Bad Love, Bad Boy [Griezmann, Footballeur & Dobrev Cheerleader ]

DOUZE

- Antoine Griezmann

Je me réveille, et à mes côtés Nina dors toujours, je me lève en prenant soin de ne pas faire de bruit, je m'habille et descend.
Je prépare un plateau avec pankake, nutella, jus d'orange et en bonus une petite rose. Je remonte et ouvre la porte.
Je me pose sur le lit et caresse sa joue.

- Miss dobrev, il est l'heure de te lever.
Elle gromméle quelque chose que je comprend pas, et remet la couverture sur sa tête. Je rigole à son geste et m'approche d'elle, je me penche à son oreille.

- Debout marmotte, je t'ai apporté le petit déjeuner au lit.
Elle se redresse immédiatement, elle est mignonne.
- Bonjour marmonne t-elle tu as bien dormis ?
- Bonjour marmotte, oui très bien et toi ?

Ses cheveux étaient en batailles et formé quelques nœuds, ses yeux brillaient sûrement à cause de la fatigue. Mais même si elle n'était pas sur son 31, bien coiffée, maquillée elle était tout de même très belle, même très très belle.

- Oui dit-elle ton lit est vraiment confortable, je devrai dormir plus
souvent avec toi.
Le pensais t-elle vraiment ?
- Je ne dirais pas non. Elle baisse les yeux sur le plateau qui se tenais en face d'elle.
- Oh des pancakes ! Et du nutella ! Elle criait comme un enfant qui découvrait ses cadeaux de Noël.
- Je me suis souvenu que je te devais un petit déjeuner au lit.
Elle rigole face à ma remarque.
- Nina pour hier je suis désolé je ne sais pas ce qui m'as pris, j'avais terriblement envie de t'embrasser..
- Ne t'excuse pas Antoine, je veux vivre au jour le jour sans me soucier de l'avenir.. attend s'arrête t-elle, tu as dit quoi précédement.
- Euh désolé je ne sais pas ce qui m'as pris, j'avais terriblement envie de t'embrasser ? Demandai-je
- Redis le un sourire se dessina sur son visage et je compris.
- J'avais terriblement envie de t'embrasser.

Sans pouvoir faire ou dire quelque chose, ses lèvres rencontrèrent les miennes encore une fois, je ne me lasserai jamais de l'embrasser. La sensation de ses lèvres sur les miennes me procurent un vrai plaisir.
Elle se détache de moi, elle avais toujours se sourire.