L'homme avait du mal à respirer, son pouls devenait de plus en plus rapide, ses yeux bandés ne l'aidaient pas à se calmer. Avant d'être emmené dans cet endroit l'homme fut rouer de coups, il crut reconnaître cependant différentes voix dans la pièce, "ne ferme surtout pas les yeux" dit une voix rauque, " oui père" répondit une douce voix féminine. À ce moment-ci, l'homme reconnu instinctivement les personnes qui se tenaient devant lui :
-Don... Don Juanito, est-ce vous, pourquoi suis-je attaché, pourquoi suis-je ici ? Dit-il avec un rire jaune,l'homme savait très bien pourquoi il se tenait là sur ses genoux, devant Don Juanito et sa fille.
-Mon Cher Ricardo, me prends-tu pour un idiot, j'ai l'air si stupide, répondit Juanito avec un ton ironique.
-Bien sûr que non, j'ai juste du mal à comprendre pourquoi je suis ici, la voix de Ricardo était tremblante, il suait tellement que le bandeau qui recouvrait ses yeux était tremper. Tout d'un coup, il entendit un détonateur, il comprit tout de suite ce qui aller lui arriver
-Sandra, surtout ne ferme pas les yeux, dit le père, en un instant la balle transperça le crane de Ricardo qui s'écroula au sol, Sandra ne put garder les yeux ouverts, Voila ce qui arrive à ceux qui trahissent ma confiance, tu vois ma fille comme il faut punir les gens, c'est la vie qui est ainsi. Termina-t-il avant de sans aller.
Aussi tôt partit, des personnes prirent le cadavre et nettoyèrent la pièce à l'aide d'un jet d'eau. Juanito n'était pas du genre à pardonner, il n'avait ni pitié ni cœur, pourtant lorsqu'il posait ses yeux sur sa fille, on pouvait voir tout l'amour qui lui portait. Il se souvint alors du jour où il trouva Sandra. Ce jour-là, il faisait beau et une chaleur à brûler les crânes, le soleil tapait fort sur la ville de Manzales. Les planteurs du champ des Delarco étaient accouardit par l'arrivée de Juanito Delarco. Les caillasses fragilisées se craquaient sous ses chaussures ornées de fleurettes et vernis. Tandis que Juanito entrait dans son fameux champ qu'il chérissait plus que tout un planteur se précipita vers l'homme :"
-Don Juanito, j'ai été chargé de vous informer que votre plantation de cannabis se porte à merveille
-Parfait, préparer les produits pour demain, je doit les exporter demain après-midi au plus tard. Dit-il avec une voix rauque.
-Bien, Don Juanito, répond le planteur en s'inclinant légèrement vers l'avant pour lui montrer son respect."
Tandis qu'il s'enfonçait dans l'immense champ vert, l'homme entendit un bruit au milieu du champ, il semblait avoir entendu des pleurs, il tendit l'oreille, cela ressemblait à des pleurs d'enfant. Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel, l'homme s'approcha des bruits. Lorsqu'il fut assez proche, il trouva un nouveau-né enveloppé dans un vieux drap. Il prie l'enfant d'une main avec dégoût et ne souhaitait guère le voir, il le donna au planteur en lui ordonnant :
-Jette-le, adopte le, tue le, mange le, je m'en moque, je ne veux juste ne plus voir d'enfant sur ce champ sinon je te promet mi amigo, tu n'aura plus de tête pour penser.
Alors qu'il se préparer à partir, il jeta un coup d'œil sur l'enfant par simple curiosité. Il vit cette petite fille qui le fixait avec ses grands yeux bruns ornés par de longs cils fins, elle avait cessé de pleurer. Il arracha l'enfant des bras du planteur ébaudi. Plus il regardait l'enfant plus son vieux cœur se remettais à battre . Il entra dans sa voiture et ordonna au conducteur de le conduire chez lui. Il se pencha sur le visage de l'enfant qui dormait paisiblement dans les bras de l'homme, il murmura " Sandra Delarco, ma nina". Cette histoire, Don Juanito ne l'avait jamais raconté à sa fille.Ce quinquagénaire était à la tête de la famille Delarco, l'une des plus grandes familles de narcotrafiquants implanté en Colombie.
Sandra entra la première dans la voiture à l'arrière prés de la fenêtre tandis que son père adoptif s'installa dans la place passagère. Tandis qu'ils rentrèrent chez eux, le chef Delarco passa un coup de fil, qui fut très rapide, quelques minutes où il expliqua que Ricardo était bien mort. À cette époque-ci Sandra était âgée de onze ans, à sept ans, elle vit son premier meurtre, tout comme ses frères, Juanito leur faisait vivre cela pour les endurcir, pour que la vie leur semble plus simple plus tard et pour apprendre à ses enfants que la vie ne tiens qu'a un seul fil. Sandra exténué tomba dans un sommeil profond.
Dix années passèrent, Don Juanito se leva dans son immense lit, à coté de lui une sublime jeune femme, Don Juanito se dirigea vers la salle de bains où il vit son reflet, il avait les traits durs, des petits yeux noirs entourés de rides. Il portait la moustache ce jour-là et était enrober. L'homme se prépara soigneusement, une longue journée l'attendait.
Il descendit les longues marches des escaliers pour enfin arrive dans son luxueux salon, ce jour-là, la maison était vide. Don Juanito se dirigea vers sa voiture. Il expliqua à un majordome de prendre soin de la femme qui est dans sa chambre puis de la reconduire chez elle. Tandis qu'il roulait en plein centre ville Juanito reçu un appel :
-Adrian, alors comment se porte le Brésil ? Demanda ironiquement Juanito
-Très bien merci de t'inquiéter pour mon pays, Juanito, je t'appelle pour te prévenir que je serais présent à ta grande soirée que tu organises.
-À très bien, nous pourrons donc parler affaires, je n'aime pas trop parler au téléphone... Dit-il avant de raccrocher.
Le conducteur se dirigea dans une rue aisée de la capital, avant de se garer devant une maison luxuriante où nous pouvions voir au loin un homme sortir de chez lui. L'homme se retourna et vit la voiture de Juanito, il roula des yeux et lâcha un long soupir avant de s'avancer jusqu'à la fenêtre qui s'était baissé.
- Que passa padre ? demanda l'homme
- C'est comme ça que tu reçoit ton père, je viens te rendre visite pour te faire plaisir et toi tu me demande ce qui ce passe , répondit-il
- Je te connais très bien papa et je sais que tu ne rends visite que pour tes affaires personnelles cela fait un peu près 1 mois que tu n'est pas venu me voir,ni moi, ni tes petit enfants.
- J'était très occuper en ce moment, s'il te plait monte dans la voiture nous allons parler. Se justifia le Don.
Il monta dans la voiture et discutèrent un long moment sur la soirée de ce soir qui allait se préparer. Le fils se nommait Pietro, marié avec 3 enfants, il avait tout d'un homme ordinaire si ce n'est que son père et lui travaillaient depuis de année sur des affaires illégal. Don Juanito avait 3 fils, mais Pietro était celui qui était destiné à reprendre l'affaire familiale malgré qu'il ne soit pas le plus âgé. Il commença ensuite à parler de son homme de main, Antonio:
-Tu sais Pietro, je n'ai aucune confiance en ce Antonio, dit Don Juanito
- Pourquoi tu dit ça ? demanda le fils
- Récemment je viens d'apprendre qu'un narco trafiquant vient de se faire arrêter dans le sud de la Colombie et devine avec qui il travaillait ? dit Juanito en regardant à travers la vitre pour surveiller les regards indiscrets.
- Papa je pense que c'est juste une coïncidence, Antonio a l'air sérieux comme gars.
- De toute façon on sera bientôt fixé, si c'est un flic infiltré ou non, j'ai mis Sandra sur l'affaire, comme il ne l'a connait pas, elle a pris contact avec lui, lui proposant de lui vendre deux sac de coc.
- Padre, Sandra, c'est ma sœur je l'aime bien tu sais, mais tu sais aussi très bien qu'elle est complètement tarée cette fille, elle va le butter, repris le fils d'un ton sérieux.
-Ma fille est comme moi, sans pitié, c'est la différence entre elle et toi, tu comprend pourquoi maintenant je la mets sur ce genre d'affaire et pas toi Pietro. expliqua-t-il le sourire au coin.
Il quitta son fils et se rendit sur sa plantation, il jeta un coup d'œil aux feuille de coca qui serviront à fabriquer la cocaïne. Juanito s'occupait de tout de a à z, de la plantation, à la fabrication jusqu'à l'exportation de son produit. C'était ce qui faisait sa renommé, grand ami des hommes politiques, il était protégé des forces de l'ordre.
Il entra chez lui quelques heures plus tard, vit les majordomes et les femmes de chambres préparer la réception de ce soir. Quelques minutes plus tard il entendit la porte de la maison s'ouvrir, il se retourna, c'était Sandra.
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DELARCO
General Fiction'-La vie c'est comme un match de boxe Sandra, si tu te relèves pas tu es K.O, je t'interdit d'être K.O, une Delarco ne perd jamais, tu gardes la tête haute et tu flingue ce gars tu m'as bien compris ?' Drogue, meurtres, complots et corruption est...