7: Dons héréditaires

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On arrivait. Les grandes porte du village étaient tout près. Je commençais à stresser un peu.

"Calme toi Annah. Il ne faut pas qu'on voit tes marques, sinon, tout sa va mal finir, et tu le sais très bien!"

Je réussis à me calmer. Je gardai la tête pencher le plus possible. Comme ça, il y avait moins de chance que quelqu'un voit les marques sur mon visage. On se rapprochait de plus en plus. Puis, on était là, on passait les grande portes du village de Konoha. Tout allait bien. Puis, quelqu'un se mis à nous parler. Je ne savais pas c'était qui, je ne pouvais pas lever la tête.

-Kakashi, auriez vous attraper une espionne par hasard?, demanda l'inconnu.
-Oui, ou du moins, on croit. Elle rodait dans les environs du village, assez près pour l'observer, mais assez loin pour que les gardes ne la repèrent pas.

Sa y est. Il était en train de raconter "l'histoire". Est-ce que notre plan allait marcher? Je l'espérais. Sinon, on était foutu.

-Ces deux jeunes l'ont repérer et se sont mis à la combattre. Cependant, elle est plus forte qu'elle ne le parait. Je les ai repérer en plein combat, et je leur suis venu en aide. Nous avons réussit à la neutraliser. Maintenant, nous allons voir le maitre Hokage.
-Très bien, répondit une autre voix. Alors bonne route!

Nous reprîmes notre route vers le bureau de l'Hokage. Lorsque nous nous fûmes éloigner des portes du village, Kiba parla.

-Ouf! Heureusement que ç'a marcher!
-Oui, mais que serait-il arriver s'ils avaient vu le visage d'Annah?, demanda Hinata.
-Je doit t'avouer que j'n'en sais rien Hinata. Mais comptons nous chanceux qu'il ne l'ai pas vue. Maintenant, il faut expliquer cela à l'Hokage.

Nous continuâmes donc de marcher pendant 20 bonnes minutes. 20 minutes a ne voir que de la terre, mes pieds et mes cheveux, ainsi que les pieds des gens. J'était dans un autre monde, un monde que j'adorais, et la seul chose que je voyais qui pouvait m'apprendre quelque chose était que les la plupart des gens portaient des gougounes. Cependant, j'entendais beaucoup de chose, et comme on dit, on entend toujours mieux lorsqu'on ne voit pas. J'entendais les gens parler de tout et de rien, j'entendais des enfants rirent et j'entendais le son des aliments qui cuisaient, surement dans des restaurants. À un moment, nous nous arrêtâmes. Kakashi discutait avec des gens et racontait la même histoire que tout à l'heure. On nous laissa passer et nous arrivâmes à des escaliers. Je pris le risque de lever un peu la tête pour voir qu'il y en avait vraiment beaucoup. Je n'avais même pas commencé à les monter que j'était déjà décourager. Nous commençâmes à monter. Ce ne fut pas aussi long et aussi essoufflant que je l'aurais cru. Nous marchâmes un peu dans un couloir avant de n'arriver devant une porte. Kakashi cogna. Un voix rauque répondit d'entrer. J'eu alors la réponse à ma question de plus tôt: le village était toujours sous le règne du troisième du nom. Nous entrâmes et vu le grognement que l'Hokage fit, je crois qu'il avait deviner que j'étais une espionne qui c'était fait prendre, ou du moins, qui essayait de le faire croire. Et mon raisonnement était exacte parce qu'il dit:

-Ne me dite pas qu'il y avait une espionne autour du village?!
-Hey bien, en fait, maitre Hokage, c'est un peu plus compliquer qu'une simple espionne, commença Kakashi.

Il détacha alors mes corde. Je ne sais pas pourquoi, mais dans mon esprit, je voyais la tête que faisait le Hokage en le voyant me libérer de mes liens.

-C'est bon Annah, tu peux arrêter de te cacher, me dit Kakashi en même temps que je me frottais les poignet.

Je compris alors que le but était que le dirigeant du village voit qui j'étais. J'enlevai donc ma capuche et levai la tête. Je doit dire que la tête que fit l'Hokage était à mourrir de rire, mais je ne pouvais pas me permettre de rire dans une tel situation. Je voyait dans ses yeux de l'étonnement, mais aussi un peu de peur.

L'enfant maudite - Naruto [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant