Quand je me réveilla, j'étais seule dans mon grand lit. Je regarde autour de moi et y avait un carnage monstre dans ma chambre. Des cousins, des fringues, et du bordel partout à terre. Du grand Yassine encore.
Je me leva et descendis à la cuisine. Mon père était au salon. Je me calla dans ses bras, je m'y sentais tellement bien.
Mon père : Quel beau mino !
Moi : Je tiens tous de toi !
Je partie me préparer un bon petit déjeuné et le dévora. Je partis prendre une douche et remonta dans ma chambre. Je rangeas tous ce qui traînait quand mon téléphone sonna.
Clarys : -On sort sur Paris ?
Moi : -Viens chez moi quand t'es prête.
Je partis m'habiller, un jeans noir taille haute, des converses blanches, un haut top crop en dentelle blanc et une petite veste kaki. Je me maquillais quand j'entendis quelqu'un monter dans les escaliers, l'étage m'étais réservé alors ce n'étais que pour moi.
C'était Clarys qui c'était super bien habillé. Je l'a trouve magnifique ! Nous étions prête alors nous descendions. J'alla embrasser mon père et il me donna des sous. En étant fille unique, c'était beaucoup plus simple.
On partis de chez moi et on marcha jusqu'à la gare.
Clarys : Yass a dormis chez toi cette nuit ?
Moi : Nan tu sais bien qu'il part des que je suis endormie pourquoi ?
Clarys : Il a pas dormis à la maison.
Moi : Ahh nan franchement je ne sais pas.
Clarys : Je le trouve bizarre moi depuis quelque temps.
Moi : Comment ca ?
Clarys : Je sais pas t'expliquer mais il est jamais là, toujours sur les nerfs.
Moi : Il n'a pas changé avec moi. Si tu veux j'essayerais de savoir ce qu'il y a.
Clarys : Azy bon on va où en premier ?
Moi : Mango !
Clarys : Je m'en serais douté.
20 minutes plus tard nous étions arrivées à Paris. Comme d'habitude tous les regards étaient portés sur nous mais on s'habitue vite.
Arrivé dans le magasin un vendeur s'approcha de nous.
Le vendeur : Bonjour mesdemoiselles, puis je vous aider ?
Clarys : Non merci on regarde.
Le vendeur : N'hésitez pas.
Clarys se retourne vers moi avec un grand sourire aux lèvres.
Moi : Qu'est ce que t'a ?
Clarys : Ta vu comment il t'a regardé ?
Moi : Qui ?
Clarys : Le vendeur.
Moi : Ahhh bah il peut me regarder autant qu'il veut, il se fera plus de mal qu'autre chose.
On regarda les fringues, je kiffais trop, je me sentais dans mon élément. Je trouva un super beau jean et une petite robe noir avec un dos nue. On alla dans les cabines pour essayer. Clarys comme d'habitude n'avait rien trouvé à son goût du moins rien qui ne passerais aux yeux de son frère. La pauvre, il était vraiment sur protecteur, elle n'avait le droit de rien faire et sa m'étonnait même qu elle est le droit de venir sur Paris. Fin bon, j'enfila la petite robe et des escarpins et sortis de la cabine. Clarys était assise en face sur un petit tabouret et juste derrière elle se tenait le vendeur qui jeter des regards dans notre direction depuis le miroir face à lui mais je l'avais crame, vicieux !!
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L'amour, un jeu dangereux
أدب المراهقينHISTOIRE FICTIVE Si aimer est le risque de connaître la douleur alors non merci. Je préfère fuir ce sentiment et resté cette fille inaccessible, arrogante et peste que je parer être aux yeux de tous le monde. Puis la vie c'est quoi ? Un simple jeu...