Louis Tomlinson
Je suis une nouvelle fois plaqué contre un mur et par Harry à nouveau pour ne pas changer. C'est la troisième fois en deux jours et je commence sérieusement à trouver que cela fait beaucoup. Sauf que cette fois-ci, je ne réagis pas, je ne fais rien, je suis comme un simple spectateur. Mes motivations pour devenir fort ne sont plus que poussières. Tout le groupa des populaire sont autour de nous deux. Ces brutes nous regardent en pouffant de rire.
Mon regard est plongé dans les yeux verts d'Harry. Rien ni personne ne pourra me faire détournée le regard de ces prunelles envoûtantes. Dans son regard, je ne lis aucun sentiment, comme se ces yeux était vide. Pourtant je sais, je vois qu'il y a de la souffrance derrière tout ça. Son visage est impassible et n'exprime lui aussi pas la moindre trace d'un quelconque sentiment. C'est comme s'il ne ressentait rien, il est vide d'émotion. Pourtant Harry est comme tout le monde, il est humain, je ne peux donc pas croire qu'il ne ressente rien. Que la vie est quelque chose d'insignifiant pour lui.
Mes yeux s'écarquillent de surprise en entendant Harry murmuré doucement, de façon à ce que seul moi puisse l'entendre:
-Je suis vraiment désolé, mais je suis obligé.
De l'incompréhension voilà ce que je ressens à cet instant. J'avais cru pouvoir cerner la personne qu'il est, mais j'avais finalement tort. Je suis perdu. Je ne sais finalement pas qui et quel genre de personne il est. Je pensais qu'il était le type de mec, sûre de soi, qui ce crois fort mais qui cache ces faiblesse en étant dangereux, violant et arrogant. Mais finalement je ne sais pas, je ne sais plus.Puis des coups encore et encore, de plus en plus fort et partout sur mon corps déjà remplit de trace des précédant coups. Mais même avec tout ça, je continu de fixer Harry déçu. Même avec ma vision brouillé par les larmes et par mon manque de force, je continu de le regarder.
Petit à petit, je sens le peu de force qu'il me restait me quitté. Je suis fatigué. Fatiguer du comportement de toutes les personnes qui m'entoure quotidiennement, fatigué de croire à un quelconque espoir, fatigué de cette vie et d'être celui que je suis. Malgré ma vision flou, je continu de le regarder. Je retiens les larmes qui menacent de coulé le long de mes maigres joues. Mais je les retiens, je tiens bon, je fais tout mon possible pour ne pas passer pour un faible et garder au moins un peu de dignité. Ma respiration est saccader et mon cœur bat à toute vitesse dans ma cage thoracique. C'est bien la troisième fois en deux jours qu'Harry me fait subir ça. Je suis fatiguer, je n'en peux plus.
Au bout d'un très long moment, Harry me lâcha tel un vulgaire déchet. N'aillant plus aucune force, je tombe au sol sous les rire et les commentaires insultant de ces brutes. Pour la première fois depuis le début, je ne regarde plus Harry. Je ferme fortement les yeux pour ne plus voir le monde qui m'entourent.
-Bien Haz! Félicite la voix aigu, stridente et agaçante de l'une des filles.
-Maintenant tu es digne de notre confiance. Continu la voie grave d'un garçon surement.
Confiance pff, cela me fait bien rire. Alors il a fait tout ça pour entre dans le groupe des populaire? Ou a-t-il fait ça pour encore plus m'humilier pour son stupide jeu?Je reçois ensuite un autre gros coup dans le dos, surement le coup de trop. Ma vision se plonge dans un néant total, je n'entends plus rien, je ne sens plus rien et à mon grand soulagement la douleur s'estompe.Je souris enfin.
******
Je papillonne doucement des yeux, me réveillant au son des voies qui discutes surement dans une pièce à coter. Ma vision est d'abord floue mais elle devient petit à petit normale à mon grand soulagement. Je suis tout d'abord très étonné de voir que je ne suis plus dans le petit coin reculé du lycée entouré par toutes ces personnes, puis un sentiment de soulagement s'empare de moi. Malgré ma vision encore un peu trouble, j'arrive à deviner que je me trouve dans l'infirmerie du lycée. Les murs sont évidemment blanc mais décoré avec de nombreux poster qui portent sur la médecine. Le lit sur lequel je suis allongé n'est pas vraiment confortable, bien qu'il le soit plus que le sol sur lequel j'ai perdu connaissance.
Je bouge légèrement pour me mettre à l'aise, chose que je regrette ensuite alors que j'émis un gémissement plaintif à cause de la douleur. Je sursaute alors que la porte s'ouvre brusquement tapant contre le mur violemment. Mes yeux s'écarquillèrent à cause de la surprise et de peur alors qu'Harry et l'infirmière arrivèrent dans la pièce. La femme avait l'air plutôt inquiète alors que le bouclé avait un regard amusé.
-Oh tu es enfin réveillé! Dit la femme affolée en plaquant le dos de sa main contre mon front.
Je ne fis qu'hochet la tête en évitant soigneusement le regard intimidant du garçon à coter d'elle.
-Heureusement qu'Harry t'as apporté ici tout de suite après t'avoir vue inconscient par terre. Continue-t-elle.
Je déglutis en entendant le ton de sa phrase. A croire qu'elle pense qu'il est un héros.
-Peux-tu me dire ce qu'il tes arrivé? Finit l'infirmière en caressant mes cheveux surement pour me rassuré, chose que je trouve totalement insensé et inutile.
Ma gorge me fait mal, j'ai comme l'impression qu'une grosse boule y a élu domicile. Assise sur le bord du lit, l'infirmière attend ma réponse. Mais je ne dis rien et cherche une excuse. Mon regard croise durant une fraction de seconds celui d'Harry qui est assis sur une chaise un peu plus loin. Son regard est dur, menaçant. J'arrive à lire sur ces lèvres que je ne dois rien dire du tout. De toute façon je ne comptais pas dire la vérité, j'ai beaucoup trop honte pour ça, même si je suis sûr que la femme dois se douté de quelque chose.
C'est à cet instant que je prends conscience de beaucoup de chose. Mais surtout sur le fait que je sois bloqué. Il n'y a plus aucune issu possible pour que je sorte de cette merde.Je suis pris dans un piège sans issue.
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I'm Still Loving u. [Larry]
FanfictionLui c'est Louis. Il est depressif, antisocial et harcelé et pourtant hanté par la solitude et ça depuis toujours. La solitude? C'est son démon, celui que personne n'a voulu ni même essayé de faire fuir. Il veut juste être aimé et attirer le regard...