Ce bruit m'attire, j'écarte alors la végétation sur mon passage et aperçois des silhouettes accrochés aux arbres qui se balancent au fil du vent. Je m'approche par curiosité et distingue mieux ce qui pend devant moi.
J'en ai le souffle coupé, des participants de la simulation se trouvent pendus, les veines ouvertes. "Toc, Toc,...", ce bruit vient alors de leurs jambes qui s'entrechoquent contre le tronc de l'harbre à cause du vent qui c'est levé. Je cruste leur visage, la fille pendue était allongé sur le lit à côté de moi avant que la simulation ne commence. Son visage est bleuté et un filé de sang coule de sa bouche, ses poignés ouvert dégoulinent sur l'herbe verte. Tout comme le garçon, pas plus vieux que la jeune fille morte dans mes bras il y a à peine deux minutes. Trois morts dans une journée, alors que d'habitude, c'est trois lapins tués à la chasse. Je veux retrouver qui à fait tout ce mal. Ce spectacle c'est figé en moi, l'odeur du sang humain m'habille dès à présent et la mort reste sur ma conscience. Je dois retourner au lac, en m'efoncant encore la situation deviendra trop dangereuse. Le problème c'est que je me suis trop enfoncé...
Moi:[Alors là c'est la meilleure! Je tombe dans le coma, me retrouve dans un sal état après, à manger tout les matins des pomme degeux et me retrouver nue au milieu de la forêt à chercher encore et encore ce saleté de crétin de Tom. Avec en plus un meurtrier dans les parages.]
Je craque: "Putains mais j'en ai marre!". Je tombe à terre, je suis épuisé, mes plaies son mélanger à de la terre et mon morale est à 20 %.
[mais il te reste encore 20% Joyce !], je me redonne du courage, une guerrière ne tombe jamais à genoux même devant la mort. C'est une honte de notre peuple.-Oh, sympathique !", soudain une voie grasse m'interpelle. Un groupe de garçons apparaît derrière les arbres. J'y reconnais Lucien et John, leur visage sont plein de lassitude et de crasse. Mais le fait de me voir leur donne une bonne raison de sourire. Ils y a deux autres garçons avec eux, celui qui m'a adressé la parole est grand et peut commode,un monsieur muscle, l'autre blond d'apparence athlétique,aussi me décroche un sourire sournois.
Monsieur surnois :" Salut chérie, tu voudrais pas venir jouer avec nous un peu ?!"
Lucien:- Faites gaffe les mecs, cette nana mort"
Un plus large sourire apparaît alors sur les lèvres de Monsieur surnois:
"On verra si elle mort après."
Je pointe alors ma flèche de mon arc vers lui:
Moi:" Un pas et tu meurs."
John:-Tu n'as jamais osé tirer sur quelqu'un Joyce ", le mot de trop, je tire à côté du pied de Monsieur surnois pour lui faire comprendre que le prochain c'est sur le pied.Ils se mettent à rire:
Lucien: " C'est pas une ridicule flèche qui-
J'en tire une qui se plante dans sa jambe. Il pousse un crie de douleur.
Moi: " La prochaine je vous jure que c'est dans la tête que je tire !", ma voie est glaciale et otoritaire. Je veux qu'ils comprennent que je ne suis pas sans défense et le sang sur leurs mains me font pensé qu'ils sont peut être l'oeuvre de tout ces crimes horribles qui se trament depuis aujourd'hui, j'ai un peu peur mais ne le laisse paraître :
Moi: " Dis John, où son passé tes petits toutous ? Et Tom où est il ?!"
John ne répond pas, c'est Monsieur sournois qui ose m'adresser encore une fois la parole :"Tu parles trop", ce coup là je ne l'avais pas senti venir. Il m'atteind le visage avec son poing de pierre et le choque me fait valser.On m'emprisonne mes gestes, sûrement Monsieur muscle et il me rie dans le cou. Je vois Lucien à taire qui aboie de me faire souffrir. Monsieur sournois qui se dirige vers moi, mais je ne vois pas John. Monsieur muscle me tiens ferme, mes tentatives de balancés de jambes,de coups de coudes,poings...ne mènent à rien. Monsieur sournois lui pose ses mains sur mes hanches nues et approche dangereusement son visage du miens:
Monsieur sournois: "T'es vraiment bonne"Je lance ma tête en arrière avec rage et arrive à atteindre sa mâchoire. Il recule pris de douleur et j'essaye, encore une fois, de me débattre. Mais ça ne mène à rien. Monsieur sournois me regarde avec malice, je m'attend à tout:
"Bien,tu aimes la violence et bien on va t'en donner nous".