessait dans mon dos. Ses deux bras le long de mes hanches, j'avais une horrible envie de lui.

Moi : Pourquoi tu ne fais pas attention à moi ?

André : Ici, je suis ton major d'homme.

Moi : Et nous deux ?

André : Gardons cela secret.

Moi : Je ne veux pas me cacher André, j'ai envie de toi, là maintenant, je fais comment ? Je me retient ?

André : Shah ça va mal finir si tu continue.

Moi : Si je continue à quoi ?

André : À faire ça, devant moi.

Secrètement je voulais que ça sa finisse mal et que j'ai ce que je voulais.

Je le dévora des yeux. Son regard baissé sur moi était brûlant. J'attrapa sa nuque et joua avec ses cheveux. Je poussait en avant mon bassin pour être collé le plus possible à lui. J'effleurais chaque partie de son corps qui m'était disponible. Je glissa mes mains plus bas sur son ventre lui fessant véritablement comprendre ce que je voulais. Il me regarda enfin dans les yeux. Passant mes mains sur l'entre jambe de son jean, il serrât sa lèvre inférieure entre ses dents. Peut être que j'allais avoir ce que je voulais.

Je remonta mes mains dans son dos et saisit ses larges épaules. Je lui griffa légèrement et il grogna.

Moi : Tu ne coupes plus ton saucisson ?

Il lâcha son couteau et m'attrapa violemment la tête. Sans même m'y attendre il s'attaqua à mes lèvres. Son baissé était fougueux et remplie de désire. Je savais à présent qu'il voulais la même chose que moi.

Il avait tellement joué avec moi depuis tout à l'heure que je me dis que je devais faire de même. Sentant ses mains se faufiler sous mon débardeur, je me débarrassa de son emprise et fis à grand pas le tour de la table. De l'autre côté de celle ci je m'arrêta et le fixa, le sourire aux lèvres.