Livaï X Reader

Des traîtres au Bataillon

Pdv Reader :

- Je peux savoir pourquoi tu m'as ignoré toute la journée ?

- Je t'ai pas ignoré !

- Alors pourquoi à chaque fois que je venais vers toi tu changeais de direction ?

- Je vois pas de quoi tu parles. Lâche moi maintenant !

- Non.

- Pourquoi ?!

- Répond à ma question.

- Non ! Lâche moi ! Criais je.

Il fut légèrement surpris et recula un peu en desserrant sa prise sur moi ce qui me créa une ouverture. Je me dégagea et partit à l'opposé d'oú on été venu. Sauf que c'était un cul de sac je me retourna pour partir mais il se mis devant moi.

- Laisse moi passer.

- Non. Si tu veux vraiment passer vas y mais je bougerais pas.

Je me mis alors à courir pour passe en fermant les yeux. Mais je me cogna et tomba dans un grand "boom" quand j'ouvrir les yeux j'étais par terre sur les fesses et lui n'avait pas bouger d'un millimètre.

- Je peux savoir ce que tu fous ? Dit il en tendant sa main vers moi pour m'aider à me relever.

- C'est parce que tu t'es pas poussé !

- Dis moi pourquoi tu m'ignore depuis ce matin.

- Je t'ignore pas tu te fais des idées !

Il me plaque contre le mur et approche son visage de moi jusqu'à ce que son front touche le mien et que je sente son souffle sur mon visage. Je rougis et bloque ma respiration. En priant pour qu'il n'entende pas mon cœur s'affoler. Les larmes me montaient au yeux je voulais partir. "Je ne veux pas qu'il le découvre. Tout s'effondrera encore."

- S'il te plaît, laisse moi partir. Dis je avec deux larmes qui coula le long de chacune de mes joues.

Il me fixa et m'essuya les larmes qui avaient perlé sur mon visage. Il resta un instant avec sa main sur ma joue.

- Tch.

Puis me lâcha et partit dans le même sens qu'il était venu. Je repris mon souffle et partis en direction de ma chambre. Je tomba sur mon lit et m'endormis sans me changer.

Le lendemain :

Je me réveilla avec le son mélodieux de quelqu'un qui tambourina à la porte. Je me leva avec un grognement de mécontentement et ouvra la porte.

- Quoi ?! Dis je sèchement.

- Y a entraînement. Alors bouge toi.

Je releva la tête, c'était lui, il entra de force et ferma la porte.

- Qu'est ce que tu fais ?!

- J'entre ça ce vois pas.

- Pourquoi tu rentres ?

- Ça te dérange ?

- Oui.

- Tant pis. Maintenant dépêche, à 14 heure on sort des murs.

- Ok mais sors.

- Non.

- Mais ?!

Il me pris le bras et m'emmena au terrain d'entraînement. La journée ce passa jusqu'au moment oú on devait sortir des murs.

- C'est hors de question je ne sortirais pas des murs !! Cria la princesse.

- Il n'en a jamais été question. La calma Erwin. Toi tu reste ici.