CHAPITRE 14 : c'est bizarre.

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Mon dieu... Mon dieu... le bonheur... Vous savez surement tous ce que c'est ou du moin une grande partie des personnes qui lisent cette histoire, on du déjà avoir ressenti ce sentiment. Celui qui vous réchauffe le coeur en deux trois mouvements, celui qui vous transporte ailleurs, en vous fesant perdre la raison, les mots et tout ce qui va avec jusqu'à n'être qu'un pantin observant avec émoie la source de cette joie intense... Je suis sûr que vous savez tous ce que c'est ! Comme quand vous voyez un gâteau que vous avez toujours voulut manger mais que jusque là, il vous était impossible de goûter la saveur... jusque là bien sûr. Comme quand vous allez à la plage la première fois de votre vie, tout le monde s'en rappelle, le bonheur, la joie, l'imite la niaiserie de pourvoir toucher du sable, ce qui, entre nous, n'est plus un exploit pour la majorité d'entre nous. Et je parle et je parle, mais qu'est-ce que vous en avait à faire du sable ?! *rire* Je voulait surtout vous décire, vous mettre dans ma peau le temps de ce magnifique instant.

Nous étions remonté dans l'immence bâtiment qui servait de maison et de reception à la famille de mon sublime et imbécile amoureux. Quel plaisir de le dire à haute voix maintenant... Je l'aime, oui je l'aime. Je n'espère qu'une chose maintenant c'est que rien ne s'arrête. j'étais confortablement installée sur son ventre. Posé sur son lit on ne parlait pas. Il me caressait légèrement l'avant-bras que j'avait noué autour de son ventre. Un léger sourire ne le quittait pas, je trouve ça trop mignon...surtout quand il sourit de cette manière. Il à du se sentir observé, car il tourna la tête vers moi et coupa ainsi le silence.

"- Qu'est-ce qu'il y a ? Je pus c'est ça ? Et tu ne sais pas comment me dire de dégager. Bon d'accord j'ai compris... "Fit-il en se dégageant et en s'apprettant à descendre du lit.

je l'attrapa de justesse et l'attira à moi, de sorte qu'il se retrouve bien en face de moi.

"-N'importe quoi ! Je suis juste aux anges... Je sais que j'ai fais une grosse erreur en t'avouant mes sentiments et que je vais en baver par la suite mais... En même temps j'ai l'impression que c'est la meilleure action que je n'ai jamais faite ! rajoutais-je.

"-Je suis d'accord sur le fait que c'est la plus grosse connerie de ta vie ! rigola-t-il

-Je sens que je vais en chier vu ton regard sadique !"

il m'embrassa brusquement puis déclara:

"-je vois pas de quoi tu parles..."

Je lui adressa un sourire en coin et me laissa tomber dans ses bras. Puis on frappa à la porte, nous nous redressèrent brusquement, les regards de surprise vers l'objet de notre curiosité.

"Alex ?! Vous êtes là ?!"

C'était Mme Collins j'en suis sure... Cette voix agacante, je la reconnaitrait entre milles. Elle continuait de frapper commeune furie à la porte en vociférent le nom de son fils. Alexandre finit par lui ouvrir, moi derrière sur ses talons.

"- Ça fait un moment que je te cherche ! Où étais-tu ?

-Euh... Je suis là tu vois bien... fit-il gêné en jetant un regard discret en ma direction.

-Oui... Merci. Je suis au courant. Je te parle de tout à l'heure, mais bon peu importe. Ton père souhaitait te parler seul à seul, je suisvenupour te prévenir et prévenir ta... Compagne, d'attendre ici...

-Ah...oui je vois. Il se tourna vers moi et me dit : Reste là, je vais faire en sorte que la discussion ne dure pastoute la nuit...

-Ne t'inquite pas pour moi Alex. Je ne peux pas m'enfuir de toute manière," fis-je avec un petit sourire.

Il ferma la porte brusquement au nez de sa mère, se tourna vers moi et m'embrassa à la suite. Aucunes lumières n'était allumées dans la chambre, seul l'exposition de celle-ci nous offrait la lune en guise de lumière. C'était romantique, c'était cosi, c'était parfait, mais aussi trop court à mon goût. IL rouvrit la porte, devant sa mère plus que remontée contre lui. J'avais un peu peur que suite au départ d'Alexandre pour aller voir son père, la maîtresse de maison rentre dans la chambre et s'en suive une loooongue discussion. J'avoue être un peu effrayée par cette idée...

Elle n'en fit rien. A mon plus grand étonnement. Serait-ce mon jour de chance ? Pour l'instant, je suis tellement heureuse.

Sa mère n'a pa sl'air bien méchnate ou désagréable, je pense qu'elle ne veut pas que son fils chéri trouve enfin une personne à aimer et avec qui contruire sa vie. Elle pense sûrement aussi que la seule femme qu'il n'ai jamais aimer c'est elle. Je la comprend tellement... Je ne suis pas encore bien sûre que les sentiments d'Alexandre sois sincère envers moi mais, j'aimerais ne jamais me réveiller.

C'est dans un dernier regard, que la mère d'Alexandre, s'en alla et disparu au tournant du fond du couloir. Je ferma alors la grande porte et me dirigea vers l'unique et grande fenêtre de cette pièce. C'est vrai que maintenant, me retrouvant seule, je remarque à quel point, la chambre est élégante et bien décorée. Peu d epersonne peuvent se payer une telle demeurt et décorer une pièce comme cela. Elle est globalement sombre, des mur rouge, virant vers le marron, avec quelque dorrures. Une moquette en guise de sol, un immence lit à gauche, facilement visible dès que l'on rentre. et au centre, au fond, une immence fenêtre en renfoncement avec un petit matela au bord de celle-ci. un vrai petit cocon. Je m'installa donc au bord de la fenêtre et regarda à travers celle-ci. Les illuminations du jardin rendaient le lieu encore plus magnifique. Je ne sais pas à quel moment Alex va rentré, mais qu'est-ce que je pourrais bien faire pendant ce temps ? Attendre ici, au bord de cette fenêtre, regarder lepaysage, penser,penser à cette soirée qui n'est pas encore finie d'alleurs ? Vous commencez à me connaitre à force, la banalité, l'ennui c'est pas trop mon truc, je préfère bouger et faire ce qui me semble le plus interréssant.

c'est donc avec un élan de curiosité que je traversa la chambre, ouvrit la porte, la ferma lentement en jetant deux, trois regards aux alentours et sorti dans le couloir.

J'y crois...et toi ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant