je ne peux t'oublier / riren- ereri

Chapitre 8

Il poussa un soupire mental en voyant la rousse se lever, elle commencer vraiment à être agaçante à le coller comme ça. Trois semaines quelle ne le lâcher plus, même pour aller aux chiottes, elle était derrière son cul, et il avait beau faire, elle était comme un chewing-gum collé à ces chaussures. Aussi chiante que désagréable. Il avait tenter la manière douce, la manière plus franche et même plus brutal, mais elle s'en foutait comme la première pairs de chaussure qu'elle a acheter et revenait comme un boomerang pour lui casser toujours plus les couilles. Il ne savait pas se qui lui prenait mais fallait que ça s'arrête, et vite car ses nerfs était à bout.

-Caporal. Interpella la douce voix de son tortionnaire, parce que oui, lui aussi s'y était mis. Au début il avait fait semblant de ne rien voir. Mais le gamin, devenait de plus en plus entreprenant, tout en restant discret, il effleurer indécemment son corps avec un petit regard libidineux. Ou alors il envahissait son espace vital, apportant avec lui sa fragrance envoûtante, le rendant davantage accro. Son self-contrôle ne tenait qu'au fait qu'ils était sur un lieu de travaille, et qu'il était pour son plus grand malheur que son supérieur, même pas ami, enfin il l'avait chercher.

-Oui, gamin? Répondit-il en continuant son activité, soit vérifier les plan finaux de robes.

-Puis-je prendre une journée de repos? Il fixa quelque seconde son ancien colocataire.

-Pourquoi? demanda-t-il avec une curiosité bien caché sous un masque de froideur

-Et bien, Mikasa revient mardi prochain et on avait prévue avec quelques amis de fêter son retour. Expliqua-t-il mal à l'aise. Et je penser qu'il n'était pas nécessaire que je vienne si je vous ralentissez, plutôt que de vous aider.

-Tu veux la prendre quand? Un immense sourire barra le visage de son subordonné, rien qu'a le voir comme ça, il savait qu'il avait fait le bon choix.

-Je voudrais la prendre le mercredi, s'il vous plait. Il attira rapidement un agenda et marqua quelque mots sur le jour.

-Tes petites vacances son pas prit en compte dans ton salaire.

-Bien sûre, je vous remercie Caporal, et si vous avez besoin de moi pour les moindre heures supplémentaire n'hésitait pas. Lâcha-t-il avec un léger sourire.

-Tu peux disposer Eren et merci pour le café. Ordonna-t-il sans remarquer son sourire étant repartie dans son inspection minutieuse. Il ne remarqua pas non plus Eren s'empêchant de pouffer niaisement, attendrit par l'assiduité dont il faisait preuve.

Il travailla le reste de la matinée et une bonne partie de l'après-midi a s'occuper de divers tâches plus ou moins importante, parfois interrompue par ces collègues cherchant son approbation ou des conseils. Jusqu'à l'arrivée, une fois de plus, tout en délicatesse de Hanji.

-Leviiii, tu n'a toujours pas répondu à mes messages... pleura t-elle, cela fait presque un mois.

-Si tu arrêter de m'harceler sur ma relation avec Eren peut être que je te répondrait, peut être quatre yeux .

-Tu es tellement cruel, geint elle, m'ignorer de la sorte.

-Pourquoi tu es la? répondit il stoïquement.

-Tu n'as toujours pas valider le projet pour cette été.

-De quoi tu parles, quel projet? demandât il agacé.

-Oh oh oh tu était si préoccupé par Eren que tu ne m'as pas écouté, se moquât elle, tu es trop mignon Levi.

-Accouche! grognât il.

-C'est pour un défilé de la collection d'été. On fait une petite collaboration et on explose les venteeeeeeeesssss. s'exclamat elle les bras en l'air.