SOMETIMES.

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" Qui te dis que c'est Théo qui l'a envoyé ? " Qu'est-ce qu'il voulait dire par là ? C'était lui qui avait envoyé ce message alors ?

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" Qui te dis que c'est Théo qui l'a envoyé ? " Qu'est-ce qu'il voulait dire par là ? C'était lui qui avait envoyé ce message alors ?

DAISY: Je savais que tu m'aimais déjà.

Je sentais Antoine rire dans mon dos, son souffle venait s'écraser contre ma peau. Je détestais cette ambiance, pourquoi il était aussi proche ? C'était étouffant. C'est qu'il essaye de m'impressionner, mais personne n'impressionne la grande Daisy (hum). Je donnais un rapide coup de coude dans son ventre, pas fort, du moins pas assez pour lui faire mal. De ce fait, il reculait rapidement en lâchant un gémissement grave.

ANTOINE: Ne t'imagine rien gamine.
DAISY: Oh, mais je ne m'imagine rien voyons.

Il continuait de rire, c'était un jeu pour lui. Je me retournais, il était plus loin qu'il y a quelques secondes. Je regardais lui et ses cheveux légèrement ébouriffés et mouillés. Plus je le regardais et plus il m'agaçait, il avait ce petit air arrogant toujours présent sur son visage, cependant sa présence ne me dérangeait pas, au contraire, j'aimais vraiment passer du temps avec lui. Quel idiot.

ANTOINE: Arrête de me regarder comme ça, je vais rougir.

Je sortais de ma rêverie, c'est vrai, qu'est-ce qui me prenait de penser des choses pareilles ?  

 ✧◦✦◦✧◦✦◦✧◦✦◦✧

Après quelque temps passé dans la piscine, nous avions décidé de sortir, l'air se faisant un peu plus frai, je m'étais enroulé dans ma serviette tandis que le blond s'était rapidement séché.
Il m'avait demandé si je voulais prendre une douche, mais honnêtement sa présence ne me rassurait toujours pas et j'avais refusé, j'en prendrais une en rentrant - pensais-je.
J'avais donc remis mes vêtements et attachés mes cheveux en chignon assez haut sur ma tête. Une fois cela fait, je descendais dans le salon où Antoine était allongé sur le canapé, encore en short de bain.

Arrête d'exhiber ton corps.

Corps très bien sculpté sois dis en passant. Pas beaucoup, juste ce qu'il faut. Attendez, je viens de dire quoi là ?

ANTOINE: J'ai commandé des pizzas.
DAISY: Qui te dis que je veux manger avec toi ?
ANTOINE: Qui te dis qu'elles sont pour toi ?

Je prenais un coussin du canapé avant de lui lancer à la figure, il rigolait à mon geste, se moquant une fois de plus, de moi. Je m'approchais de lui en affichant une mine boudeuse et m'installais à côté, il se redressait et venait passer son bras autour de mon cou, pour me serrer très fort.

ANTOINE: Je rigooooooooooole.

Il m'étranglait presque et finissait par me lâcher (à mon plus grand regret) pour s'asseoir à côté de moi. Son regard était dirigé vers la télévision, où un match de foot se jouait. Il avait l'air concentré, je pouvais même voir le reflet de l'écran dans ses yeux bleu.

LET ME KNOW ; Griezmann Où les histoires vivent. Découvrez maintenant