Au delà des murs

Chapitre 12

Pov Quent

J'avais les yeux rivés sur le mur lorsque Killer se dirigea vers ma cellule.

Easter m'attendait-elle ? 

Je me leva et, pour la première fois depuis mon enfermement, je le vis me regarder autrement que comme un monstre et même, me témoigner des gestes dénuer de brusquerie.

Que lui arrivait-il ? 

Il me mena jusqu'à Easter et resta dans la pièce, silencieux tendis que cette dernière recommençais la procédure de la dernière fois, sauf que cette fois-ci, Killer lui procura des réponses et isola quatre cas des autres.

- C'est quatre là ont été ici.

Puis, il leva la tête en ma direction et poursuivis.

- Tu n'as pas tué Amelia, pas vrai ?

Je secoua négativement la tête.

- Je mènerais l'enquête et interrogerai les suspects. -interviens Amelia d'un ton neutre.

Je me leva alors brusquement et articula le mot "non" des lèvres.

- Quent...

Bien déterminer à ce qu'elle soit en sécurité, je m'empara d'une feuille et d'un stylo :

Tu n'iras pas : c'est trop dangereux.

Elle ouvrit la bouche pour argumenter mais je ne lui en laissa pas le temps et l'embrassa passionnellement avant de secouer la tête, sous l'expression choquée de Killer.

- Tu ne me feras pas changer d'avis tu sais ?

Je secoua alors la tête avec plus d'énergie et Easter se mit à me caresser le visage, se voulant rassurante.

Du coin de l'œil, je vis le garde nous laisser plus d'intimité.

Ne me fait pas ça, s'il te plait. Ne me fait pas ça.

 - Je vais le faire. Pour toi. Pour nous.

Et s'il t'arrivait quelque chose ? 

- Alors j'aurais vécue en sachant que ce que je faisais était juste.

S'il te plait chérie...je ne le mérite pas.

- Hey... il ne m'arrivera rien, calme-toi. -chuchota t-elle avant de prendre possession de mes lèvres.

Je la serra contre moi, souhaitant pouvoir lui dire, lui avouer ce que je ressentais pour elle, cette peur qu'elle disparaisse, ce désir d'être toujours là pour elle...

- Calme-toi, Quent... Ça va aller, ça va aller...

Je ne m'étais pas rendu compte que je sanglotais si fort que mon corps tressautait, ni que je m'agrippais à la chemise d'Easter comme-ci ma vie en dépendait.

Ni que celle-ci me berçais, fredonnant à mon oreille.

- Je vais réussir et tu seras enfin libre...Ensuite ? Nous ne seront plus jamais séparer.

Je me décala, la regarda longuement, comme pour sonder son âme.

Je ne pas briser ses ailes...

Un marqueur en main, je me saisis délicatement de son poignet et commença à écrire, la mort dans l'âme.

Promet-moi de faire attention.

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Personnellement, je le trouve trop chou ! Pas vrai Sadique ?

Sadique *hoche la tête*

Sensible : oh oui ! 

Et vous mes lectrices ? Prête pour la suite ? 

XOXO