Underundead -FR-

Chapitre 7 : au plus profond de ton âme

??? :

Putain, l'âme de Sans est un Putain de bordel. Je passais mon temps à traverser des portes qui m'emmènaient dans des salles vides avec 4 portes et ça recommençait à chaque fois que je prenais une autre porte. Je sautais de pièce en pièce à l'infinie. Vous devez vous posée comme question

"Pourquoi elle fait ça ?"

Parce que je pouvais de temps en temps interagir avec Sans pour l'empêcher de tuer quelqu'un et pour lui parler tout simplement mais il y avais une autre personne qui elle voulais que Sans tuait alors je voulais trouver le centre de son âme, subconscient ou je ne sais quoi pour pouvoir mieux l'atteindre.

~~~

Plusieurs jours que je marchais enfin je pense mais comme je ne suis qu'une âme prisonnier d'une autre âme, je ne fatiguais jamais mais cette fois là je pris la porte de droit et je me trouvais dans la même pièce avec une fille qui venait elle aussi de rentrer. Elle avait un pull vert avec des bandes rouges, des cheveux châtains et mi-long, une peau belge moins foncé que moi et des pommettes roses sur les joues.

_ Petit que fais-tu ici ?
_ Tu peux arrêter ton cinéma.
_ Tu n'es pas très sympa.
_ Toi, tu n'es pas sympa, tu gâches mon travaille. J'allais réussir à faire mourir Papyrus des mains de son connare de frère.
_ Qui... QUOI ?
_ Oui je veux sa mort, ta mort, leurs morts, je veux la mort de tout le monde !
_ Tu es malade !
_ Oui et tout comme toi je cherche le centre, l'endroit où je pourrais faire de Sans le monstre assoiffé de sang que je suis. Le problème c'est que son esprit est une grosse blague !
_ Une blague ...

Je rebroussa chemin et pris la porte par laquelle je suis entrée. Pour une fois j'étais dans une pièce jamais vu

_ YES !!!

C'était un mini-laboratoire, il y avais juste une grande table contre le mur et une machine recouvert d'un drap.
Sur la table se trouvai un cadre photo où je pouvais observer Sans avec ...
sa famille !?! Je reconnu Sans qui était plus petit et mignon. Un squelette derrière lui avait sa main sur son épaule, main qui avait un trou noir. Ce monstre était grand et mince. Ses yeux étaient juste des trous avec un point blanc à l'intérieur. L'œil droit avait une forme de sourire, l'autre était juste rond. Il portait une blouse blanche dessus une insigne gravé « Scientifique royal -
W.D. Gaster ». À coté de Gaster se trouvais une femme humaine, sans cheveux, avec des traces brûlures sur le visage. Elle tenait dans ses main un bébé squelette que je reconnu tout de suite: c'était Papyrus. À coté du cadre était déposé une TV. Elle était allumé. J'observais la TV avant de regarder le programme. Je fus étonner de voir Gaster. Il était assis sur une chaise et il parlait. Je saisis la télécommande à coté de la TV pour augmenter le son.

_ OK.

le point vue se leva et se retourna. Je voyais une porte qu'un main de squelette ouvrir la porte. La "caméra" sortit. Maintenant c'était une caverne.

_ SANS il est de retour !

Sans ... ? Je voyais à travers les yeux de Sans. Je vis avec horreur le massacre que faisait Sans avec facilité et sans remord. J'entendis un bruit de brulure. C'était le cadre Brulais dans une flamme qui disparu. L'image avait changé. Sans avait une fissure de son œil gauche à sa bouche. En plus d'avoir grandis, il portait le pull qu'il m'avais offert et il était entouré d'une aura de flammes bleus comme dans certains animes (comment je me souviens de ça ?). Gaster ne tenait plus Sans. Il avait un air malsain et il avais deux fissures : une identique à celle de Sans et un autre de son œil droit au sommet de son crane ce qui me fit penser que le Gaster de la TV était identique à celui-là. Il avait un costard noir au lieu d'une blouse blanche. Pour finir à la place de la femme se trouvais Papyrus avec des os plantés partout sur son uniforme et il ne souriait pas ... il ne souriait pas ...

...

IL NE SOURIAIT PAS !!!

Je réalisais que même si je n'était morte de puis quelques jours les chose avait beaucoup changé. Je me replaça devant la TV et pris la télécommande et j'appuis sur le bouton pour changer de chaine, rein ne changea, je recommença et rein ne bougea. J'appuis sur le bouton sur la TV et là il y eut un grand flash. Quand je rouvris mes yeux, j'étais dans la caverne devant Sans marchait. Je partis dans la direction opposé pour rentrer à Snowdin mais après quelques mètres il eut un flashe et j'étais à nouveau dans le mini-labo. Je ne comprenais pas se qui venait de se passer. Je sortis la tête de la pièce pour voir que faisait la petit psychopathe, elle passait de porte en porte sans jamais s'arrêter jusqu'à se qu'elle le repère.

_ TOI !!!!
_ Bonjour vous voulez ?
_ RENTRÉE !!

Elle fonça sur la porte mais quand elle était sur le point de rentré elle disparu et sortit d'une autre porte.

_ Quoi ??
_ Au revoir !

Je rentra dans le labo et déposa ma main sur le TV. Le flash refit son apparition. Encore dans la caverne, Sans toujours devant moi. Désespéré, je marchais à coté de lui. Il me regarda un instant et tourna sa tête devant lui.

_ Tu sais que tu n'arriveras pas à me faire changer d'avis ?
_ Quoi ? C'est à moi que tu parles ?
Tu me vois ?
_ Malheureusement.
_ Je croyais que tu serais content de me voir.
_ Non car tu m'empêches d'accomplir ma vengeance.
_ Excuse moi si je ne suis pas d'accord que tu tues des gens à mon nom.
_ Il y a maintenant du personnelle dans l'affaire donc fiche moi la paix.
_ Quand tu les laisseras en paix.
_ C'est trop tard, la preuve.

Devant nous deux gardes se préparaient à combattre.

_ Comic Sans aussi appelé Sans le skelleton ou le démon d'os tu es en état d'arrestation au nom d'Asgore.
_ Tu as le droit de garder le silence.
_ Et si je ne me rends pas ?
_ Tu ferais mieux de te rendre tout de suite sinon Undyne s'occupera de toi.
_ Vous êtes pas renseigné ? je lui ai foutu une raclée au poisson.
_ Peut importe.
Ils donnèrent tout les deux un coups d'épée vers Sans qui disparu pour poper derrière eux

_ SANS NON !!
_ Vas y !

Les têtes des chevaliers volaient déjà dans les airs. Elles disparurent en même temps que leurs corps.

_ Je deviens vraiment fou. Deux fantômes d'Isa. Un n'était pas suffisant ?

À côté de moi, il y avait moi.

À suivre ...