Je serais pas ton égérie / Nekfeu

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"Si je rappe chaque soir bâtard
C'est pour que mes doutes se perdent. Si j'accapare la maille c'est pour que les bougs se taisent, laissez-moi respirer, espérer
Laissez-moi resplendir, ressentir pour que la foule se lève.
Nord, sud, veux-tu vraiment nous importuner ?"

- Bah c'est sur, ouais. Mange, me lance Ken.

J'attaque les sushis et sens son regard sur moi. Cela fait 2 jours qu'on est la et honnêtement, Tokyo, c'est un ville... étrange.

Les gens sont perchés. C'est amusant a voir, Ken, lui s'éclate.

On se balade en velo dans les rues tard le soire en rigolant et je tombe de plus en plus amoureuse de lui, mais, est-ce réciproque serieux ?

Je doute que ce soit réciproque même si la manière dont il me regarde le trahit, m'enfin.

- Pourquoi tu voulais venir à Tokyo?

Il lève ses iris chocolat vers moi, pose sa main sur la mienne, anciennement posée sur la table et caresse mes doigts avec les siens, en me regardant tendrement.

Et a ce moment la, mon coeur se serre face à sa mine tendre qui ferait fondre n'importe qui.

- J'bosse sur un nouvel album, et ca faisait parti de mes projets.

- Mais c'est trop bien, ton deuxième album solo, la classe, souris-je.

Il passe la main dans ses cheveux, souffle un coup et me dit :

- Tu m'as inspiré pour un des sons d'cet album, avoue-t'il.

- Lequelle, enfin, elle s'appel comment cette chanson?

- T'occupes.

Je souris.

- Arrête de vouloir faire le mystérieux, la.

Le serveur du restaurant arriva avec le dessert, ce qui nous coupa.

Après avoir fini, on a parler quelques minutes et nous sommes rentré à l'hôtel, devant la porte de ma chambre respective, on étais la comme deux abrutis a se regarder.

Il me bouffait littéralement du regard, mes joues devaient être rouge a cet instant. Même Ben ne me faisait pas un tel effet, a vrai dire, il ne me faisait rien.

Il marmonna un truc incompréhensible puis dans un élan inconnu ;

- Et puis merde, chuchote-t'il.

Il me plaqua contre le mur et attrapait mes lèvres avec les siennes, ce baiser était brutal, comme.. nécessaire.

Avec hargne, je répondis a cet élan.

C'était tellement bon. Ces mains glissaient sur mes fesses et les empoignait, avec fougue.

Et pour une fois, j'avais envie d'aller plus loin.

L'ascenseur du bout du couloir nous arrêta dans notre élan, une petit troupeau de personne en sortait.

Ken recula, posa un léger baiser sur ma joue et me murmurra ;

- Bonne nuit, souffle t'il en me regardant et en allant dans sa chambre.

Toute retournée par ce que qu'il venait de se passer, j'entrai a mon tour dans ma chambre d'hôtel.

Le lendemain, au matin, je voulais partir. Cette ambiguïté ne va pas nous lâchée et je déteste les moments gênants. Je veux retourner a Paris, avec Aleya.

Et me morfondre. Plus sortir de ma couette pour le reste de ma vie, je crois bien que je l'aime plus que la normal, et la magie de Tokyo n'arrange rien à cette étrange idylle.

Mais comment lui annoncer ça, il va mal le prendre et a coup sur, on va se disputer. Ca m'est égale de toute manière. J'ai l'impression d'étouffer, il faut trouver une solution a ce bordel.

Dans la peau de Ken.

J'gratte comme un dingue sur ce papier des mes deux. Au fond, il m'arrangerait de ouf ce bisou, je me suis rendu compte que ouais, elle me rend ouf. Mais elle est trop fragile. Beaucoup trop.

Mais la vérité, je peux pas m'empêcher de prendre soin d'elle, y a un truc, j'sais pas quoi mais y a un putain de merdier et elle me fait un effet inexpliquable. J'suis pitoyable, comme un gars.

Ah gars, Squa.

LISEZ svp 🚩

Bonjour, holà. Je reviens avec un petit chapitre, désolé! Mais un chapitre quand même. Les autres seront bien meilleures et mieux détaillés, d'ailleurs, je compte poster un chapitre centrer seulement sur Rosa, car je suis restée assez vague quant a son passé, bref, pleins d'idées en tête.

J'espère que vous avez passer de bonnes fêtes, que vous avez souris et ris, et que vous avez profiter de vos proches.

Avec les cours je n'ai pas eu le temps ni la tête a écrire, mais je suis de nouveau la.

Et au fait, j'ai commencé un nouvelle histoire : impossible is nothing.

Le mélange d'une chronique et d'une histoire pleine de rêves et de coups dur. Qui plus est en conclusion;  croyez en vous et en vos rêves peut importe l'avis et le regard des gens, on s'en fout et on vis pour nous aha.

Voilà!  Je vous souhaite un belle fin d'année et la plus belle année 2017 qu'il soit possible d'avoir.

Quand je me vois il y a un an et que je me vois aujourd'hui, je me dis que peut importe que ce vous traversez, vous vous releverez toujours. Soyez fort et croyez en vous, moi je crois en vous, en toi.

A bientôt,

HIND 👑❄

* Aladin 135, A quoi sa sert ?