J'ai chaud. Ma température est inhabituellement plus élevée, mes draps sont collés à mon corps qui est recouvert de perles de sueur. Je suppose avoir fait un rêve concrètement mouvementé. Ou plutôt un cauchemar.
Ça met souvent répétitive, une routine qui c'est acharnée sur ma vie. Oui, faire des cauchemars tout la nuit met devenu une habitude. Une abominable malédiction.
Des flashs d'horreur. Des corbeaux voltigeant au tour de ma maison étant plonger dans l'obscurité extrême. Je marchait seule, pied nu, dans les couloirs de ma demeure qui me paraissait immense. Vêtu d'une longue robe blanche bousier de tâches de sang.
On entendait des craquements semblable au bruit d'une hache qui décapitait un corp. Des cris terrifiant et des hurlements assourdissants. Puis plus rien.
C'est frustrant.
Et perturbant.
Mes paupières s'ouvrent difficilement et lentement. Je pu voir la lumière du jour traverser les stores. Je jette un coup d'œil à mon téléphone portable, « 7h10».
Qu'allais-je faire de si beau matin !
Je m'étire comme le fait le plus souple des félins, puis je fini par quittée mon lit, je me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche.Je descends prendre mon déjeuner. Le personnel m'avait dresser une grande table concrètement remplis de sucreries ; du lait, du chocolat, des oeufs, du jus, des fruits, des friandises, du pain d'épices Tout chaud... Bref,
je n'ai nullement envie de quoi que ce soit, je laisse tout sur la table, je prend ma tablette et je sors.
Je sais que cet agissement déplaira fortement a Madame Johnson, mais nul n'est parfait.Mon chauffeur m'attend, mais je préfère le zapper. Je prends les clés pour une autre voiture . Je roule plus vite que mon chauffeur rouillé. Ses quarantaines fais de lui une personne raisonnable.
En chemin vers ma bagnole, je regarde l'actualité d'aujourd'hui.
Un grand titre m'attire : UNE MAISON FANTÔME TERRIFIE TOUT HABITANT PROPRIÉTAIRE ET VOISIN. Je souris du coin des lèvres, j'adore ce genre d'histoire je trouve ses phénomènes inexpliqués fascinants.
Au commende de ma sublime Lamborghini gris métallisé, je roule sur l'autoroute à toute vitesse, je calcule plus les gens, ni les voitures au tour de moi, rien ne compte. La musique fait vibrer les vitres.
J'ai renversé quelques bêtes à mon passage, mais quel importance. Les gens me traiteront d'inhumaine. Mais qui s'en fiche de leur humanité, on vit dans un monde devenu une jungle, où le pauvre paye le prix des actes non commis pendant que le millionnaire paye le juge pour abrégé sa peine de prison. La loi du plus fort qui règne.
Arrivée à destination, je baisse ma vitre pour admirée la beauté de la nature ; la mer calmement verse au rives de légères vagues. Je décide de quitter mon véhicule malgré mon jugement du froid.
La plage n'est pas déserte, mais pas loin. Il y as des pêcheurs, sans doute pour pêcher leur dîner de se soir. Je marche excessivement droit vers le bord, je me sens comme hypnotisé, je lâche pas du regard chaque vague qui s'achève laissant un léger sons se faire entendre, et faire vibrer mon être.
À présent, je me tiens debout face à la mer qui s'agite progressivement, le vent souffle emportant mes cheveux. Soudain, j'entends une voix calme qui me semble familière me demande de la rejoindre. Je me retourne, mais ne vois personne. Je reste immobile, je ne bouge point. La voix recommence à me parler, d'un ton rassurant et chuchotant mon prénom, me priant d'avancer.
Je ne comprends pas réellement ce qui m'arrive. Je commence à avancer d'avantage, je sens l'eau froide submergé mes chaussures, puis monter jusqu'à mes genoux. Je continue d'avancer malgré moi, la voix m'attire et semble de plus en plus proche.
Mon corp est maintenant complètement sous l'eau je nage ou plutôt je lutte pour continuer, mais la mer est devenu très agité. Qu'est ce qui ce passe, je ne saurai l'expliquer.
Je vis une immense vague s'accumuler vers moi, je panique. Je la sent me projeter au plus profond possible, je ne peux plus respirer. Presque plus d'oxygène ne circule dans mon organe respiratoire. Je sens mes poumons se remplir d'eau qui est glacial. Je m'étouffe et je me sens terrifiée...Puis plus rien.
Une lumière blanche pris place de ma peur. Une silhouette qui ressemble à celle d'une femme vêtu d'un blanc pur s'approche lentement vers moi et me tend la main. La chaleur qu'elle dégage me donne envie de lui tendre la mienne et de la suivre...
Devrais-je le faire ?
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Who Am I ? { En Réécriture }
Narrativa generale#Inconscience #Traumatisme #Illusion #Cauchemar #souffrance #Caprise