I'm Still Loving u. [Larry]

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"L'espoir est la seule chose plus forte que la peur" Hunger Games

Louis Tomlinson

Mes yeux restent bloqués sur sa silhouette. Un hoquet de surprise s'échappa de mes lèvres alors qu'Harry s'approche de moi pour me saluer avec son éternel sourire mesquin.

-Salut Louis, je suis content de te voir! Dis Harry, hypocritement.

Je dégluti bruyamment à l'entente de sa phrase qui sonne fausse. Les personnes, qui je suppose, sont les parents du bouclé me regarde heureux et surpris alors que mes géniteur, eux, reste toujours froid face à moi.

-Oh, vous vous connaissez? Demande la femme en me souriant chaleureusement.

-Nous avons fait un peu connaissance dans les couloirs, à ce que j'ai compris nous sommes dans la même classe. Mais je ne t'ai pas revu de la journée Louis. Répond Harry en m'adressant un regard moqueur.A ces mots, mon père ce tourne furieusement vers moi et me lança un regard noir, qui voulais dire que j'allais devoir trouver une bonne excuse sans leur faire honte. Je me racle la gorge, ce qui me valus une légère douleur dans mes cordes vocale abimées par la petite bagarre dans les toilettes ce matin. Je soupire discrètement avant de me lancer timidement dans mon explication très connus par les élèves.

-Hum... Je ne me sentais pas bien, alors je suis parti. Répondis-je aux questions muettes des personnes, en haussant les épaules.

Après cela personne ne m'adressa la parole. Les adultes parlaient entre eux, nous oubliant Harry et moi. Le bouclé avait son regard braquer sur mon tout le long de l'apéritif. J'avais gardé la tête baissé, intimidé par son regard, les joues rouges pour une raison qui met inconnue. Après quelques autres discussions, ma mère nous demanda d'aller à table pour que nous puissions dîner. Je me retrouve assis pour mon plus grand malheur face au bouclé et à côté de l'homme qui dois être mon père. Ma fourchette en main, je joue avec ma nourriture affichant un air dégoûté sur mon visage. Je sens toujours le regard perturbant d'Harry sur moi, ce qui me gêne toujours autant. Mon père se penche vers moi et chuchote durement à mon oreille que je dois manger. Son ton est dure, sec, cassant et blessant, mais je ne dis rien comme toujours. J'essaie donc de faire ce qu'il me dit, mais c'est comme une mission impossible pour moi. Je ne mange jamais beaucoup, je n'ai jamais vraiment faim, mais aujourd'hui, j'ai comme un blocage. C'est surement à cause de ma gorge douloureuse ou bien à cause du regard persistant du garçon face à moi. Les adultes parlent encore et toujours entre eux, ne faisant aucunement attention à Harry et à moi. Mais Harry en décida autrement en entament une conversation plutôt déplaisante avec moi.

-C'est vrai que tu es gay Louis? Demande-t-il amusé.

Mes sourcils se froncèrent alors que je reste comme bloquer à l'entente de cette simple phrase. Je sens mes parents se crisper à coter de moi et me lancer des regards noir. Non, je ne suis pas gay, enfin à vraie dire je ne me suis jamais poser la question. Je n'ai jamais eu de petite-amie et je n'ai jamais été amoureux d'une personne. Pourtant pour une raison que j'ignore toute les personnes de mon lycée le pense et m'insulte pour ces raison. Si mes parents on réagit de la sorte, c'est parce que ce sont des putain d'homophobe. Ils ont tellement de défaut. Mais heureusement pour moi que je ne suis pas comme eux, mes défauts sont bien différents des leurs.

Je crois que c'est à partir du moment où il est devenu mon meilleur ami que tout le monde a cru que j'étais homosexuel. Apparemment nous étions tellement proches que nous ressemblions à un couple. A cette époque personne ne me traitais comme on me traite aujourd'hui. Pourtant entre lui et moi, il n'y a jamais rien eu de plus que de l'amitié si ce n'est que de l'amour fraternelle. Je le considérais et le considère toujours comme le frère protecteur que je n'ai jamais eu. Je me souviens que lorsque des personnes nous demandaient si nous étions en couple, on se regardait en prenant une mine dégoûtée, puis en même temps on disait que cela était impossible que nous étions comme de la même famille. Un petit sourire triste pris place sur mon visage en pensant au souvenir que je partage avec lui qui ne sont maintenant que de douloureux souvenir.

-Harry! Cria la mère du bouclé gêner. Cela ne se demande pas voilons!

-Ce n'est pas grave madame. Dis-je pour la rassurer. Et non Harry, je ne suis pas gay. Répondis-je à sa précédente question en insistant sur le pas.

-Bon, qui veux du dessert? Demande ma génitrice pour couper la conversation qui a l'air de la déranger.

Tout le monde accepte avec joie sauf moi. Je n'ai toujours pas touché à mon plat. Je repousse doucement mon assiette presque pleine. Ma mère grogne en attrapant mon assiette pour la remplacer par une autre. Ma tête est toujours baisser ce qui fait que je n'ai toujours pas croisé son regard envoûtant. Mais pour une raison que j'ignore, j'ai une terrible envie de regarder le visage angélique d'Harry. Je souffle en me maudissant intérieurement de pensée à ça. Surtout que je ne vois pas pourquoi je voudrais voir son visage, surtout après ce qu'il m'a fait ce matin.

-Lewis? Tu veux du désert? Demande ma génitrice d'une voie cassante ce qui me sort de mes pensées et de obsession pour le visage d'Harry.

-Non merci, je n'ai pas vraiment faim. Grimaçais-je

-Et toi Harry?-Non merci madame. Répond le concerné.

-Bien alors vous n'avez qu'à aller dans la chambre de Louis.

-Non! Criais-je précipitamment.

Tous les regards se tournèrent vers moi. Pour la plus part interrogatif face à ma réaction quelque peu étrange. Je baisse la tête à nouveau alors que mes joues prirent une teinte rosé.

Il faut s'avoir une chose sur moi, je déteste par-dessus tout que des personnes viennent dans ma chambre. Même mes parents déjà n'y vont jamais, alors je ne veux pas qu'Harry y aille. Encore une fois, il n'y a que lui qui a le droit d'y aller librement, comme bon lui semble. Ma chambre, c'est mon monde, elle me représente, elle représente ce que je suis au fond de moi. Elle représente ma vraie personnalité, celle dont ne peux de personne connaisse. Je ne veux donc pas qu'Harry me connaisse.

-J'ai dit que vous alliez dans la chambre de Louis! Alors ne fait pas d'histoire et fait ce que je te dis! Gronda ma mère.

Je sus alors que je n'avais pas d'autre choix que de l'écouter. Je soupire en me levant brusquement de table, faisant grincer la chaise alors que le silence est pesant dans la pièce. Harry se lève lui aussi et me souris d'une façon moqueuse. Je suis sûr qu'il a une sale idée derrière la tête, je n'oublie pas la promesse qu'il m'a faite, alors je crains le pire. Nous nous dirigeons sans un mot vers mon petit monde. Arrivé devant ma porte, je soupire comme pour me donner du courage et ouvre la porte le laissant passer. Je referme ensuite la porte par habitude. Je me dirige instinctivement vers mon lit, où repose tranquillement mon chat. Je regarde Harry admiré les yeux brillant ma chambre. Ces yeux se mirent à briller deux fois plus, lorsque son regard se posa sur mes instruments de musique.

-Je dois dire que je suis assez étonné, je ne pensais pas que nos goût était aussi similaire. M'avoue sincèrement la bouclé en touchant du bout des doigts ma guitare électrique.

Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais à cet instant, j'eu de l'espoir. La peur que je ressentais à son égard s'estompa pour se remplacer par de l'espoir. L'espoir qu'il ne fasse pas ce qu'il avait prévu de me faire. L'espoir qu'il ne me fasse pas souffrir. L'espoir qu'une relation d'amitié naisse entre nous, que l'on oublie les récents épisodes, que sont envie de me détruire change.

Je me mets à détourné le regard alors que les yeux d'Harry se pose sur des photos de lui et moi. J'entendis alors un petit hoquet de surprise provenant du bouclé. Je me trouve vers lui fronçant les sourcils. Je le vois alors, figer devant nos clicher. Il se mort nerveusement la lèvre, les mains tremblantes. Je peux voir dans son regard de la peine et du regret.

Mais pourquoi? Pourquoi réagit il ainsi face aux clicher de mon meilleur ami et de moi?