chapitre IV

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- Hey, enfin décidée? Viens je te présente aux autres. Me lance gaiement Antoine.

Il posa sa main dans mon dos dénudé pour m'accompagner jusque leur tables. Je m'arrêtai un instant et me Tournai vers lui.

- Je suis désolée pour tout à l'heure, si... je t'es blessé. Pour me faire pardonner la prochaine bouteille sera à mon compte.

Il me fit un sourire dont lui seul avait le secret fesant apparaître des petites rides aux coins de ses yeux.

- Ce n'est pas vraiment pas la peine tu sais. Et puis tout le monde en profiterai. Je préfère que tu me réserve une danse, c'est déjà beaucoup plus personnelle comme excuse.

Un peu surprise je bats des cils en réfléchissant. Il était entrain de flirter avec moi ou je ne m'y connaissais pas. Toujours est-il que j'acceptai sa requête. Ce qui l'avait sourire de plus en remontant un peu plus sa main dans mon dos pour me faire avancer vers sa table.

- Les gars, je vous présente... Kara. Lança t-il à ses amis.

Tout le monde me salut sauf Olivier qui me sourit chaleureusement.

- Kara, voici de gauche à droite: Dimitri Payet, Hugo Lloris, Patrice Evra et tu as déjà rencontrée Olivier.

- Salut! Lançais-je à la ronde.

- Prends un assoir Kara. Me dit Patrice en me fesant une petite place entre lui et Hugo.

- C'est gentil mais j'étais juste passer vous offrir une bouteille pour m'excuser de tout à l'heure.

- C'est aimable à toi mais nos conso sont payés d'avances. M'informa Hugo.

- En ce qui me concerne je te pardonnerai lorsque tu aura payait ton dû. Me rappela Antoine.

Je rougis pendant que tous nous dévisageait curieusement

- Une danse... il parle d'une danse...

Je roulais des yeux. J'aurais parier ma chemise si j'en avais eu une que ses gars là pensaient à autre chose.

Dimitri asséna une tape amicale sur le bras d'Antoine.

- Na inn i sa plané. Dors pas su krik a soir lu! Explosa de rire Dimitri le regard malicieux.

- Quoi Payet? Demanda Antoine qui n'y comprenait rien à se charabia Réunionnais.

- Je te traduirait ça plus tard Griez. Lui répondit-il en lui fesant un clin d'oeil.

- Je vais devoir vous laissez, je ne voudrais pas vous monopolisez. De plus la boîte commence à se remplir et pas de fans/supporters sembles prêt à vous assaillir. Remarquais -je

Tous levèrent les yeux vers la piste de danse et les tables pour constaté la véracité de mes propos.

- À plus tard peut-être. Dis-je en m'éloignant rapidement avant la cohue.

Vers toi [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant