I'm Still Loving u. [Larry]

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Louis Tomlinson

Une semaine. Voilà une semaine que j'ai rencontré Harry. Comme quoi en une semaine beaucoup de chose peuvent se passer. En une semaine, ma vie est devenue un véritable Enfer. Mais j'ai les certitudes, qu'en une semaine, un personne peut changer et que de nouveaux sentiments peuvent apparaître sans que l'on puisse les contrôlé. Je ne sais pas vraiment ce que je ressens, car c'est la première fois de ma vie que je ressens ça, mais une chose est sûr, je veux savoir ce que c'est. Ma façon de penser à aussi changer, il y a encore peux, je pensais que j'étais le faible, mais finalement, les plus faibles sont ceux qui se croient fort, comme Harry ou toutes ces personnes au lycée. Il y a quelque jour, j'ai compris qu'en une semaine, je suis devenu la victime d'un démon.Mon Enfer n'est pas près d'être finis, j'ai même l'impression que ce n'est que le tout début. Mais il faut que je me fasse à cette idée, aujourd'hui, je pars habiter chez Harry.

Mes parents mon comme abandonner, enfin c'est ce que je ressens. C'est comme une nouvelle trahison venant d'eux. Malgré le fait qu'ils ne m'aimaient plus vraiment, moi je tenais à eux. La solitude est deux fois plus présente maintenant que je suis vraiment seul. J'ai envies de crié, de tout détruire autour de moi, je veux que l'on comprenne ce que je ressens. Evidemment sur toutes les personnes et famille au monde, il a fallu que mes parents choisissent celle d'Harry. Je ne sais pas vraiment d'où ils se connaissent, mais je suis prêt à parier que mes parents mon laisser au premier qui on accepter de me garder.

Je n'espère qu'une seule chose pour le moment, qu'il ne me fasse pas souffrir lorsque je serais chez lui. Même j'espère que tout ce qu'il me fait cessera, mais il ne faut pas que je me fasse d'idée."Nous sommes partis. Le père d'Harry viendra te chercher vers 10h. Sois sage et ne fais rien qui puisse nuire à quoi que ce soit."Voilà l'au revoir de mes parents. Quelques mots qui n'expriment aucune émotion, écrit sur un simple et vulgaire morceau de papier, posé sur la table propre et vide de la cuisine. Une petite larmes roula sur ma joue puis tomba pile sur le petit morceau de papier, humidifiant ce dernier dont l'encre coula légèrement pour faire des bavures. En même temps à quoi devais-je m'attendre. Mes parents n'allaient surement pas écrire un simple je t'aime ou même un simple bisou, ni même un simple mot qui aurais suffit à me donner de l'espoir et un petit sourire.

Je ne prends même pas la peine de petit-déjeuner, que je me dirige d'un pas précipité vers la salle de bain. Un fois sous la douche, je laisse mon esprit vagabondé. L'eau chaude coule le long de mon corps et détend mes muscles encore endormis. Une de mes mains soutient le poids de mon corps en étant posé à plat contre la paroi froide de carrelage de la douche, tête baissé, une mèche qui me tombe dans les yeux, je profite de mes derniers instants de tranquillité.

Une fois sortis et habillé, je finis de préparé mes affaires. Je prends seulement le strict nécessaire, c'est à dire seulement des vêtements, mes affaires de toilettes et d'école. Mais en passant devant mes instruments de musique et toutes les photos accroché au mur j'ai un petit pincement au cœur. Je me dépêche alors d'emporter avec moi au moins un cliché de mon meilleur ami et moi, une photo de famille qui date d'il y a maintenant plus de sept ans. Je sais bien qu'il ne faut plus vivre dans le passé, mais c'est plus fort que moi. Je ne veux pas qu'il fasse parti de mon passé, je veux seulement qu'il soit présent.

Je secoue la tête pour ne plus y pensé et prend une profonde inspiration. Je me dirige vers mes instruments de musique. Je choisis donc de prendre ma guitare acoustique qui est plus facile à emporter. De toute façon je pourrais revenir ici quand je veux alors ce n'est pas vraiment un problème. Alors que je finis de descendre toute mes affaire, un miaulement me sorts de mes pensées. Je vois alors mon chat, je soupir de soulagement car je pensais que mes géniteur l'avais emporté avec eux.Puis la sonnerie retentis, annonçant l'arrivée du père d'Harry certainement. Je pars donc ouvris et comme je le supposais, il s'agit de Marc. Je le salue timidement et le fait entrer.

- Harry a été vraiment heureux que tu viennes chez nous. Vous vous entendez bien apparemment. Dit Marc en me souriant chaleureusement.

-Oh! Je suis moi aussi vraiment content de venir chez vous. Mentis-je.

-Ma femme et moi sommes vraiment heureux que tu viennes, ta présence nous changera les idées. Continu-t-il en souriant tristement, l'air nostalgique.

J'ai comme l'impression d'abuser de la gentillesse de Marc et de sa femme. Ce sont des personnes vraiment gentilles et sympathique. Je me demande comment cela ce fait que leur fils soit aussi méchant, pour qu'il soit leur contraire. Le regard de Marc s'illumina lorsque son regard se posa sur ma guitare. L'étincelle dans les yeux de l'homme était similaire à celle qu'avait eue Harry lorsqu'il était venu dans ma chambre.

-Tu joues? S'exclame-t-il. Harry fait de la batterie, ce serais formidable de vous voir jouer ensemble.

-Oui, surement. Dis-je en lui adressant un petit sourire timide.

J'avoue que l'idée de jouer avec Harry n'est pas très plaisante, voire pas du tout. Une fois toutes mes affaires dans la voiture, nous montons dans cette dernière, moi avec le chat sur les genoux qui ne cesse de ronronner pendant que je lui fais des caresses. Marc m'a assuré que cela ne le dérangerais pas du tout que j'amène mon vieux chat.Le silence dans la voiture n'est pas du tout pesant, il est plutôt agréable ce qui me fait étrange car avec mes parents c'est tout le contraire. J'espère sincèrement que mon long séjour parmi cette famille se passera bien. Mais il ne faut pas non plus que je me fasse d'idées, Harry ne vas surement pas me laisser tranquille tant qu'il n'aura pas eu ce qu'il voulait. C'est à dire brisé. Mais il n'a toujours pas compris que je le suis déjà et que je ne pourrais surement pas être encore plus mal qu'aujourd'hui. Enfin... je crois.L'homme assis face au volant brise le silence pour entamer une conversation qui met plutôt surprenante.

-Tu sais Louis, je suis vraiment ravie qu'Harry et toi soyez amis. Il a fait des erreurs ces dernières années mais je pense que tout le monde fait des erreurs, Non? Je pense qu'une personne comme toi pourra redonner vie à l'ancien Harry. Il souffre beaucoup tu sais. Pardonne-le pour sa violence ou ces crises, car je sais qu'il te les fait déjà subir. Mais je sais aussi que tu vas réussir à le changer. Ces dernières années n'ont pas été simple pour lui, ou pour notre famille. Je ne peux rien te dire de plus, mais je sais que mon fils te racontera tout, laisse lui juste le temps. Tu le sauveras Louis. Dit-il alors que sa voie se brise à la dernière phrase.

Tu le sauveras Louis.

Cette phrase restera graver dans mon esprit pour toujours. Mais dans toute cette histoire, qui me sauvera moi?