Chronique de Mariam : Un combat pour notre amour

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On s'est donc précipiter pour ce rendre à l'hôpital, arrivé là-bas on nous diriger vers la chambre ou étais Amy.
Elle étais entrain de dormir et Iliesse étais a côté d'elle entrain de la regarder.
Après qu'on l'ai félicité tous ça, y'a le médecin qui nous à proposer d'aller voir les bébés, carrément on se battait pour savoir qui allais y allez en premier, par ce qu'il étais sous couveuse.

C'était 3 petit garçon, MashaAllah, ils ressemblait grave à mon frère à part un qui ressemblais plus à Amina.
Ensuite on a voulue attendre que Amy ce réveille pour la félicité et lui donner les cadeaux, mais le médecin nous a dit que l'accouchement avait été très fatiguant et qu'elle ne se réveillerais pas avant ce soir ou demain.
Finalement je suis même pas allez en cours on a fêté toute la journée sous prétexte que c'était les premiers petits enfant, on a invité quelque personne moi j'ai invité Zeinab, avec qui je suis devenue cher proche.

Le soir je vous dis pas le ménage et la vaisselle que j'avais à faire, mais ça va les jumelles m'ont aider, après chui tomber K.O.
Pendant ma nuit j'ai entendu des coups grave forts à la porte on aurait ils allaient la def, sa s'est arrêter du coup je me suis rendormie, jusqu'à qu'on entre dans ma chambre en claquant la porte, je me suis lever prête à niquer des mères quand j'ai vu des agents de polices je suis direct redescendu.
J'étais toujours dans mon incompréhension quand y'en a un qui cri: "venez j'ai trouver quelque chose"
Sa venait de la chambre de mon frère Mohamed j'ai eu grave chaud d'un coup je me suis lever, c'était le zbeul.

Ils ont embarqués mon frère sous les cris et les pleurs de ma mère, que mon père essayer de consoler tant bien que mal, ont été tous choqués, ont entendait que ma mère personne osait parler, puis on est rester là au salon sans bouger, ma mère avait arrêter de crier pour maintenant pleurer en silence.

Le silence a été couper par la sonnerie du fixe, personne n'oser bouger, c'est finalement Imane qui s'est lever pour répondre, sa première expression faciale a été l'incompréhension, puis le choque, elle s'est finalement écroulé par terre en pleurant.

L'incompréhension vint s'ajouter au choque peint sur notre visage, 5 minutes plus tard elle s'est mis à parler en suffoquant, personne ne comprenais ou ne voulais comprendre puisque les seuls mot claire qu'elle prononçais étais étais " amy... Morte "
Elle a finalement réussi à faire une phrase compréhensible : " Amina vient de mourir "

Ce fut la goute d'eau qui fit déborder le vase car ma mère se remis dans son état hystérique, le jumelles pleurer à chaude larme tout comme moi, younes c'était contenter de reniflé 2/3 fois quant à mon père il gardais son expression impassible mais ses yeux disait autre chose, il étais légèrement brillant.

Nous nous sommes empressé de rejoindre Iliesse à l'hôpital mais l'ambiance étais nettement moins joyeuse cette fois.

Le médecin nous expliqua qu'elle avait fais une hémorragie suite à l'accouchement et que sont corps ne l'avais pas supporter, elle étais morte sur le coup.
Iliesse allais revenir à la maison quelque temps, histoire de l'aider avec les enfants et de le soutenir moralement.

Et comme si tous ceci n'avais pas suffit, en ce jour maudit, une fois rentrée nous vîmes une lettre poser au sol, mon père l'a ramassa et alla s'asseoir au salon, a peine j'eus poser le pied dans ma chambre que je me senti tirer en arrière puis traîner jusqu'au salon où je vis, mon père et Iliesse sur le canapé à examiner des photos, j'étais toujours dans le flou quand mon père pris la parole.

Baba- Donc moi, ma fille c'est une prostituer ?

Autant dire que j'étais choquer de ces propos et surtout dans l'incompréhension.

Moi- Q...Quoi
Baba- Ferme ta gueule, donc moi, tu veux souiller mon honneur Mariam ?
Moi- mais baba de quoi tu parle ?

J'ai compris au moment où j'ai pris les photos ,qu'il venais de me jeter dessus, dans les mains.
Sur ces photos on voyais une fille de dos, me ressemblant presque comme deux gouttes d'eau avec un homme qui ressemblais fort à Aymen, dans des positions ambigu.
Que ce soit bien clair je n'est jamais rien fais de ma vie et encore moins avec Aymen.

Puis j'ai senti une baffe, puis des patates tout s'enchaînait super vite, c'était mon frère, Iliesse, il n'arrêtais pas de répéter " donc tu nous prend pour des bouffons nous ? Tu te tape les potes de moha ? Petite pute " que des trucs comme ça, au moment où il s'est arrêté j'ai cru que le pire étais passer mais c'était jusqu'à que mon père parle.

Baba- Tu fais tes valises. Je t'envoie au bled dans la semaine, on vas te marier.

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