Titre de la partie

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Arrivé à la maison André pris les nombreux paquets dans le coffre et montas le tous dans ma chambre.

Madame Rose s'affairait partout dans la maison afin que tous soit près. Elle avait rendue la maison magnifique. Depuis petite elle s'est toujours occupé de moi, je la considèré vraiment comme ma grand mère, plus exactement ma mamá puisque je n'avais jamais connue mes biologiques.

Je partis à la salle de bain et me lava les cheveux. La tête en avant dans la baignoire je galèré à les rinçais mais je n'avais pas le temps de reprendre une douche complète. Je les enroula dans une serviette et monta.

Passant devant la porte entrouverte de la chambre d'Andre, je m'arrêta et le regarda. Il était tellement beau et fort. Je n'avais jamais ressenti cela mais plus celui ci me repoussait, plus il m'attirait. Je gardais en tête que Clarys m'avait prévenue, jamais je ne m'étais faite avoir par un homme et je n'avais absolument pas envie que cela arrive et surtout pas par lui.

Il détourna la tete dans ma direction et je fila en vitesse. Tel une petite fille qui allait se faire gronder.

Dans ma chambre, j'enfila la somptueuse robe que je venais d'acheter. Pour qu'il n'y est aucune différence de couleurs, j'avais pris soin de mettre des sous vêtements de la même couleur. Je me trouvais très belle. Je retira la serviette autour de mes cheveux et les séchas puis les boucla légèrement afin de leur donner un effet naturel. Je me maquilla brièvement puisque je l'étais encore de tout à l'heure et accentua mon rouge à lèvre rouge matte. J'enfila mes louboutins, me regarda une dernière fois dans le miroir avant de descendre. Tout était niquel, j'allais être la reine de ma fête !!

Je descendis les escaliers et senti un regard se poser sur moi.

C'était André qui été assis dans un fauteuil face à l'escalier. Il me scruta sans me lâcher.

Il se leva et s'approcha de moi.

André : Tu es ravissante !

Moi : Je te retourne le compliment !

Il était habillé d'un costard et d'une chemise noir. De base j'aurais dit que la tenue fessait limite enterrement, pourtant sur lui c'était hyper sexy.

Oups le mot "sexy" m'échappa et André se mis à rire.

Moi : Excuse moi, je ne voulais pas dire cela.

André : Y a pas de mal. Puis je pense de même pour toi.

Moi : Ah bon ? Mais je croyais que tu aimais les femmes avec des formes.

André : Cette robe en révèle quelque une sur toi, étonnant non ?

Moi : C'est mon jour de chance !

Je le cherchais du regard, de mes yeux de biche remplis de désir. Il rentrait sans difficulté dans mon jeu. Je profitais de pouvoir un petit peu le dominer. Je m'approcha de lui. Il fit de même. La tension était plus que dangereuse. Et si j'avais envie de plus ?

Nos souffles s'en mêlèrent, nos lèvres se rapprochèrent. Il était à quelque centimètre de moi, je voulais le dévorer. Il me fessait languir jouant avec mon désir. Il passa ses mains dans le bas de mon dos, me fit faire un 360 et un pas en arrière pour me coller contre le comptoir. Nos bassins étaient collés. J'attrapas sa nuque et plaqua avec férocité mes lèvres contre les siennes. Il me demanda l'accès à ma bouche que je lui accorda et nos langues jouèrent ensemble. Le moment était intense.

Il se décolla et j'eu du mal à reprendre mes esprits.

André : Déboussolé ?

Moi : Du tous, pourquoi ?

L'amour, un jeu dangereuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant