J'ouvris doucement les yeux étendue dans ce grand lit. La pièce était inondé de soleil, ça me donnait très envie de sortir et de profiter de la journée. Je regarda l'heure, oh non il est midi passait.
Je saura sur André qui dormait à point fermé.
André : Hmm mais qu'est ce que tu as ?
Moi : André il est midi passé et nous ne sommes toujours pas descendus.
Il ouvrit grand ses yeux et se leva d'un coup sec. Il attrapa un jean un peu délavé et un débardeur blanc et les enfilas. Je le suivit de près en enfilant une combinaison blanche. Je tressa mes cheveux et nous descendions à toute allure.
La table était dressé sur la terrasse, il y fessait vraiment chaud. Jeanne s'affairait à tous préparer. Je décida de l'aider.
Jeanne : Ne t'embête pas avec tous cela.
Moi : Ça ne me dérange absolument pas vous aider.
La totalité des plats sortis nous nous asseyions autour de la table. Seul les parents d'André étaient là. Je compris que ses frères et sœur n'avaient pas dormis là.
Carl m'adressa un grand sourire et pris la parole.
Carl : Vous avez bien dormis ?
André : Oui papa.
Carl : Et toi Shah ?
Moi : Oui je vous en remercie.
Les parents d'André nous regardaient avec insistance et un sourire malicieux.
Je m'approcha d'André et lui murmura à l'oreille.
Moi : Ils nous ont entendus hier ?
André : Euhhh je crois.
Je me sentais vraiment mal à l'aise, je ne savait plus où me mettre.
Après le déjeuner nous sommes sortis de table, j'ai aidé Jeanne à faire la vaisselle tandis qu'André est partie faire une partie de basket avec son père.
Jeanne : Comment vous vous êtes rencontrés avec André ?
Moi : Il ne vous a jamais parlé de moi ?
Jeanne : Si bien-sûr mais sans entrer dans les détails, je reste sa mère.
Moi : Et bien j'ai rencontré André grâce à son travail.
Jeanne : Bon dans ce cas je n'en saurais pas plus, ni de l'un, ni de l'autre.
Moi : Je n'aime pas beaucoup parler de mes sentiments.
Jeanne : Je comprend voyons, je ne te force à rien, j'aurais simplement mieux connaître la jeune femme qui partage la vie de mon fils.
Moi : Vous savez Jeanne, je n'ai rien d'exceptionnelle à vous raconter. Je suis fille unique. Mes parents sont tous deux chefs d'affaires et depuis mon jeune âge j'ai du prendre l'habitude de me débrouiller seule. Ça fais une dizaine d'années que nous vivons sur Paris et je pense que j'ai fais le tour.
Jeanne : Que voudrais tu faire dans la vie ?
Moi : Je fais des études de management alors je pense rester dans cette voie. Je pense bien être obligé de suivre le chemin de mes parents.
Jeanne : Je peux me permettre de te poser une question Shah ?
Moi : Oui je vous en pris.
Jeanne : Je te sent gênée d'être ici, je me trompe ?
Je devint rouge comme une tomate..
Moi : Euh.. Et bien.. C'est que.. Non je ne suis pas gênée, je n'ai comment dire, pas l'habitude.
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L'amour, un jeu dangereux
أدب المراهقينHISTOIRE FICTIVE Si aimer est le risque de connaître la douleur alors non merci. Je préfère fuir ce sentiment et resté cette fille inaccessible, arrogante et peste que je parer être aux yeux de tous le monde. Puis la vie c'est quoi ? Un simple jeu...