Chapitre 6 : Plaisir de douleur...

268 26 8
                                    

Je ne sais pas si c'est l'orage ou mon estomac, mais je fus réveillé par un gros grondement. Je garde mes yeux fermés et me recroqueville un peu plus sur moi-même... M'enfin, c'était avant de remarquer ma "peluche" dans mes bras. Je suis allongé sur le flanc droit, tourné vers la fenêtre... Et une grosse boule de poil sous mon menton. Après réflexion, je me rends compte que c'est Axel... Mais Axel quoi, pas Axel le chien. Mais Axel. L'humain, en gros. Il a calé son visage contre ma gorge, ses bras m'entourent la taille et son nez contre mon torse me souffle l'air chaud qu'il expire. J'eu un frisson. Je remarque que ses cheveux sont trempés et qu'il ne porte que son pantalon. Doucement, j'essaye de le pousser sans le réveiller pour pouvoir me lever, devant à tout prix aller soulager ma vessie. Peine perdue, il resserre son emprise autour de moi. Merdouille.

- Où tu vas ?

Je sursaute en entendant sa voix.

- Besoin de me trouver un arbre et lever la patte...

Il rit sans bruit, faisant trembler le lit. Et il me lâche les hanches.

- Je te préviens, ça mouille dehors.

Il s'étire et baille. Moi je sors de la pièce et me dirige vers les toilettes. Brièvement, je me demande le pourquoi du comment ses cheveux sont trempés... Il est sorti ? Ça mouille. Oui il doit être sortit !

Une fois la vessie vidée, je me dirige vers le salon. Vu que je suis levé et que j'ai... Très faim, je vais pour préparer à manger. Pour aller à la cuisine, il faut passer dans le salon, et à peine rentré dans cette dernière que quelque chose me tire le poignet et me jette sur le sofa. Je me retrouve sur le dos, Axel à quatre pattes aux dessus de moi, me léchant du menton jusqu'à sous l'œil, comme un chien le ferais. Automatiquement, je mets mes mains dans son dos, ou plutôt les claque tellement j'y ai mis je la force, et Axel descendis en grognant dans mon cou, continuant de... Euh... M'humidifier la peau de sa langue ? Je remarque à nouveau qu'il ne porte qu'un pantalon et sans demander à mon cerveau mes mains caressent entre ses reins et ses omoplates, se délectant de la douceur de sa peau. Je ne sais pas ce qu'il comprit dans ce geste mais je le sens coller son torse au mien, se plaçant bien entre mes deux jambes en les attrapant par mes genoux pour me les faire replier. Le sentir contre moi me donne chaud de l'intérieur, et je plantai, pour je ne sais quel raison, mes ongles dans son dos. Il grognant et arrêta de me lécher... Mais en échange il me...

... J'eu tellement mal que je ne pus retenir mon hurlement. Mal... Si mal... J'ai tellement mal...

... C'est la première fois que je souffre autant...

... Malgré tout... Si je cherche sa trace... Petit à petit, j'éprouve... Du plaisir ?

... C'est violent, sanglant, douloureux... Pourtant si bon... Mon hurlement, il se change en gémissement ?


Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Mar 17, 2016 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

La cours de la ReineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant