-Tu me laisse ? Tu attendait notre code secret... A chaque fois que j'étais triste ou que j'allais mal tu me le fesait entendre et l'inverse aussi...
Mais je te déteste! Je te déteste...
Tu me laisse seule. Seule.
Tu m'a dit que tu ne me laisserais...
Des sensations de brûlures atroces surgissent sur mon corps. Je ne sent plus mes pieds. J'entends une voix qui me semble grave. Quelque-chose me soulève. J'entrouvre les paupières. Je sent la peur qui me colle à la peau comme jamais, qui commence à m'envahire, elle est impossible à maîtriser. Je ferma mes yeux à peine ouvert. Je n'entend plus rien. "Où est-tu voix grave ?" Ma vie me paraît plus importante que jamais, je cris de peur, ce cris ne sort pas et je me trouve suffoquée par mes pleures. Mes membres tremblent. Je suis dans le noir total.
***
""-Que faites vous avec toutes ces bougies dans la chambre de mon grand père!? Sortez toutes de là!
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
-Il n'arrive pas à partir au paradis mon enfant... son heure est arriver, son âme doit trouver le chemin du paradis. La mort l'a oublier. -Que me chantez vous! Je perd mon temps entrain d'écouter des sottises pareilles! SORTEZ TOUS ! Bandes de raz ! Vous n'aurez rien de mon grand-père! Rien! Sortez! -Tu verra, tu mourra avec ton égoïsme, comme ton cher grand-père. Dieu te brûlera en enfer! -Sortez! Les soeurs religieuses sortent toutes de la chambre de mon grand-père.
Mon Grand-père est là... sous mes yeux dans son lit. Sa femme lui tien la main gauche avec ses deux mains, ses yeux paraissent perdues. -Ton Grand-père fait bougé ses lèvres depuis presque 3 heures. Le docteur dit qu'il devait être déjà mort... Des larmes coulent sur ses joues. Je m'approche du lit. Je regarde son visage. Il bouge ses lèvres. Je m'approche plus près pour esseyer de décrypter quelque-chose. Rien... absolument rien. -Grand-père, je suis là! Personne m'a dit dans quel état tu était... quand j'ai su... je... je suis venue le plus vite possible! J'ai pris le premier taxi. Tu est la seule famille que j'ai. Tu n'as pas le droit de me laisser comme ça... je t'aime tant. Des larmes inévitables commencent à surgir par mes glandes lacrymales, elles dévalent mes joues et tombent sur le visage de mon grand-père comme des grosses chutes d'eau qui s'écrasent une fois atterie à sa destination. Je reste sans rien dire. Ses lèvres bougent encore et un son parviens à s'en échappé! -...i.. iss.. Mon coeur bat tellement vite en entendant ça, il dit mon prénom. -Triss est la grand-père, je suis là. J'essuie mes larmes, je me met droite sur le lit assise vers lui. Je prend sa main droite, et lui donne deux tape légères.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
