Titanic 2 : Jack Is back

~Chapitre 40~

Jack emmena April jusqu'à un petit sentier avant de s'arrêter et de lui dire :

"Tu sais April, nous ne devons pas continuer à fuir éternellement. Mais je crois que tu voulais te rendre chez ta mère n'est-ce pas ?"

"Alors c'est pour ça que tu m'amène ici ? Pour me dire d'aller voir ma mère."

"Si elle te cache des choses, elle pourra te les révéler certainement un jour ou l'autre."

"Mais. Si nous allons chez elle, les forces de police vont l'emmener."

" Mais pourquoi penses-tu toujours de façon négative April ? Ou est donc passé la sublime, souriante et joueuse April Hudson ? Ou est-elle ?!"

"Devant toi Jack..."

"Non. Elle n'est plus devant moi depuis un bon moment. Elle change sans cesse d'avis."

"Je suis indécise et je le sais Jack..."

"Mais pourquoi veux-tu mourir alors que la personne ici qui le devrais, ce serais moi. Mais je ne me rend jamais April. Tu est une battante et je le sais, seulement tu as lâché l'écume il y'a bien des jours."

"Apprend moi à la récupérer, cette écume Jack."

"Alors cessons de prendre la fuite pour quelque chose de négatif, c'est un jeu April. Tu te rappelles sous le pont ?"

"Oui je me souviens. C'était hilarant mais dangereux."

"Alors continuons ainsi et nous mourrons vraiment pour de bon. Il nous faut jouer comme sous le pont. Le temps est un bien précieux April. Il faut savoir jouer avec sans abus. Mais nous avons tout notre temps, et rassure-toi nous allons rester forts, et leur en faire voir de toutes les couleurs à ces barbares."

"Jack...?"

"Oui, April ?"

"Pourquoi est-ce que j'ai l'impression d'être devenue pessimiste comme toi à ma rencontre ? Tu étais désespéré, et moi pleine d'espoir... Et désormais, c'est toi qui est plein d'espoir et de joie. Tu as le sourire aux lèvres..."

"Il faut croire que c'est comme si tu me l'avait vendu. Mais tu te dois de récupérer cet espoir intérieur. C'est lui qui te fera te battre April, c'est compris ?!"

Jack tendit ses main vers April comme pour faire un pacte avec elle, elle posa alors ses mains sur les siennes et lui dit :

"C'est compris Jack."

Tout sourire au lèvres.
Les deux individus se rendirent alors à la maison présumée d'enfance d'April.
Après beaucoup de marche, ils arrivèrent jusqu'à la fameuse maison d'enfance d'April.
April s'arrêta devant la belle Maison Blanche en bois. Les maisons typiques des Etats-Unis d'Amérique.

"C'est ici."

Dit-elle à Jack.
Jack lui répondu alors :

"C'est beau ici."

"Oui... Mais ce n'est pas un lieu de bons souvenirs à mes yeux... C'est un lieu de terreur."

"Vraiment ? Non, tu exagères April."

" Non. C'est la réalité."

Elle ouvrit la porte d'entrée ils entrèrent alors dans un jardin vaste et bien vide malgré l'herbe haute qui y avait bien poussée avec le temps. Elle n'était pas entretenue cela était certain.
Une balançoire comblait un peu d'espace au fond du jardin à droite. Elle était abîmé et salie. Comme si elle avait subie une grosse personne toute sa vie.
La balançoire se balançait légèrement avec le vent et faisait un bruit de crissement avec la rouille des boulons la soutenant. April poursuivit alors :