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340 vues !! Putain, merci la miff', juste merci d'lire ce que jfais.

- Pourquoi tu m'en a pas parler ?

- Je sais pas, Aleya.

- Donc, t'kiffes Ken et je savais même pas ? Putain, je m'en doutais.

- Je le kiff pas !

Elle rit et se gare devant la maison. Tout les gars semblent être présents

On devale les escaliers en parlant de la nouvelle collection Gucci, après avoir été accueillies par les zigotos, c'est a dire Doum's, je le cherche innocente, du regard. Il n'est pas la, visiblement.

Le monde est la. Des gens que je ne connais pas sont attribués de part et d'autre de l'appartement. J'ai chaud, je retire ma veste en cuire et attache les cheveux blond, je vais vers ma chambre, qui, est mienne pour une semaine.

Comment peuvent t'ils connaître autant de monde sur Monaco, sérieusement ?

Ces deux derniers jours ont été oufs, littéralement ! Je n'ai jamais autant ris, mon état est passer de maussade a enjoué, ça fait du bien.

Ken et moi? On ne s'adresse même plus un regard. Depuis nos derniers paroles, je l'ai regardé longuement et je suis partie, sans rien recalé.

Je dépose ma veste en cuire sur le lit, enleve mon top brodée et le troque contre un tee shirt trop grand Led Zeppelin.

Je garde mon jean boyfriend troué et mes yeezy.

Je m'allonge pour récupérer de cette journée, rien que quelques minutes.

Avec les gars, on a visité Monaco, et puis on est aller s'manger un bout dans la bonne humeur.

Aleya a déjà disparue, putain. Je me sens mal, je suis toute retournée.

On a ensuite visité Menton, et nous, on faisait les boutiques. Eux, sont rentrer par je ne sais quel moyens car ils en avaient marre. Alors, que nous, on vient juste d'arriver.

Je me lève d'un pas nonchalant et rejoins les autres au salon, j'ai appris à connaître Deen et Mekra aujourd'hui, ces gars sont de vraies perles.

- Moi j'ai toujours kiffé la vache qui rit, en vrai. Dit Doum's.

J'eclate de rire face à ces mots, ça a rien de drôle mais il l'a dit avec un tel sérieux que, j'ai pas pu m'en empêcher.

Le rap se repend dans toute la pièce, certains dansent et fument, d'autres discutent.

Je me lève pour aller prend l'air dehors, j'ouvre la porte et la referme sans regarder l'étendu devant moi. Une silhouette qui m'est familière est accouder a la rambarde de l'entrée, un vue sur une partie de Monte Carlo s'étant devant moi.

- Attend.

Il a dit ça d'un calme, si, suspect, mais mon coeur se met à battre à tout rompre rien qu'avec un mot prononcé par sa voix si rauque. Toujours dos à moi, je ferme les yeux un instant, la brise fraîche monégasque caresse doucement mon visage.

- Qu'est ce que tu veux, Ken?

- J'veux te parler.

- Pas moi.

- Alors écoute moi.

J'avance prudemment et m'accoude également à la rambarde, et pose mes yeux sur ce pays encore éveillée.

- J'sais pas, tu m'fais un truc. J'ai tout le temps envie de t'embrasser, c'est chelou, nan? Va y Rosa, je fais le gars méchant pour te blesser mais en vrai tu me plais, ouais, tu me plais.

Mon coeur menace d'exploser à cet instant, cet instant si magique, putain, ce gars me plaît.

- Ken...

- Hm.

Et d'un coups sec, il se tourne, plante ses prunelles dans les miennes, m'attrape par la taille, et la je crois bien que je suis définitivement en train de defaillire. Je le détaille une secondes. Je mords la lèvre inférieure, je veux qu'il m'embrasse. Je dois me rendre à l'évidence, il me plait.

Des cheveux fraichement coupé sont en bataille, il s'approche, il fixe mes lèvres avec avidité, je perds patiente, je veux qu'il m'embrasse. Je le veux plus que tout.

- Mais Ken, bordel, embrasse moi.

Il me regarde en souriant et me serre plus contre lui avant de déposer des lèvres sur les miennes, il depose sa main sur ma joue, pendant que sa dent s'amuse à mordiller ma lèvre inférieure. Je dépose mes bras de part et d'autre de sa nuque, pour l'attirer plus contre moi. Quand nos langues à mettent à danser ensemble, je ne peux retenir un gemissement, putain, une sensation inconnue implose en moi, une flamme s'allume dans mon bas ventre.

Il pousse un soupir rauque, la froideur de la nuit est réchauffer grâce a nos corps a haute température. Et, a bout de souffle, on se décolle légèrement, de sorte a se regarder dans le blanc des yeux.

Jamais personne ne m'a embrasser comme ça, jamais, je n'avais ressentis de tels sensations.

- Bordel, susurre-t'il, ses yeux dans les miens.

J'ai sus que a ce moment la, tout allait basculer entre nous, du tout au tout.



Holà! :) j'ai essayer de retranscrire au mieux les sensations ! :/

Espérons que ça vous plaise, même si le chapitre reste cours ! Si vous vous demandez, l'histoire de finir à 33 chapitres, avec 3 bonus.

Voilà voilà, je vous poste la suite demain normalement !

Mouah.

Je serais pas ton égérie / Nekfeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant