Maël prit le premier bus. Il arriva 30 minutes en avance. Il voulait être sûr de la voir. Il l'attendait devant la grille, et le temps passait sans qu'elle ne se montre. Elle n'arriva pas de la journée. Maël décida alors de passer chez elle ce week-end. Il était évident qu'elle l' évitait, il devait savoir pourquoi. Elle devenait une obsession pour lui. Il ne s'était jamais vraiment parlé jusqu'a ce qu'il fasse tomber son livre et qu'elle l'aborde. Il ne pouvait plus détourner son attention de son sourire. Ils avaient ensuite passé du temps ensemble, puis ils avaient bu après une bonne soirée et avaient dérapé. Et ? Où était le mal ? Il ne comprenait pas, il eut la gorge serrée. Il se leva brusquement,
"Où allez vous Feller ?"
Il ne prit même pas la peine de répondre à son professeur de maths, il était déjà à moitié dans le couloir.
Il courut jusqu'aux toilettes et s'assied, il fallait qu'il réfléchisse, qu'il se vide l'esprit."Mais qu'est ce qui t'arrive Maël bordel ?"
***
Le réveil sonna, Marie le prit et le balança à l'autre bout de sa chambre, elle en avait toujours rêvé.
Elle n'irai pas en cours aujourd'hui, elle devait réfléchir. Alors elle en profita pour se rendormir un moment.Elle se réveilla. Quelle heure était-il ? Ah oui, elle n'avait plus de réveil. Elle sortie alors son téléphone du tiroir de sa table de chevet. 14h. 14h ?! Elisa et son père devait être à la maison à cette heure là.
"merde."
Elle décida de descendre quand même, elle eut bien fait, Elisa avait préparé des pâtes.
" Où est Mathis ?
- À l'école, d'ailleurs qu'est ce que tu fou ici ?
- Ça me regarde. Où est papa ?
- Il livre je sais plus trop quoi aujourd'hui.
- Ok."
Marie prit une assiette de pattes qu'elle mangea dans sa chambre. Elle se décida pour aller courir. Elle n'aimait pas vraiment passer sa journée à ne rien faire mais celle-ci lui avait fait un bien fou !
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Innocence
HorrorJe cours. Mon cerveau est vide. Comme déshumanisé. Le soleil me brûle la peau. Je revois sa peau tomber, brûlée, pour laisser place à ses os noircis par le feu qui me réchauffait le Corps et l'esprit. Je l'avais fait. Il était mort. La mort n'est pa...