Il faisait nuit noire lorsque enfin l'ange Opaeël arriva sur terre. Le voyage, bien qu'un peu long, s'était parfaitement bien déroulé.Elle replia ses ailes sur elle même en une sorte de manteau très élégant qui lui arrivait au niveau de ses chevilles, et redressa sa tête pour se répérer dans cette obscuritée. Elle vit alors un homme élancé de peau claire s'avancer vers elle.
- Vous devez être l'ange Opaeël ? Ma Range Rovers nous attend.
Un peu prise de court, elle cligna des yeux pour toute reponse.
- Archange phanuël , vôtre agent de liaison entre les terres céleste et vous, fit-il avec un large sourire. C'est Asaliah qui devait s'occupé de vous, mais il a été retenu par une affaire capital.
Puis ils se dirigaient vers l'automobile et démara. C'était l'un des moyens les plus rapide pour ce déplacer sur terre étant donné qu'elle ne pouvait se déplacer avec ses propres, atouts, ses ailes. Qui ont besoin de se reposer après l'épuisement du transfert.
La question qu'elle se posait était de savoir pourquoi un archange était son agent de liaison entre le paradis et elle. C'était inconcevable. C'était comme si tu disais à un chef des forces armée qu'il était le subalterne d'un soldat. De plus en plus elle ne comprenait rien à cette affaire. Plus elle avancait plus le mystère s'épaississait autour d'elle.
Ce n'était qu'un voeux! Ce dit elle à son fond intérieur. Bien qu'il soit attribué à un demon, il restait tout de même un voeux. Il y avait donc aucune raison pour que les séraphins et les Trônes s'en mêlent. Et encore moins les Archanges .
- Opaeël comment avez-vous connu votre attaché? Demanda-t-il soudainement pour chasser le silence qui s'était instalé entre eux.
- Je vous empris appellé moi Opale. Par le biais d'un ami malchanceux qui s'est fait avoir par la fourberie d'un démon, repondit-elle a sa question.
Vous vivez ici, Archange phanuël? Demandait-elle pour faire diversion.- Premièrement appellé moi Louis Tomlison c'est mon nom sur terre. En suite pour repondre à ta question non je suis là juste pour remplacer Asaliah sur cette affaire puis je retournerai vers mon père pour un rapport sur mes missions précédentes et celle-ci.
Il se tut un instant avant de reprendre:
- Aimerez-vous que je vous accompage, question de vous rassurer par ma présence?
- Ne vous inquiétez pas, le rassura-t-elle en souriant, je suis venue ici pour accomplir ma tâche.
Ils semblaient rouler depuis une éternité lorsque le jeune homme désigna une lumière au loin.
- Voici la demeure des Âmes. Désigna-t-il de son index un manoir majestieux entouré d'arbres.
Roulant encore sur quelques mètres, il gara sa voiture près des escaliers donnant sur une grande porte, et se retourna vers elle.
- Vous n'avez pas peur de rester là, toute seule?
- Non affirma-t-elle tout en descendant du véhicule.
Puis d'un pas décidé, gravis les quelques marche de l'escalier, frappa trois coups sur la porte puis se retourna en agitant la mains a Louis en guise d'un aurevoir.
Ce dernier démara et repartit à contre coeur, sous le regard de Opale.
Elle se retourna pour refrapper mais s'arrêta à la vue de la porte. Des petits visages étaient sculter dans le bois. Certains d'entre eux avaient leur bouche déformer , d'autres, des yeux qui exprimatient une profonde douleur.
Se donnant plus de courage elle acheva son action et frappa une second fois.
La porte souvrit alors sur un homme squeletique. Il avait la peau blafarde, les joues creuses et un éclat de démence dans son regard. Il plia les doigt pour ouvrir largement la porte à la visiteuse, lui fait signe d'entrer et marmona:
- Le maître vous attend dans son bureau.
Passant la porte, elle remarqua que bien que la maison appartenait à un demon, elle ne manquait pas de charme. Du moins, du point de vue du salon. Deux grand canapés recouverts de chintz bleu faisaient face à la cheminée ou crépitait un feu qui rechaufait la piéce, tandis que deux chaises et une table étaient disposées sous une fenêtre. Dans un coin, une porte donnait sur le bureau, où, l'informa le squeletique, se trouvait son maître. Une désagréable odeur de souffre qui flottait dans l'air émanait de cette porte.
- Plus vite j'entrerai dans cette pièce, plus vite j'exorcerai son voeux et plus vite je m'en irai d'ici. Se repéta à elle même pour se donner du courage.
Elle frappa trois coup sur la porte d'accajou et entra sans attendre la reponse du soi-disant maître des lieux.
Un homme était tenu derière un bureau spacieux assis sur une chaise en cuire. Il avait un physique à faire palîr d'envie n'importe quel mannequin homme. Grand, mince et athlétique, il était vêtu d'un pantalon et d'une chemise Dolce Gabbana manifestement taillés sur mesure. La coupe et le style du couturier étaient identifiables, mais certains détail subtils ne trompaient pas. C' est vêtement n'aivaient pas été achetés dans un magasin. Il était vrai qu'un démon avait les moyens de s'offrir tous les luxes de la terre. Pourquoi s'en priverait-il?
L'éclat de ses yeux vert , qui promenaient sur elle un regard brûlant, était adouci par une lueur malicieuse. Dans l'exercice des ses tâches, elle avait eu à côtoyer quelques-uns des hommes les plus beaux de la race humaine, mais il était le premier à lui faire vaciller sur ses jambes.
Son visage au teint hâlé, taillé à la serpe, était encadré par d'épais cheveux noirs un peu longs, qui bouclaient sur sa nuque. Pas de doute, il était d'une sublime. Mais il y avait autre chose. Et c'était ce《autre chose》qui provoquait en elle un trouble inhabituel... déglutissant péniblement, Opale recula encore d'un pas.
- Entrer je vous empris mon Ange ajouta-t-il a son adresse.
Elle s'approcha alors au centre de la pièce, son vrai visage se dessina soudainement devant elle.
Elle aperçu une image rouge et cornue dans le reflet des fenêtres. Elle détourna les yeux. C'était une image trop horrible à contempler pour un regard non démoniaque.
Elle s'avança vers lui de quelques pas et lui fait signe de s'approcher par les gestes sa main. Il s'exécuta sans se faire prier. Placée devant lui, elle tandis les mais dans sa direction, la tête légèrement relevé, les yeux clos, elle déploya ses ailes à la vertical. Une poussière argentée se souleva au tour d'eux jusqu'au niveau de leur genou, et les encerclait sur un rayon d'un mètre. Poussant la concentration un peu plus loin, une lumière blanchâtre jaillis de ses mains. Ouvrant ces yeux, elle recita la formule qui allait donnée à ce démon tout satisfaction.
Vocis citatus flamine
Pater noster, qui es in coelis
Sanclificetur nomen tuum
Dimitte nobis débita nostra
Sicut et nos dimittimus debitoribus nostris.- Quel est votre voeux démon?
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Demon's angel || H.S
FantasyExtrait: - Cette femme est à moi ! Cria le démon. Son sang, sa vie, son âme m'appartiennent. J'attends choisir moi-même l'heure et le lieu de sa renaissance. Quelques minutes passèrent, au cours desquelles ni tremblement de terre, ni écl...