II

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      Pendant ce temps... quelque part sur la terre...

      Même l'observateur le moins perspicace aurait pu affirmer sans se tromper que le domaine des ÂMES, situé au nord de la Grande-Bretagne, appartenait à un homme riche. La grande allée bordée d'arbres qui conduisait à la résidence était majestueuse. Les branches des vieux chênes dont la cime s'élançait vers le ciel se touchaient presque. Le sol en terre rouge était parfaitement uni. Entre les troncs massif décorés de mousse apparaissaient des pans de pelouse bien tondue, autant de signes indiquant que le propiétaire consacrait une fortune à l'entretien de son parc.

      L'intérieur n'avait rien à envier à l'extérieur. Chaque pièce portait la marque de la richesse et du bon goût: tapis d'orient , meubles en bois précieux, tapisseries des gobelins. Tout était équipé et disposé  selon le model du XIX e siècle. Cependant, le propriétaire de toute cette fortune, ne semblait pas attaché d'importance à la beauté de sa demeure.

      Dans une piéce dont les fenêtres donnaient sur le jardin, les pensées de l'homme des lieux se portaient sur cette fille qui hantait ses journées comme ses nuits, cela depuis qu'il avait eu à la voir dans le bureau de son ancien frère d'arme Omaeël. Maudissant le jour où il avait croisé son regard.

      Son visage se durcit et prit une expression réellement féroce. " Opaeël! J'aurai dû la tuer lorsque j'avais eu l'occasion. Comment a-t-elle pu me briser le coeur, en me repoussant comme si j'étais un impit, or tout ce que je lui demandais c'était qu'elle me regarde autrement, qu'elle me souris. En outre je voulais juste qu'elle m'aime même si c'était pas au même dégres d'amour qui est le mien, je mendiais juste son affection quelque soit ce qu'elle pouvait bien m'accorder. J'étais prêt a tout pour elle même à me prosterner à ses pieds mendiant un amour défendu.
      Au lieu de cela, elle me regardait avec crainte et respect, faisant semblant de ne pas voir les gestes d'amour que je lui portais. Ce qui avait le don de m'énerver.
      Jamais je n'oublierai son visage. Jamais! Cette silhouette angélique était restée graver à tout jamais dans mon esprit. Toujours vêtue d'une robe blanche neige, légèrement transparente, qui épousait souplement les formes de son corps, elle était d'une beauté à couper le souffle. Même Lucifer était jaloux de sa beauté. Ses cheveux blond platine, toujours soigneux, flotait librement sur ses chevilles( c'est à croire que le créateur faisait dans l'exagération en ce qui conserne c'est oeuvre). Ses pieds était toujours nu. Plus tôt, elle ne portait jamais des sandales comme les autres anges, me rappelais-je. Avec ses grand ailes de trois mètre de hauteur. Mais ce qui m'attirais le plus chez elle était ce regard persant qu'elle posait souvant sur moi, avec ses yeux bleu-un beu pur qui rapellait les eaux de la terre-comme si elle cherchait à lire en moi. Sans compter cette bouche pulpeuse que je rêvais d'embrasser.
       Mais elle m'avait repousé lorsque je lui fait savoir mes sentiments plus explicitement, en me repondant qu'il était interdit aux anges de se mettre en couple sous peine de subir la colère de Dieu. Puis elle me cracha au visage que même si c'était possible, jamais de sa vie elle ne m'accordera son regard était donné que je suis le frère d'arme d'Omaeël son père (car elle avait été créé à travers une goute de son sang).

       Je n'ai jamais plus été le même depuis ce jour là. Mais le temps est venu pour moi de me vanger de toi ma petite Opaeël, et crois moi tout ce que je te reserve tu aimeras cela à en jouir, et tu m'en redemanderas encore et encore je t'en fait le serment , serment de démon mon amour.

      Soudain une voix profonde et sourde lui fit se détourner de ses penses:

      - Mon temps est proche mon chèrs Armers

      Sans se retourner, Armers connessait l'identitée de son interlocuteur.

      - Ne te stresse pas la peau des écailles mon chers  lucifer , repondit Armers sur un ton ironique.

      - Il me le faut au plus vite, tu m'entends? Je ne doit pas perdre cette fois ci!
  Le dernier pari que j'ai fait avec lui , à faillis être un succes mais il a fallu que ce putain de Job s'accroche à sa putain de foie me faisant perdre mon pari. Mais cela ne se reproduira plus et tu feras tout pour cela. M'entends tu? Gronda ce chers Lucifer comme a son habitude.

      - Oui votre cruauté! Toujours sur un ton iraunique.
    
      Puis il se retourna et ajouta plus sérieusement

      - Mais n'oublie pas notre pacte sinon tu le regreteras roi des enfers.

      - J'espère pour toi que tu ne me ménaces pas Armers! Tu sais de quoi je suis capable. Et pour te repondre oui, je ne l'oublie pas je t' y amènerai voir ce chers Azazyel . Dailleurs que cherches tu à savoir au près de lui que j'ignore?

      - Sans vouloir vous offenser cela ne regarde que moi.

      - Soit! Du moment que tu ne conspires pas contre moi je m'en contrefiche pas mal.
  Mais pour l'heure dépèche toi de mettre ton plan en exécussion le temps m'est compté!

      Et sur ce, Lucifer s'en alla comme à son arrivée, sans une salutation ou une marque de politesse.

      -Alors que la partie commence! Déclara Armers dans un éclat de rire dialique qui pouvais se faire entendre dans tout le manoir.

 Demon's angel  ||  H.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant