The Black Crab

Chapitre 13

*Narrateur Angélie*

- Papa, papa, réveille toi !, criai-je.

Il ne broncha pas. Je le secouai, puis fis basculer son hamac. Il se retrouva rapidement sur le sol, un air surpris au visage :

- Quoi ??

- Nous aurions pas du...J'ai déc...Il...enfin, il...

- Il quoi ?

- Il nous a piégé. Barbossa veut nous échanger à Black Crab. Je...je n'ai pas vraiment compris pourquoi. Mais, il veut acquérir ses possessions. Tout ce que Black Crab possède. Et il veut le tuer, expliquai-je dans mon affolement.

- Mais où es-tu allée chercher ces informations ?, demanda ma mère en plein réveille brusque.

- J'ai fouillé dans son bureau. Et j'y ai trouvé un coffre. Je l'ai ouvert grâce à la clef dans la vitrine et j'y ai trouvé tous les plans qui indiquent que Barbossa a l'intention de nous larguer, enfin, de nous faire tuer !!

Mes parents échangèrent un regard rapidement, puis l'expression songeuse de ma mère changea en un visage froid de colère :

- Este Monstruo !, ragea-t-elle.

Elle se leva brusquement, attrapa son chapeau et son épée au passage et sortit.

Mon père et moi la rejoignimes.

Elle s'était arrêtée brusquement devant les grandes portes qui donnaient sur le dortoir.

Elle s'était figé sur place, comme pris par surprise. Mais son regard restait toujours dur et froid.

Nous nous approchames d'elle et découvrirent devant les grandes portes, Barbossa et l'équipage derrière lui.
Je n'avais pas du tout remarqué l'absence des pirates dans le dortoir.

Hector Barbossa arborait son sourire habituel.

Jack, mon père, lui relança Son sourire habituel.

Tous, sortirent leurs armes, y compris moi.

Et la bataille commença.

Depuis mon plus jeune âge, j'avais pu apprendre les différentes techniques de frappes ou les manières de manier les armes, comme mon père. C'était lui qui m'avait tout appris, comme il avait appris, il fut un temps, à ma mère.

Nous étions que trois contre tout un équipage. Mais nous étions pas prêt d'abandonner. Surtout pas.

Quatres pirates s'attaquèrent à ma mère. Quatres autres à moi. Et trois autres, ainsi que le capitaine, à mon père.

Et puis, il y avait ce singe. Ce Singe !
Je le hais !
Lui aussi avait sa petite épée à lui. Non seulement il nous assourdissait quand il nous passait près des oreilles en criant, mais il faisait mal avec ses griffes et son armes. Il mordait aussi !

- Hector, je te rappelle que tu n'est plus immortel. Comme le reste de ta bande de vieux boucaniers, argumenta Jack.

- C'est pour cela que la bataille se terminera lorsque un de nous deux, les capitaines, mourra, répondit Hector.