Et si c'était lui .. [Antoine Griezmann]

Il me reste plus qu'une chose à faire

Quand je me suis réveillée je n'étais pas dans ma chambre mais dans celle d'Antoine. C'est aujourd'hui les huitièmes de final contre l'Irlande du Nord. J'ai super hâte !
Il n'y avait personne à côté de moi, j'en profitais pour sortir de la chambre d'Antoine. Je regardais l'heure, mon portable indiquait qu'il était 11:12. Je descendais au salon. Tout le monde était la, j'avais la net impression d'être attendue, je ne sais pas pourquoi.

Hugo : Ha bah enfin te voilà !
Moi : Quoi ?
Olivier : Réveil toi petite sœur, on dois aller prendre l'avion.
Moi : Merde ! Mais pourquoi personne m'a réveillé ?
Hugo : On est venu te réveiller, mais tu n'étais pas dans ta chambre.
Paul : Mais dans celle d'Antoine.
Moi : Merci bien je sais où j'ai dormi, je suis pas encore folle.
Hugo : Donc qu'est-ce t'attend pour aller t'habiller ?
Moi : Le déluge. [je marquais une pause] Je rigole ! C'est bon je remonte.

Je remontais donc jusqu'à ma chambre et regardais ce que je pouvais mettre avant d'aller prendre une rapide douche. Je prenais les vêtements que j'avais choisis et allait dans la baignoire afin de prendre une douche. Je sortais, je me séchais et enroulais une serviette sur les cheveux, j'enfilais mes sous vêtements puis mes vêtements.

Je mettais des Adidas superstar blanche, je défaisais ma serviette de mes cheveux et les brossais puis les laissais sécher naturellement, j'empoignais ma valise Low Coast et descendais rejoindre les autres en bas. Pendant que Didier nous donnait les dernières instructions, je ne pouvais m'empêcher de regarder vers Antoine, qui lui me regardait aussi, ça me faisait sourire bêtement. On déposait nos valises prêt de la soute et on montais dans le car afin de rejoindre Paris pour embarquer vers Lyon. Je m'installais à côté d'Hugo laissant Antoine s'installer à côté de Paul.

Hugo : Alors comme ça, tu allais embrasser mon Grizou hier quand je suis arrivé.
Moi : Non.. Je me décollais juste de lui quand tu es arrivé parce que j'ai tout simplement eu une euphorie.
Hugo : Prend moi pour une courgette vas-y. Mais je crois que ce que je vois. Et je crois même aussi t'avoir vu avec un ballon au pied.
Moi : C'était une illusion d'optique Hugo. Une illusion.
Hugo : Ne nie pas, je sais que c'est faux.
Moi : Comment tu peux le savoir ?
Hugo : Je ne dévoilerai pas mes sources, tel un bon journaliste de presse sportive.
Moi : Tu me fatigue !

Je le regardais avec un regard moqueur pour ne pas qu'il le prenne au sérieux, parce que je ne le suis pas bien sûre.
Après une petite heure à avoir passé à rire, nous descendions enfin à l'aéroport de Charles de Gaulle. C'est pas que j'ai l'impression de passer mon temps dans cet aéroport mais j'ai l'impression quand même.
On descendait du car rapidement puis on récupérais nos bagages et nous entrons dans l'aéroport.
Nous passons tout les contrôles puis nous nous dirigions vers la porte d'embarquement.
Maintenant qu'il est 13:00, on est tous dans l'avion afin de décoller pour Lyon.
Je prenais place à côté de Kingsley Coman, on va pouvoir apprendre à mieux se connaître comme ça.