Le soleil se couche doucement vers l'horizon, il laisse des traces orangés et jaunes comme de la peinture renversée sur le ciel. Le léger vent qui se réveille caresse les cheveux ondulé de Tom qui plante la dernière graine du sac, il recouvre le trou d'un geste délicat et depose quelques gouttes d'eau pour abreuver ce qui deviendra un légume permettant à son peuple de vivre. Il s'essuit le front trempé de sueur à cause des 30 rangées de graines qu'il a planté aujourd'hui depuis la matinée.
Des enfants jouent non loin, leurs rires sont emportés par le vent. La robe blanche tachée de boue de la petite fille virvolte et entame une danse avec ses petites pieds, le garçon essaye de l'attraper mais la jeune fille tourne au tour de lui sans être vraiment à sa porté telle une jeune colombe jouant avec son prédateur.
La forêt est bien calme, son feuillage dancent lui aussi au fil du vent.Pamela: " Tom va chercher du bois dans la réserve s'il te plaît", sa mère lui fait un vif geste de la main pour lui dire de se dépêcher.
Il acquièse d'un petit signe de tête et se dirige vers la forêt. A ce moment même un lapin est à découvert, Tom l'aperçoit et s'immobilise. Le lapin fait de même lorsque Tom fait craqué une branche sous son pied, leur regard se croise. Par habitude il sort de sa poche le canif de son père qu'il lui a donné lors de son dix-huitième anniversaire. Mais le simple contact avec cet objet froid lui rappel sa dernière conviction: ne plus jamais tuer pour le plaisir. Il le range alors comme si son simple geste n'avait jamais été.Un cri s'échappe du fond des forêts, ce qui laisse une autre raison au lapin pour s'enfuir. Tom ne sait pas d'où ce bruit pourrait parvenir, la forêt fait plus d'un milliers d'hectares. Mais si son idée est la bonne il pourrait avoir une réponse à sa question.
...
Ma falenge de ma main droite saigne. À force de taper dans les sacs de sable mes mains sont en piteuses états.
Moi:" pas le temps de se plaindre !"
Un vif coup de pied dans-" putain de sac ", le pied aussi est rempli de bleu.
Moi: " OK, 5min de repos et après on s'y remet."
Tom aparé de derrière un arbre et trouve Joyce allongé dans l'herbe,les yeux clos,le visage détendu et paisible. On dirait qu'elle sait endormis parmis les fleurs sauvages, elle semble appartenir à ce paysage tellement elle ne fait qu'un avec le sol.
Mais Tom remarque alors que ses pieds sont couverts de bleu pareille à ses jambes, et ses mains pleines de sang. Il fait soudain attention aux sacs éventrés par terre qui vident leur sable parmie l'herbe fraîche. Lui qui pensait qu'elle se tenait enfin tranquille.
Tom:" Dis tu devrais arrêter un peu tu vas te tuer comme ça."
Elle n'a pas du l'entendre arriver car elle s'est redresser d'un bon.
Moi: "Tom?! Qu'est ce que tu fais là ?
Tom:- On m'a demandé d'aller chercher du bois... Dis allez arrête un peu tu veux."
Son regard était presque implorant, il avait tellement l'habitude de la voir dans cet état. Petite c'est elle qui se frotter aux gamins les plus balaises sans aucune peur dans les yeux et c'est lui qui se cacher derrière elle. C'est elle qui allé toujours au delà de ses limites physiques jusqu'à temps de réussir et lui qui traîné la patte dans les forêts en la voyant poursuive depuis une heure la proie qu'ils traquaient. On aurait plus dis que Joyce était l'homme et lui la femme. Mais défois il lui arrivé de devoir ramasser les morceaux, lorsqu'elle allait trop loin comme maintenant....
Une douleur me cours tout le long du bras, le coton d'un blanc pure imbibé d'alcool, qui caresse mes plaies sur mes mains, est souillé par le sang foncé de mon corps. Tom tournes ma main avec précotion. Ça a toujours été comme ça. Je me battais et Tom me soignais.
Un silence apaisant régne dans la maison. Mais je veux le rompre:
Moi :"Dis? Tu comptes t'entrainer aussi ou continuer à planter tes légumes ?!", à son tond cela n'avait rien d'une réelle question mais plutôt d'une critique.
Tom:"Tu sais très bien ce que j'en pense..."
Moi: "Mais je pourrais t'apprendre, te montrer les bases du combat, les cachettes que renferme la forêt, la manipulation des armes, la-
Tom:" Joyce! Inutile, je ne veux e' aucun cas accéder au trône. Je ne serais pas à la hauteur...alors que toi-
Moi:" Je ne parlais pas de ça !ok le but de cette élection est le trône mais les concurrents n'hésiteront pas à en éliminer certain pour avoir plus de chance de gagner, et je sais que tu sais de qui je parle,tu comprends. Laisse moi juste t'apprendre à te défendre"d'un léger souffle elle lui prononça" s'il te plaît."