Les Histoires Fictives Des Mondes De Harry Potter

Forgive me - Romione

(Voir le média au complet :) Nan, ça va juste vous spoiler encore plus. Bonne lecture !)

- Ron je suis rentrée ! J'en ai marre de cette affaire Monélo ! Je vais bien le retrouver le meurtrier de ce pauvre monsieur ! Cria Hermione en rentrant chez elle.

En effet, elle travaillait sur un meurtre presque parfait sur un monsieur se nommant "Marcel Monélo". Il avait subit x nombre de fois le sortilège doloris avant de mourir sous le coup du sort de la mort. Elle posa son sac sur la table. Elle essaya de replacer tant bien que mal ses cheveux ébouriffés et finit par les attacher en un chignon mal fait. Elle s'assit sur la chaise de son bureau et sortit le travail demandé par le ministère. Et elle vu cette lettre qui lui était destinée. Elle souffla et prit la lettre et l'ouvrit. Elle commença à la lire.

"           Chère Hermione,

Mon amour, je sais que tu es en train de lire cette lettre. J'y est mis mon parfum dessus pour que tu puisses sentir mon odeur souvent. Une odeur qui, j'espère, restera encrer en toi, comme ton odeur est resté sur mes vêtements avant de partir. Je t'ai épousé. Je t'ai donné deux merveilleux enfants. L'un d'eux a tes yeux et a mes cheveux. Roux. Réputé chez les Weasley. Mais voilà, Après plus trois ans de pur bonheur à tes côtés, je pars rejoindre une autre rive. Pas le monde Moldu. Bien plus haut.

Le travail du ministère. Moi qui ne tourne plus normalement. Moi qui faut beaucoup de bêtises.

Toi prodige, fière, magnifique, intelligente, ma femme. Hermione, je t'aime et je regrette mon erreur. Elle est si lourde que je ne pouvais tenir plus longtemps dans ce monde. J'ai...
Tu risquerais d'être tellement déçue de l'homme que je suis. Les enfants auraient honte de leur père comme Malfoy a eu honte après la bataille de Poudlard. Ce monsieur dont tu cherches le meurtrier, je le connaissais. Un sang-pur. On ne s'appréciait déjà pas trop dans les bureaux d'Aurors. Et il s'est mis à insulter les nés-moldus. Puis les sang-mêlés. Puis ma famille. Cela ne m'a guère plu. Et il a continué comme ça pendant des semaines qui durèrent un an. J'en ai eu assez, et à ce moment, je n'ai plus su me contrôler. Ma pensée contrôlait mes sorts qui sortaient de ma baguette tel des fusées. Je ne sais pas exactement combien j'en ai lancé. Hermione, chérie, mon amour, embrasse les enfants de ma part quand Noël viendra. Je lègue mon déluminateur à Rose. À Hugo je lègue tous mes livres. À toi, je lègue mon amour, mon cœur et cette lettre qui sera sans doute la dernière. Si tu as lu jusque ici, je ne te demandes qu'une chose de mes deux meurtres. La première, me dénonçait. La deuxième, me pardonner de mon acte.
De là-haut, je vous observerais toujours, car mon amour envers vous est infini.
Adieu. Je t'embrasse.
Ronald Bilius Weasley dit "Ron". "

Hermione posa la lettre tremblante et blanche comme neige. Des larmes coulèrent seules sur ses joues. Elle était seule à présent. Elle et ses deux enfants qui apprendraient cette terrible nouvelle à Noël.
- Je te pardonnes Ronald.
Elle serra la lettre contre elle, les yeux remplis de larmes. Elle sentit une dernière fois l'odeur de la lettre avant de s'écrouler en pleure sur son bureau.