Les yeux fixés sur le sentier bordé de fleurs, Lucifer refoula ses souvenirs. Il se mît à fredonner une chanson qui avait été écrit à sa gloire, composé, par un humain qui avait pactisé avec lui pour une gloire mondiale en échange de son âme.
Mais ni cette musique fredonnée, ni le calme et la paix des lieux ne parvenaient à l'apaiser. Il y'avait à peine cinq minutes qu'il se trouvait là, à marcher, où il avait été chassé et déjà, ces anges et soldats n'étaient pas loin de le rendre fou. Tous à se mettre, soit à louer leur stupide seigneur, soit à s'entrainer au combat. Il ne pouvait s'empêcher de regarder un moment parmis les combattants et de voir à quoi peu bien ressembler leur entraînement. Autant en profiter puisqu'il s'y trouvait.
Tous avaient l'air si stupide, lorsqu'il fixa en premier lieu les novices. Aucune discipline rude pensa-t-il. On aurait cru voir des enfants de cinq ans dans un baque à sable tenant à la main une épée en plastique. Patétique! Dit-il.
Alors il détourna son regard pour fixer les guerriers avérés. Il les connaissait par coeur, étant donné qu'il avait été leur chef autre fois. Chaque esprit homme comme femme à été sous son commandement et s'est prosternés devant lui pour recevoir la lumière de Dieu. Ce souvenir le fit sourire. Pas d'un sourir bienveillant mais d'un sourir diabolique qui était remplit de promesse sinistre et de vengeance.
Il fût soudain ébloui par une lumière qui le fît cligner des yeux. Et par reflexe, à la dernière minute, il exquiva une épée de glace. Manifestement la personne qui avait lançé cette attaque ne le visait pas. Il s'éfforça de maintenir sa posture de conquérant et de maître, tout en cherchant l'esprit qui était à l'origine de cette "attaque". D'après ses renseignements il n'y avait pas d'ange capable de faire cela : maitriser l'éléments de l'air et l'eau pour attaquer. Il se posa alors la question lequel de ses anciens camarade à eu ce don et en quel honneur.
C'est alors qu'il remarqua un esprit au loin. Sans hésiter, il affirma que c'était une femme. Elle était différente. Sans savoir ce qui la différenciait des autres, Lucifer se mit à l'observer. Sa posture en disait long sur elle. Elle n'était pas une combattante du corps à corps, encore moins une qui magniait des armes, puisqu'elle n'en avait aucune en sa possession. Mais le plus étonnant était le fait qu'elle avait cinq archanges autour d'elle, tous armés, et près à attaquer. Que faisait les chefs de division avec cet esprit qui ne s'avait pas se battre visiblement, se demanda-t-il.
Fixant attentivement l'ange, Lucifer remarqua alors sa grande beauté. Elle avait des formes généreuses et un visage d'une perfection à couper le souffle. De toute son existance il n' en avait jamais vu de plus parfait et beau, que ce soit dans le ciel, sur terre, dans les océans ou même sous terre, cet ange était belle à damner une âme. Dieu s'était surpassé sur ce tour-ci, se dit -il à son fond intérieur. En poursuivant son examen, il remarqua que son corps était recouvert d'une simple robe de soie toute transparante, faisant entrevoir sa feminité. Des émotions se bouscula en lui: colère? Désire? Jalousie? Envie? Lui-même ne savait pas ce que c'était, mais une chose était sûr. Il la désirai.
Si elle avait été humaine, il l'aurais possédé dans toute les position inimaginable, puis tuer. Pour la simple et unique raison qu'aucun être ne devrait le surpasser en beauté.
Capturé dans son annalyse sur cette ange, il l'observa dans ses moindre faits et gestes. Elle déplia ses ailes et à peine quatre secondes de concentration, un vent de cristaux glassé transporta les archanges pour les propulser plus loin. Sans pour autant arrêter là, elle s'éleva dans les air, tappa dans ses mains au dessus de sa tête. Ce geste fît apparaitre des menottes de glace qu'elle lança vers ses adversaires. Ses derniers se retrouvèrent pieds et mains liés s'éparément.
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Demon's angel || H.S
FantasyExtrait: - Cette femme est à moi ! Cria le démon. Son sang, sa vie, son âme m'appartiennent. J'attends choisir moi-même l'heure et le lieu de sa renaissance. Quelques minutes passèrent, au cours desquelles ni tremblement de terre, ni écl...