Et pourquoi pas?

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Mes parents étaient parti en voyage pour quelques semaines et me laissèrent à la maison. Lorsque le lundi matin j'appris la nouvelle à mes ami(e)s. Cela ne me plut pas a tout le monde, et puis ça ne plut surtout pas non plus aux « jelli's ». En effet, lorsque j'en parlai à Annie et à Clémence, qui étaient toujours mes meilleures amies bien que je passai un tout petit peu moins de temps avec elles (et elles me le faisaient bien payer), ils m'écoutaient en douce. Et lorsque qu'ils comprirent que mes nouveaux correspondant ne seraient pas des filles mais des garçons, ils froncèrent les sourcils, et tout le reste de la journée ils me semblèrent totalement différent des autres jours. Ce qui fut le plus flagrant ce fut Josh qui, bien qu'il ait arrêté de draguer des filles après avoir réalisé qu'il m'aimait (d'apres les deux autres garçons, car bien sur c'était faux selon lui), recommençait a parlé aux filles qu'il fréquentait avant, c'est-à-dire le genre de filles tellement différentes de moi et que je détestais. Cela faisait déjà plusieurs mois qu'il ne parlait plus qu'aux filles qui étaient mes amies. Et ça c'était bizarre. Et ce n'était pas le seul. En effet Adrian et Wren, qui n'avaient jamais regardé personne d'autre que moi s'y mettaient. Et bien que cela se voyait comme le nez au milieu de la figure qu'ils étaient jaloux, surement du fait que deux garçons allaient bientôt dormir à quelques mètres seulement de moi et seulement séparés par deux portes, et qu'ils essayaient de me rendre jalouse, ce que, bien sur, je ne pouvais m'empêché d'être. Annie et Clémence, elles, ne comprenaient pas nos grognements contrariés car bien qu'elles soient devenus aussi les meilleures amies des garçons, nous n'avions pas eu le courage de tout leur raconter, et nous avions peur de devoir un jour leur dire, même si nous savions que garder cela pour nous serait impossible. En fait, elles, elles étaient plutôt enthousiastes de ce qui se passait et n'arrêtaient pas de m'affirmer que ce serait une superbe occasion pour moi de trouver enfin le copain dont je rêvais depuis tant d'année maintenant. Et lorsqu'elles eurent fini de dire cela Josh donna un grand coup de poing dans le mur qui fit un bruit énorme et fis sursauter tout le monde. En fait au même instant et poussés par le même réflexe d'insurrection que le fus Josh, Adrian s'était mordus la lèvre inférieur jusqu'au sang et s'était planté les ongles dans le bras laissant de grandes marques sanguinolentes, alors que Wren lui avait rompus d'un seul coup sec un bout du dossier de la chaise sur laquelle il avait posé sa main. Ils me regardèrent tous avec des yeux suppliant, me demandant du regard de ne pas « passer du côté obscur de la force » en choisissant les allemands au lieu de l'un d'antre eux. Les filles continuant sur leur lancée, bien qu'elles trouvaient que quelque chose n'allait pas et était plutôt bizarre, dirent que lorsque j'aurais choisi l'un de mes correspondant, l'une d'entre elles prendrait l'autre et que la dernière choisirait entre les « jelli's ». Tout n'était qu'ironie et humour mais les garçons le prirent quand même mal et leurs répondirent qu'ils ne seraient qu'à moi et ce pour toujours. Juste après avoir dit cela l'un entouras mes jambes de ses bras, le deuxième passa les siens autour de ma taille et posa sa tête contre mon ventre. Et le dernier passa tout simplement ses bras autour de mes épaules en déposant un tendre baisé tout contre ma tempe.

Les filles ne se continrent plus et au lieu d'éclater de colère comme je l'avais imaginé maintes et maintes fois, elles éclatèrent de rire en nous disant :

- A bah quand même ! Vous vous décidez enfin à assumez votre amour tout les quatre. Vous ne pouvez tout simplement pas imaginez toutes les piques et les perche qu'on vous a lancé pour que vous crachiez enfin le morceau, il n'y a pas à dire, ce fus compliqué.

- M...mais vous saviez depuis longtemps toutes les deux ?? demandais-je un peu surprise.

- Et bien seulement après quelques mois, nous vous avons vus échangé des mots doux, vous sourire les uns aux autres et vous regardé en amoureux transis. Rigolas Clémence.

- C'est vrai que bien que nous savions que tu n'étais qu'une grande gueule, Marie, nous n'imaginions pas que tu étais aussi fleur bleue. Rajouta Annie, elle aussi en rigolant.

Puis leur petit rire se transforma peu à peu en fou rire qui nous contaminas tous les uns après les autres. Et alors que nous rigolions tous ensembles sous les regards à la fois étonnés, gênés ou méprisant des autres élèves de la classe, notre prof d'allemand s'installa pour le prochain cour et m'interpella, elle me dit qu'elle était désolé mais que, suite à un problème de train, mes correspondants allaient arrivés le lendemain. Après cette soudaine information, dérangeante je dois l'avouer, mon problème à moi fut que le lendemain, mes parents et mon frère n'étaient pas là et que j'étais persuadée que je ne pouvais pas les accueillir sans eux. Alors que j'allais appeler mes parents pour leur faire par de mon dilemme, Wren m'arracha le téléphone des mains et se mis à parler avec mon père pendant une bonne dizaine de minutes. Il me le rendit après avoir raccroché et me racontas qu'après avoir négocié assez longtemps avec lui, ils en étaient arrivés à la conclusion que les garçons ainsi que Annie et Clémence viendraient chez moi afin d'aller les chercher et de leur organisé une petite fête de bienvenue. Afin que je ne sois pas seule pour accueillir chez moi deux garçons que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam.

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Voilà voilà un petit chapitre totalement cucul parce que je ne savais pas quoi écrire... je vous l'offre avec son lot de fautes d'orthographes puisque je me suis pas relue dsl... en tout cas en espérant que ça vous plaise toujours (ça doit être dur)
XoXo CdPhoenix

Trois ou un seulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant