13) Sauvée.

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Et nous virent au loin, les soldats de mon village. Ils étaient venus nous sauver. Ils étaient montés sur des colibris et avaient des sortes d'armures en feuilles et dans leurs dos se trouvaient des sacs de flèches avec des arcs. Ils se posèrent devant nous et commencèrent à tirer sur les Kygans qui eux étaient à pied.

Soldats: Courer vous mettre à l'abri!

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Soldats: Courer vous mettre à l'abri!

Nous courâmes encore pendant quelques mètres, et soudain, se posa devant nous le chef du village.

Chef: Montez et retournez au village, prenez mon colibri, vite!

Moi: Mais et vous?

Chef: Ne faites pas attention à moi! partez!

Il descendit pour nous laisser la place. Je pris le commande et nous nous rendîmes au village en quelques minutes. Puis je fis un bandage à Florent. Et grimpa sur les colibris.

Florent: Non Maelys, tu ne peux pas y retourner!

Moi: Mais bien sur que si, c'est mon devoir!

Florent: Ton devoirs est de rester en vie, tu ne dois pas y aller.

Il avait raison, mais c'était si cruel de devoirs les laisser tous tomber. Je ne pouvais pas! Je tombai dans les bras de Florent en pleure. J'y restai jusqu'à ce que les premiers soldats revinrent. Et ce fut malheureusement le bras droit du chef avec dans ces bras... le chef du village inconscient.

Moi: Ho non! Il est ....

Bras droit: Non, seulement blaissé...

J'en fus soulagée. Je passai le reste de la journée au côté du médecin, je voulai à tout prix soigner le chef du village. Après tout c'était de ma faute, si je n'étais jamais venu ici, il ne serait jamais blessé.

Quelques jours plus tard, le chef était sauvé! J'en fus très heureuse! Seulement tous les soldats n'avaient pas eu cette chance... Il y avait eu tant de morts... par ma faute. Mais l'ont m'appris que les Kygans aussi avaient eu de grosses pertes. Cela ne m'aida pas à me sentir mieux. Alors j'allai m'enfermer dans ma hutte pour pleurer. A ce moment là, j'entendis toquer à la porte.

- C'est moi, c'est Florent. Ouvre-moi s'il te plaît!

Je lui ouvris la porte et le serra contre moi.

Moi: Ho Florent! jamais je n'aurais dû venir ici! Tous ces gens sont morts par ma faute!

Florent: Mais non voyons! Il y aurait quand même eu cette guerre! Les deux clans se détestent, ça se serait passer quand même. Et puis si tu n'étais pas venue, nous ne serons pas ensemble!

Je restai dans ses bras toute la nuit et...

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Chapitre assez triste et riche en pleure, le prochain sera plus joyeux!

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