CHAPITRE 13 : Game over.

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Avant de commencer ce nouveau chapitre, je voulais vous dire qu'il est possible que vous n'aimiez pas la musique ;) perso moi j'adoooooore ! *-* enfin bon si vous n'aimez pas, mettez-vous la musique que vous voulez ;) ou même pas de musique si vous préférez ;3 sur ce, bonne lecture ! <3 AAAAh et c'est Alexandre sur la photo ! :3 biensûr c'est à vous de vous inventer votre propre Alexandre mais moi c'est comme ça que je le vois ... >w< sooo sexy yeeeeah ! xD <3

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Que dire, que dire... Cette famille me rend folle. Enfin je crois... parce que si danser un slow avec un inconnu, au milieu de la grande salle de réception, devant les parents d'Alexandre et devant Alexandre lui-même afin de le rendre jaloux, ce n'est pas être folle alors comment appelez-vous ça ?! Une petite voix me dit que j'ai réussie ma mission et une autre me dit qu'une fois celle-ci terminée je vais souffrir... vraiment souffrir... Mais quelle idée j'ai eu aussi !? Qu'est-ce qui me prend ? Avant de rencontrer cet enfoiré je ne me souciais absolument pas de rendre jaloux tel ou tel homme. Parce que de toute manière j'en avais strictement rien à péter ! Mais une vie ne vaux pas la peine d'être vécue si on sais à l'avance tout ce qu'elle nous réserve, je suis bien d'accord. De toute manière j'aurais rigolé à la figure de l'idiot qui aurais oser me prédire ce que je fais actuellement. Alala... je suis tellement minable ! 

Non. Non. Non. 

Tu n'es pas minable Arisa... C'est sa faute ! Il n'avait qu'à pas arriver comme ça dans ta vie ! Il n'avais qu'à pas avoir eu l'envie de se garer à la même place que toi, il n'avais qu'à pas venir te parler, croiser ton regard, te chercher, t'éviter, te séduire, te faire rire, te sentir aimer, te sentir détester, te câliner, te mentir, s'attacher à toi, t'embrasser... Il n'avait qu'à pas faire tout ça. Qu'il ne vienne pas se plaindre.

Oui. Qu'il ne vienne pas se plaindre... Je le vivrais mal.

L'homme qui me tenait les hanches, je ne l'apprécie pas plus que ça. Il met bien trop de pression dans sa poigne. Ses pas ne se joignent pas aux miens, mais je ferais avec. Je veux y arriver, le rendre jaloux. Je sais que c'était presque peine perdue mais au point où je suis, je n'ai plus rien à perdre. De plus si on veut que le mensonge marche, il va bien falloir qu'il m'invite à une danse ! Ce crétin qui ne me regarde même pas ! Je me mis à lever les yeux au ciel et à mettre ma tête sur le torse de l'homme avec qui je dansais. A vrai dire je ne faisait pas attention à qui il était et ce qu'il voulait. Ni à ce qu'il pensait de moi, la seule chose que j'avais dans ma tête c'était lui... lui... Et rien que lui. Alexandre. Je suis définitivement amoureuse de lui... Je repense bien évidemment à Evan dont je n'ai plus jamais eu de nouvelles, et à toutes ces années à essayer de le sortir de ma tête et à occuper mes journées sans que son nom s'inscrive dans mes pensées. Mais, il était toujours là, cacher dans un coin discret de ma cage crânienne. Toujours, Il l'a toujours été. Mais ce soir ça sera différent, je vais tourner cette page qui n'a aucune fin.

Vous connaissez ces moment où tu décide une bonne fois pour toute de changer, que se soit ton caractère, ta façon d'être, de penser où même d'une action mûrement réfléchie ! La plupart du temps, c'est au nouvel an que l'on fait des résolutions, pour ma part c'est à peu près hebdomadaire...

La fête battait son plein et j'avais perdu de vue le crétin. Mais qu'est-ce qu'il foutait encore ? Je suis dans les bras d'un inconnu, qui ne sait pas danser et tu n'est même pas là pour me retirer de cette personne !!! J'en ai tellement marre de faire des efforts...

Tous d'un coup je sentie un pincement au niveau de mes hanches, je fis volte-face ( enfin à moitié vu que mon cavalier me tenait --') et me rendit compte que le crétin en personne venait de me pincer volontairement pour me faire signe qu'il n'était pas loin je suppose... et qu'il me surveillait. Il avait une magnifique cavalière qui le dévorait des yeux, mais lui n'en avait strictement rien à faire parce qu'il me regardait. Il guettait le moindre fait et geste que mon cavalier faisait. Je le vis descendre puis remonter les yeux, un peu à droite, un peu à gauche. Il surveillait TOUT ! L'homme qui dansait avec moi, tourna la tête, visiblement gêné d'être épié d'aussi près et surtout par le fils du maître de maison. Mon pauvre ami comme je te plaint, je suis sincèrement désoler de t'infliger cela pour l'instant... Mais tu vois... Le sentiment de victoire est incroyable ! Je me sens voler ! Rougir aussi ! Je suis tellement contente !!! Et... J'ai une autre idée qui viens de germer dans mon esprit...

J'y crois...et toi ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant