C'était Adrian qui me faisait un gros câlin il me dit en chuchotant tous bas : « n'ai pas peur, je suis là avec toi, je t'aime... tu peux compter sur moi, je serais toujours là pour toi, tu es mon soleil, ma vie et je te protégerais » sa voix était douce et je ne m'en lassais pas. Mais je trouvais quand même un peu étrange qu'il me parle d'une façon aussi familière et beaucoup trop affectueuse. C'est seulement après qu'il m'ai dit « ne t'inquiète pas je te protégerais toujours des méchant cauchemars qui te font peur et te veulent du mal » d'une voix moqueuse que je compris qu'il riait de moi et m'infantilisait. Je me suis alors dégagée de son emprise et je me suis tournée vers lui, je ne voyais pas son visage a cause de l'obscurité mais je sentis qu'il souriait, un frisson venant de mon bas-ventre me traversa, ça me soulagea autant que cela me mit en colère car il avait fait la tête toute la journée en me faisant stressé pour rien. Finalement je me suis jetée sur lui ce qui nous fit basculer en arrière, il tomba sur le dos et je me retrouvai au dessus de lui, nos nez à deux centimètres l'un de l'autre. Je le regardai et il me regardait aussi, bizarrement, alors j'ai reculée la tête en le martelant de coups affaiblis par la peur, toujours présente, du noir. Il me retint les bras par les poignets en rigolant et me tira vers lui alors que je m'étais écartée, il me fit basculer très vite vers la droite et se retrouva au dessus de moi. Il glissa une de ses jambes entre les miennes et exerça une légère pression sur mon intimité. Il écarta mes bras en les posant sur le sol de chaque côté de ma tête, il se rapprocha doucement de moi pendant que mon cœur s'affolait, je me débattis un peu pour la forme mais ça ne fit que nous excité un peu plus tous les deux. Il se rapprocha et posa délicatement ses lèvres sur ma bouche, elles étaient douces comme la soie, aussi douce que son caractère, après le gout menthe-chocolats des lèvres de Josh et celles que j'imaginais café, comme son odeur de Wren, le gout de celles d'Adrian me surprirent un peu plus, elles avaient un gout sucré mais amer en même temps, elles étaient comme de la barbe_a_ papa mangé après avoir bu un chocolat chaud très amer. En fait c'était exactement cette saveur la que l'on ressentait en l'embrassant. Je lui rendis son baiser avec une fougue nouvelle qui le fit sourire tout contre moi. Ses mains, qui tenaient mes poignets, glissèrent le long de mes bras, caressant cette peau fine et sensible au creux de mon coude, ce qui me fis de nouveau frissoner de désir. Après les jeux de bouches, nous en vinrent aux jeux de mains et ses doigts fins, remontant sous mon t-shirt en laissant ma peaux brulante bien qu'ils soient froids me plongèrent dans un état presque idyllique. je remontai l'une de mes mains jusqu'à ses cheveux et jouai avec eux, ils étaient si doux que je les caressai, j'aimais ses cheveux qui étaient beaucoup plus long que les miens, il est vrai que je les portais assez court pour une fille. C'est alors que la porte s'ouvrit en grand sur Wren et Josh, qui inquiet de ne pas nous voir revenir, avaient accourus pour vérifier que rien de grave ne s'était passé. Lorsqu'ils nous ont vus dans cette position, Wren s'est dépêché de venir me relever pendant que Josh, furieux, plaquait Adrian contre le mur, un bras contre sa gorge, en lui hurlant dessus je ne sais quoi dans un anglais que je ne parvenais pas à comprendre. Wren voyant que je ne saisissait pas le sens de ses paroles, m'expliqua qu'ils avaient fait un contrat qui les obligeaient à ne pas essayé de me m'embrasser comme josh l'avait fait quelques semaines plus tôt, avant que je n'ai décidée avec lequel d'entre eux je voulais être, avant que je ne tombe amoureuse de l'un d'entre eux, et après l'avoir annoncé devant les deux autres. C'était donc une guerre entre prétendant afin de me conquérir, moi.
Lorsque Josh l'eu relâché, Adrian, en toussant, nous confia que s'il était de mauvaise humeur ce jour là, c'était parce qu'il était frustré justement à cause de ce contrat. Ils me regardèrent tous les trois comme pour me demander de choisir, en se même instant, lequel d'entre eux serait l'heureux élue. Je levai alors les mains comme signe que je me rendais mais je ne le fis pas du tout... Lorsque j'ouvris la bouche ce ne fus pas pour leur dire la réponse qu'ils espéraient :
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Trois ou un seul
Randomceci pourrait être une histoire normale pour adolescente en chaleur mais bien que cela commence de cette manière, le fantastique ne tarde pas à arriver.