Coucou, alors tout d'abord, j'aimerais vous prévenir que l'auteur original de l'histoire n'a pas publié depuis le 17 Septembre, donc je n'ai aucun idée de si cette réécriture va durer, ce qui serai vraiment dommage. Sinon, partager l'histoire, ça me ferai vraiment vraiment plaiseeee :3
Harry Styles
J'émerge d'un sommeil très peu réparateur à cause des événements de la veille. J'ouvre les yeux et suis surpris de voir que je suis dans les bras de Louis qui dort toujours. Tout ce qui s'est passé cette nuit me revient alors comme un flash de souvenir. Je ne sais pas pourquoi j'ai été si proche et gentils avec Louis. Je ne devrais pas. Après tout il n'est que mon pion.
Ma conscience me murmure qu'il est bien plus que cela. Mais je ne veux pas l'accepter, je ne veux pas qu'il soit bien plus qu'un pion pour moi et je ne veux pas être autre chose que son ennemis pour lui. C'est surement idiot et faux, mais j'ai comme l'impression que je suis en train de tomber pour lui, chose que je ne veux pas. Je me suis jurer de ne plus m'attacher personne d'autre en dehors de mes parents et Zayn. Pourtant je sais au fond me moi que des sentiments incontrôlables commence à naître. Je ferais tout pour que tout ce stoppe.
Je me dégage doucement des bras de Louis, en faisant attention à ne pas le réveiller. Je préfère partir comme un voleur que de lui faire face. Je me lève et me dirige à pas de loups vers la sortis, j'ouvre la porte et juste avant de disparaître, je jette un dernier coup d'œil à Louis. Il dort paisiblement, ses trait sont reposé, il est magnifique. Ces lèvres légèrement entrouverte me donne envie de les embrasser comme j'ai pu le faire hier. Je lui lance un regard triste et plein de regret avant de quitter la pièce.
Je file directement sous la douche pour pouvoir me changer les idées. L'eau chaude, voir même brûlante, claque contre ma peau, mes muscle ce détendent et je pousse un soupir de satisfaction. J'ai tellement bien dormis cette nuit, c'était la première fois que je dormais aussi bien. D'habitude il y a toujours ces insomnies et ces cauchemars pour m'empêcher de plonger dans un profond sommeil. Cette nuit, ou enfin la partie de la nuit où j'ai dormis avec Louis a été très reposante pour moi. Je sors de la douche et m'habille simplement avant de descendre pour prendre mon déjeuner. Je croise alors ma mère dans le salon assise sur le canapé. Je la rejoins et lui embrasse la joue. Elle me sourit affectueusement et me prends dans ces bras protecteur.
-Tu devrais aller voir Léa Aujourd'hui, dit ma mère d'une petite voix.
-J-Je ne sais pas... Répondis-je en soupirant tristement.
-Je suis sûr qu'elle serait heureuse de sentir ta présence.
-Je ne pense pas.
-Harry, je ne t'oblige pas à aller la voir, pense juste qu'elle a besoins de toi, même si elle n'est pas vraiment là.
Je réfléchie pendant quelques minutes, pesant le pour et le contre.
De toute façon, je n'ai plus rien à perdre.
-Je vais aller voir Léa. Tranchais-je ce qui fit sourire ma mère.
Elle embrasse affectueusement mon front avant de se lever et de partir je ne sais où. Mais juste avant de quitter la pièce et de sortir de mon champs de vision, elle se tourne vers moi avec un air inquiet et me demande pourquoi nous avons entendu Louis crier de terreur cette nuit.
-Il a fait un cauchemar, je l'ai calmé puis on s'est rendormis. Rien de grave, ne t'inquiète pas maman.
-J'irais quand même lui parler tout à l'heure.
J'hoche la tête et part préparé mon petit-déjeuner. Une fois finis, je regarde l'heure et décide de partir la voire tout de suite. Je mets mon manteaux, mes chaussures, je prends mon vélo et me dirige vers l'hôpital. Durant tout le trajet, mon cœur tambourine dans ma poitrine, je suis hanté par le regret et l'appréhension de la voir. Mon esprit est occupé par mille et une questions qui me torturent de l'intérieur. Lorsque j'arrive devant l'établissement que je connais que trop bien, ma respiration s'accélère, les larmes me montent aux yeux et tous les souvenirs refont surface. Je pose mon vélo et me dirige vers l'entrée. Les personnes entre et sortent de l'établissement, certains pleure, d'autre ont une mine dépiter qui flotte sur leurs visage, et d'autre encore ont un petit sourire rassuré ou tout simplement heureux. Je passe devant l'accueil et salut au passage la femme qui donne des informations aux familles des patients. Je monte directement à sa chambre, sachant très bien où elle se trouve. Je me mort nerveusement la lèvre inférieur et marche lentement dans les longs couloirs blanc et bondé de monde. Lorsque j'arrive devant sa porte, je lis le nom inscrit sur une petite pancarte, et mon cœur se brise comme à chaque fois. Léa Styles. Je toque et l'infirmière de Léa m'ouvre. J'entre et lui fais un petit sourire.
-Harry! Sa faisait longtemps que tu n'étais pas venu. Me dit-elle alors que je me contente d'hausser les épaules.
-Je viens juste de terminer ces soins, je m'en vais, dit moi quand tu seras partis!
Sur ces dernières paroles, elle quitte la triste pièce et ferme la porte derrière elle. Je prends ma respiration et ose enfin lever les yeux vers la jeune femme allongé sur son lit d'hôpital. Je m'avance doucement et m'assois sur une chaise à son chevet. Je la regarde d'abord et remarque à quel point elle à changer depuis ces six dernier mois. Sa fait déjà plus de six mois que je n'étais pas venu la voire. Ces long cheveux châtain sont éparpillé autour d'elle, ses yeux sont comme toujours fermé, je ne peux pas voir son visage à cause de tous ces files qui sont relier à sa bouche, sa peau est blafarde comme depuis le jour où c'est arrivé. Je prends délicatement sa main, petite, maigre et blanche. Je sens les larmes me monter aux yeux. Je prends une grande bouffé d'oxygène et regarde autour de moi. La pièce vaste et beaucoup trop blanche est silencieuse, seul le bruit des machines et de ma respiration saccadé ce font entendre. Je reporte mon regard sur Léa, prends mon courage à deux mains et commence mon monologue.
-Salut, Léa. C'est Harry. Je sais que tu m'avais demandé de ne plus venir te voir avant tout ça, mais je ne peux pas. Tu me manque beaucoup tu sais. Je sais que tu m'en veux énormément, je regrette tellement si tu savais. J'aurais dû être là pour toi, j'aurais dû te protéger. Je n'ai pas sût jouer correctement mon rôle de grand frère. Si tu avais pu parler, je sais que tu m'aurais crié dessus à cet instant, en me disant que je ne suis que ton grand frère de quelques minutes et que tu n'es pas petite. Si tu savais à quel point tu me manque. Ça fait longtemps que je n'étais pas venu, je sais. Mais j'avais peur et tout ici me rappelle ce douloureux souvenir. Je ne sais même pas si tu souhaites ma présence ou non. Je ne sais plus et je suis perdu. J'espère que tu m'entends Léa. Je t'aime et tu me manque tellement.
Je ne dis plus rien alors qu'un sanglot m'échappe. Les larmes coulent d'elles même sur mes joues inondées. Je craque, je suis à bout, je n'en peux plus de tout ça.
-Si tu savais comme je regrette. Je suis désolé, j'espère juste que lorsque tu te réveilleras, tu pourras me pardonner. J'aimerais tellement retrouver ma vie d'avant. Cela fait déjà trois ans que tu es ici, j'ai l'impression que cela fait des milliers d'année. Tu nous manque à tous, à papa, à maman et à moi... Ce n'est plus pareil depuis tout ça.
Je me tais quelques instants et décide de lui parler d'autres choses. De faire comme si tout était comme avant, comme quand nous nous parlions encore, avant tout ça.
-Tu sais, depuis que tu es ici, je ne suis plus le même. Je suis malade, je le sais. Je ne t'en avais encore jamais parlé parce que je ne voulais pas que tu penses que je m'apitoie sur mon sors alors que pour toi tout est bien pire. Mais j'ai envie de faire comme avant lorsque nous nous racontions nos moindres petits problèmes. Depuis que tu es là, je suis devenu complètement fou. J'ai l'impression que c'est de ma faute si aujourd'hui tu es ici. Enfin, ce n'est pas une impression, c'est plutôt la vérité, tu me la toi-même dit. Enfin... Papa et maman mon envoyer voir un psychologue, nous savons maintenant que je suis lunatique et bipolaire... J'ai complètement pété les plombs. Je fais du mal aux autres car je veux qu'ils souffrent comme nous souffrons. C'est toujours ces garçons, mal dans leurs peau ou bien ceux qui se croient fort que je choisis. Ils finissent tous brisé. Ça fait trois ans que c'est comme ça. Mais j'ai eu un problème avec un de ces garçon, tout à mal tourné. J'avais essayé d'arrêter tout ce jeu, si on peut appeler ça un jeu. Mais je n'y suis pas arrivé. Alors j'ai trouvé une nouvelle cible. Mais tout est différent avec lui. Depuis quelques jours, je ne sais pas ce qu'il se passe, j-je n'arrive plus... Enfin je suis complètement perdu. Je commence à ressentir des choses pour lui dont je n'arrive pas à contrôler. Avec lui j'ai comme l'impression de renaître. C'est juste magique. Lorsque ces magnifiques yeux bleus me regardent, il n'y a plus que lui et moi. Lorsque je le touche ou même lorsque nous nous frôlons des milliards de frissons parcours mon corps entier et mon cœur bat tellement vite. Mais ce qui est juste incroyable c'est lorsque nous nous embrassons. Je ne sais pas ce que j'ai, et je ne veux surtout pas tomber pour lui. Puis je ne suis pas gay alors je ne vois pas pourquoi je ressens des choses comme ça pour lui. Mais tout chez lui me rends complètement fou. Ces cheveux châtains, ces yeux bleus, son corps, son visage, ces lèvres. Je sais que jamais il ne voudra de moi, en même temps qui voudrais de moi après tout ce que j'ai fait? Il n'y aura jamais rien entre nous, j'en suis sûr. Je l'ai fait tellement souffrir et je sais que lorsqu'il apprendra toutes les conneries que j'ai pues faire, il partira en courant, il m'abandonnera.
Il ne sera jamais à moi, pourtant pour une raison que j'ignore, il me fait vivre, il me rend heureux et je le rendrais heureux.
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I'm Still Loving u. [Larry]
FanfictionLui c'est Louis. Il est depressif, antisocial et harcelé et pourtant hanté par la solitude et ça depuis toujours. La solitude? C'est son démon, celui que personne n'a voulu ni même essayé de faire fuir. Il veut juste être aimé et attirer le regard...