Louis Tomlinson
Je cours. Je cours à toute vitesse, sans m'arrêter. Mon cœur tambourine fort dans ma catégorique. Je respire fort en grimaçant à cause de la douleur que cela provoque à mon cou. Il met comme impossible de m'arrêter. Je cours comme si le danger était à mes trousses. Je cours pour fuir. Je passe à toute vitesse entre les élèves dans les couloirs, qui sortent tous de cours. Je les pousses pour les dégager de mon chemin. Certain ce contente de me regarder impatiemment, d'autre m'insulte et râle. D'habitude, je serais passé en marchant, cherchant à tout prix à ne déranger personne avec ma présence mais surtout à ne pas me faire remarquer. Mais aujourd'hui, tout change. Aujourd'hui, il y a Harry. Aujourd'hui je cours. Je cours pour fuir. Je fuis mes problèmes, je fuis Harry.
Je sors du lycée, le cœur battant la chamade. Je me dirige avec hâte vers ma maison, qui heureusement pour moi, ne se trouve qu'à quelques centaines de mètres de l'établissement. Je marche ensuite lorsque que je me sens comme en hors de danger. Pourtant mes mains continues de tremblé et mon souffle est saccadé. J'arrive devant ma grande maison en moins de dix minutes, j'ouvre la porte d'entrée et la referme aussi tôt après être entré. La maison dans laquelle je vis est assez luxueuse, mes parents ont un travail... disons...assez bien payer.Notre maison parait de façade très chaleureuse, pourtant lorsque l'on entre à l'intérieur, on voie tout de suite qu'il n'y a pas de vie, pas d'âme. Malgré que tout semble chaleureux, rien n'y fait. Pourtant personne ne soupçonne l'existence de notre déséquilibre familiale. A chaque fois que nous recevons des invités, nos vies deviennent une pièce de théâtre, je deviens acteur et joue le fils heureux à papa et maman. Je dois faire en sorte que personne ne sache nos relation entre mes parents et moi, il faut que je paraisse épanoui et que je ne fasse pas honte à mes cher géniteur. Mes parents ne sont que des hypocrites. Ils n'ont aucun sentiments, ils sont froid et distant avec tout le monde. Ils ne m'aiment plus. Ils me l'ont assez répéter pour que cette phrase reste hanté mon esprit. Avant nous étions une famille, une vraie. Nous nous aimions tous et ont partageais de merveilleux moment ensemble. Pourtant c'était il y a bien longtemps. Les souvenir de notre vie de famille s'efface progressivement avec le temps qui passe. Moi, je l'ais aime. J'ai eu beau tout faire pour pouvoir ne ressentir que de la haine envers eux, je ne peux pas. Ce sont mes parents, je l'ai aimé et je n'y peux rien. Pourtant une partie de moi les déteste pour ce qu'ils me font et ce qu'ils sont. Ils ont tout détruit.
Je passe le pat de la porte, et est accueilli par mon chat qui viens tout de suite ce frotter contre ma jambe, réclament ces caresse. Je caresse le doux pelage gris du félin en retirant mes chaussures. Je pose mon sac et mon manteau et prend l'animal dans mes bras. Je me dirige ensuite vers la seule pièce et le seul endroit où je peux être moi-même.
En partant vers ma chambre, j'ai la mauvaise surprise de croiser mon père. Il est assis sur le canapé, une tablette a la main. Ces cheveux grisonnant lui tombe sur le front et ces lunettes sont percher sur le bout de son nez, le rendant sévère.
-Lewis? Dis mon géniteur alors que je grimace à l'entente de ce surnom qui ne présage rien de bon. Je ne vais pas te demander ce que tu fais ici, parce que sinon je vais m'énerver... Je vais juste te dire que nous avons des inviter ce soir, des nouveau voisins, alors tâche d'être présentable et de faire comme d'habitude.
-Oui... Soufflais-je le cœur lourd.
Je pars directement après avoir échanger ces quelques mots avec mon géniteur. Je monte les escaliers et parcours les longs couloirs modernes qui mènent vers différentes pièce. J'ouvre la porte blanche de ma chambre et le referme en soupirant de bonheur après être entré dans mon petit univers. Je pars vers mon lit et pause mon chat sur les draps où New York est représenté. Je caresse durant de longue minute mon chat, profitant de ces ronronnements qui m'apaise.
Ma chambre est très spacieuse et lumineuse. Elle a des tons gris, blanc et noir. La pièce comporte aussi deux autres portes, menant pour l'une à ma salle de bain privé et pour l'autre à un petit dressing. Les murs gris sont tapisser de poster de mes groupes de rock préféré, ainsi que beaucoup de photos de lui et moi. Mon grand lit trône au centre de la pièce, a coter un canapé avec une petite table basse. Il y a aussi mon bureau et une bibliothèque murale, remplit de livre. De l'autre coter de la pièce se trouve mon petit endroit où je pratique ma passion, la musique. On trouve deux guitares, l'une acoustique et l'autre électrique, accompagné de plusieurs enceintes ainsi que d'autres objets musicaux.
On ne peut pas dire que je sois vraiment malheureux. J'ai tout ce que je veux, mais à la condition que je foute la paix à mes géniteurs.
Comme je l'ais dis, la musique c'est ma passion. C'est mon père qui m'avais d'abord enseigné la musique, mais c'était il y a longtemps, je me suis ensuite débrouiller par moi-même. Je joue très souvent, j'ai même déjà composé et écrit quelques chansons dont personne ne connais l'existence. Personne même ne m'a jamais vue jouer, bien que mes parents doivent m'entendre. Il y a une exception, lui, il m'a déjà vue jouer, j'avais même souvent joué de la guitare avec lui.
Je soupire en continuant de caresser le chat qui est à présent posé sur mes genoux. La tristesse s'empara de moi, comme à chaque fois que je pense àlui. Le problème, c'est que presque tout ce qui m'entoure me fait penser àlui, et je ne peux rien faire pour y remédier.
Une larme solitaire glisse mais je l'essuie en vitesse pour ne pas me remettre à pleurer. Je pars ensuite vers ma salle de bain après avoir pris de nouveau vêtement. Je me douche et soigne mes blessures. La marque des mains d'Harry sont un peu visible autour de mon cou, je mets un peu de font de teins pour dissimuler les traces rouge et on ne voie plus rien. Je me dirige ensuite vers mon lit accompagner d'un livre. Je suis totalement emporter par l'histoire. Tournant sans cesse les pages en ne voyant pas le temps passer. Je rêve. Je rêve d'être à la place du héros de ma lecture. Je rêve d'être lui et d'avoir une vie similaire à la sienne.
Rêver, c'est beau, magnifique. L'un des meilleurs sentiments que je connais pour l'instant. Lorsque je rêve, je suis heureux, épanouis. Mais à force de trop rêver, nos vie devienne lassante et sans joie. Rêver c'est vouloir et espéré de tout son cœur que quelque chose arrive, mais lorsque ça n'arrive pas et que l'on revient à la réalité, la chute entre les deux monde fait mal.
***Ma journée est passée assez vite. Je me suis occupé avec mes livres et ma guitare, enfermé dans ma chambre. Ce qui ne pas la moindre du monde déranger, bien au contraire.
Je me lève tout à coup en entendant la sonnerie qui annonce l'arrivé de nos inviter, qui à mes yeux sont inconnu. Je ne suis pas très heureux de leur venu. Il faut dire que le plus souvent ce sont des petits bourge qui se ventent de l'argent qu'il possède sur leur compte en banque, qui vienne ici. Petit, je les admirais, les respectais. Mais aujourd'hui, c'est devenu tout le contraire. Je les méprise. J'espère sincèrement que ce soir ce ne seront pas encore ce genre de personne.
Je souffle en me regardant dans le miroir comme pour me donner du courage. Je sors de ma chambre et me dirige timidement vers le rez-de-chaussée. Arrivé au salon, je croise le regard de ma mère qui me fixe avec dégout. Elle me murmure froidement que j'aurais pu faire des efforts vestimentaires. Je lève les yeux au ciel, agacé. Je continu mon chemin vers nos inviter la tête basse. A vrais dire, je ne comprends pas vraiment pourquoi ma mère me dit ça. Je porte un jean slim noir avec une chemise à carreau rouge et noir. Je suis habillé comme j'aime et c'est le style que j'ai toujours eu et je ne vois pas ce qu'il y a de mal à ça.
Je m'approche d'une grande femme brune qui me sourit chaleureusement, faisant ressortir ces fossettes. Elle est habiller de façon moderne et en même temps stricte mais elle à l'aire tout de même très sympathique. Je lui dis poliment bonjour et fais de même avec l'homme qui je suppose dois être son époux. Je me tourne alors vers la troisième personne que je n'avais pas encore pris la peine de regarder.
Mon cœur ratte un battement et j'émis un petit hoquet de surprise. Mes yeux s'écarquillent alors que je découvre avec horreur la personne. Une question reste en suspens dans mon esprit alors que mon visage blanchis à la vue de notre troisième inviter. Pourquoi sur toutes les personnes au monde, il a fallu que ce soit Harry?
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I'm Still Loving u. [Larry]
FanfictionLui c'est Louis. Il est depressif, antisocial et harcelé et pourtant hanté par la solitude et ça depuis toujours. La solitude? C'est son démon, celui que personne n'a voulu ni même essayé de faire fuir. Il veut juste être aimé et attirer le regard...