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Ce chapitre est la dernière partie de la première transition, c'est normal qu'il soit cours, no problem ! Merci pour les 130 vues je vous lâche un update ce soir et un demain !!! Bisous, lots of love a mes fidèles lectrices.

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- Je ne t'evite pas.

- Bah si.

- Il le faut.

- Nan.

- Je vais avec eux et je vais monter à l'avant.

- Ok, va y.

Je le regardai, ebahie.

- Je vais t'eviter.

- Bah va y.

La haine s'emparait de moi, je ne pouvais pas le trouvait plaisant. Ouu, il me plaisait, je n'avais pas le droit. Sa démarche nonchalante et son attitude pitoyable. J'y croyais dur comme fer, pourtant.

Mon coeur tambourinait danse ma poitrine et je me sentais faible, je ne devais pas pleuré et je restais la devant lui, a le fixer, ses prunelles étaient accroché a son téléphone qui passait son feed instagram.

Je me sentais de trop, dans cette voiture, je suffoquais intérieurement. Je lui en voulais, tellement. Je m'étais accaparés ses baisers et ses caresses, et lui, il jouait, avec mon coeur, sans cesse.

D'un coup vif, il tourna sa tête dans ma direction, je le regardais fermement, sans baisser le regard, sans montrer une once de pitié qu'il pourrait avoir en vers ma personne.

- J'ai aucun compte a te rendre a ce que je sache, je baise qui je veux, quand je veux, ou je veux. Alors evite de faire la meuf alors que on s'est juste embrasser nous deux. Lacha-t'il, pensif.

- Ouais ta raison, moi aussi si je veux me faire trouer par Ben, je le fais. Mais je l'ai pas fait, parce que je croyais que vraiment que tu tenais a moi.

- C'est pas la cas, tu vois, et si tu veux aller te faire trouer, soit. répliqua t'il, sèchement.

- Je te déteste tellement, dis je sans contrôler les larmes qui debarquaient sur mes joues.

Il remarqua que je pleurais, mais ne dit rien, son visage était a présent fermé.

- T'es qu'un putain de salopard Ken, crève.

Je n'avais même pas l'intention de culpabiliser pour la cruauté de mes dernier mots. C'était un connard, point.

Mon coeur me faisait mal et était comprimer, je me sentais vide de l'intérieur comme consumé de moi même. Je tournais la tête et replongeais mon regard dans le paysage.

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Je serais pas ton égérie / Nekfeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant