Chapitre Vingt-et-Un ✓

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Bay Masterson







Il est hors de question que je fasse ce que me propose les idiots qui sont devant moi. Même s'ils sont beaux et adulés par les filles pubescentes sans goût de mon grade - alors, de cette manière, Peyton -, je ne veux pas que leurs lèvres qui a bien pu aller je-ne-sais-où se posent sur les miennes. C'est déjà bien que j'accepte que Zayn a pour meilleurs amis des gars qui veulent me tuer, faut pas abuser.







"Vous abusez vraiment du pouvoir que vous procure les armes sur nous." Marmonnais-je, mais grâce à ma malchance, ils ont capté chacun de mes chuchotements.







Harry lance son pistolet loin derrière lui. Le bruit de l'arme sur le béton fait tourner mon sang dans mon corps entier ; c'est assez désagréable comme bruit et je n'ai pas eu l'occasion de l'entendre dans ma vie, alors c'est une première.







"Même si nous n'avons pas de pistolets nous sommes plus forts que vous quatre." Crache le bouclé alors qu'ils avancent vers nous - dix sur dix pour la synchronisation.







À peine deux mètres nous séparent d'eux, et j'ai une illumination : pourquoi partons-nous pas ? Le problème serait réglé.







"Ta mémoire a la taille d'une balle de tennis ou quoi ? Nous au moins on a la décence d'avoir un cerveau." S'exprime Louis.







"Tu en as un mais il est peut-être vide aussi." Rappliquais-je alors que Peyton, Jennifer, Alexe et moi éclatons de rire.







Nous nous arrêtons dans notre élan humoristique quand nous remarquons que les Infiltrés on perdu leurs sourires mesquins et que Harry a reprit son arme. Je ne prend pas la peine de m'excuser que je dérive mon attention des iris verts de l'anglais.







"Je ne sais pas ce que Zayn te trouve, franchement. À part que tu as un minimum de beauté et que tu es bien proportionnée, ton intelligence vaut même pas un sous." Réplique mon nouvel ennemi juré Louis Tomlinson alors que je le place mentalement sur ma liste des plus noires.







Peyton soupire.







"C'est pas que vous n'êtes pas intéressants, mais pourrions-nous faire avancer l'action ? J'ai un rendez-vous."







J'essaie de décrypter une réaction chez son ex mais celui-ci reste de marbre.







"Un rendez-vous chez le dentiste."







À 20h, un vendredi soir ? Tu m'en diras autant.








"Écoutez, les gars. Je sais que vous nous détestez. Je sais que vous avez une profonde envie de nous tuer en ce moment. Mais ce que je ne sais pas est le pourquoi vous ne le faites pas tout de suite. Pourquoi vous attendez autant, à faire la conversation avec nous comme si de rien n'était. Vous voulez nous tuer par ordre de l'Organisation, mais est-ce vraiment nous, les personnes que vous voulez vraiment tuer ? Les ennemis dans tout cela, c'est les Survivants. Putain, qu'est-ce que on vous a fait ? Harry, ta relation avec Peyton n'a peut-être pas terminé comme tu le voulais ? Nash, tu vis pour de bonnes cuites et non pour de vraies relations ? Louis, tu as envoyé ton ancienne copine dans un autre État et tu t'apprêtes à jeter ton dévolu sur Malia ? Jay... Je ne sais pas quoi dire, tu aimes faire tomber des filles amoureuses de toi afin de les enfermées et de les violer par la suite ? À ce que je sache, je ne vous ai rien fait, à l'exception près que je commence à avoir des sentiments pour votre Zayn chéri ? Foutaises, foutaises, et encore des putains de foutaises. Après cela, vous dites que c'est moi qui a un cerveau minuscule ?" Argumentais-je.







shades of personality [z.m] ✓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant