je ne peux t'oublier / riren- ereri

Chapitre 4

Il était encore penchait sur un croquis quand il relevas la tête, il se sentait que la fatigue avait pris possession de son corps quand il avait faillis s'endormir. Il attrapa son téléphone dernier crie et regardas l'heure, trois heure cinquante. Il se leva de son siège,  et montât ses main au dessous de sa tête pour s'étirer. Un bâillement échappât de ces lèvres, il prit sa veste ainsi que son sac et partit en fermant son bureau à clé. 

Il rentra dans sa camaro noir et jeta ces affaires sur le siège passager, il partit du parking souterrain avec un soupire. Il était vraiment fatigué, il n'avait dormis que trois heures la nuit dernière, il avait appréhendait ses retrouvaille avec Eren, ça s'était plutôt bien passer mais l'indifférence  dont le plus jeune avait fait preuve l'avait blesser, il n'avait pas apprécier et cela l'avait mis en rogne toute la matinée, en suite il c'est servie de son cerveaux comme il savait si bien le faire pour comprendre cette réaction et en avait conclue qu'Eren voulait éviter de se faire remarquer, c'était bien son genre. Il avait eu la confirmation l'après midi même. Mais bordel ce qu'il était devenue beau, pas qu'il était moche avant, mais il avait un plus, il dégage comme un aura sexuelle mais en même temps candide qui devait laissait personne indifférent, certes c'était bizarre mais vrai . En tout cas il était fière de lui, il l'avait suivie son parcours grâce à son blog et à  internet ou on voyait son nom figuré comme styliste et couturier des grand boîte. A chaque fois qu'il voyait son nom afficher il ne pouvait empêcher la fierté s'emparer de son être, et avait du mal à contenir son sourire.  Il avait réussie à passer au dessus de son passé, et était partit du japon. Oh, bien sur qu'il a été triste mais il était Levi Ackerman et ne pouvait laisser le départ d'Eren affecter sa vie professionnelle, alors il c'est plus d'une fois soûlé dans un bar pour oublier son absence. Et la question qui s'impose c'est pourquoi ne pas l'avoir appeler si il voulait tant le revoir? Tout simplement car s'était de sa faute si il était partie comme ça, et il s'en voulait, mais il ne pouvait pas l'appeler, pas après ce qu'il lui avait dit, non impossible. Il n'avait jamais était aussi horrible, surtout qu'il n'avait affirmer que des mensonges, mais c'était trop tard il ne pouvait pas réparer ces tort. Il est déjà assez content que celui-ci ne le déteste pas. Il savait, il avait vu ces yeux de tout les nuances de bleu possible s'illuminait quand il l'avait reconnue.

Une fois arriver chez lui, il se dirigeât vers sa salle de bain et y fait coulait un bon bain chaud, il s'y prélassa presque une demi heure avant de se laver et de se mettre en pyjama, qui était composée d'un jogging et d'un vieux t-shirt. Il se jeta sur son lit deux place froid et s'y endormie avec l'image des deux grands émeraude yeux pétillant de joie qui réchauffait son cœur qui endurait la solitude depuis maintenant bien longtemps. 

Le lendemain son réveille le réveillas a sept heures. Il grommelas contre cette putain de voix criarde qui marteler ces tampan de bon matin, quelle idée de mettre cette chaîne de radio pour le réveille, puis il se souvient que c'est la seul qu'il le réveil, il soupira et éteignis son appareil à torture. Et se rendormit en se pelotonnant un peu plus dans ces couvertures chaude. Quand t-il ouvrit ces yeux quarante minute était passé, il grogna et se leva rapidement, il avait vingt minute pour aller au boulot. il prit des affaire propres et se dirigeât vers la salle de bain et prit un douche rapide pour enlever la fine couche de transpiration qui avait prit place pendant sa nuit agité. Parce que oui, il bougé énormément la nuit et comme il ne supporter pas la saleté il devait prendre un douche, pour premièrement enlever la sensation poisseuse qui lui coller a la peau, et deuxièmement pour l'odeur, pas qu'il sentait fort mais ça le mettait dans un sentiment confort de savoir qu'il sentait bon.

Arriver a parking souterrain il regarda l'heure, et laissa un petit soupire de soulagement passait ces lèvres en remarquant qu'il était pile à l'heure. Il supporter pas d'être en retard il prenait ça pour un manque de respect. Il sorti de sa voiture en claquant la portière, un Ferrari rouge pétante s'arrêta devant lui, il leva un sourcil interloquait, les vitres teinter empêchait de voir la personne qui conduisait la voiture. La vitre se baissât pour laisser une tête apparaître, il soupira de désespoir mentalement, à croire que tout le monde voulait sa mort. Une pensé fugace traversa son esprit, il devait prendre au plus vite un café sinon il ne supporterait pas la journée.